Au bord de la mer
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J’observe cette mer,
Mer qui a bercé mon enfance.
Elle me fut salutaire,
Salutaire pour moi la rêveuse à outrance.
Mon regard dans les vagues,
Vagues couvrant mon âme qui divague.
Elles s’amusent à me secouer,
Secouer pour enfin me lâcher.
Je m’enivre de ces embruns,
Embruns m’enveloppant sans disparaitre.
Ils m’entêtent ces coquins,
Coquins ils s’emparent de mon être.
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