Le train

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Ce lundi, la journée fut prolifique au bureau. Ma boîte a clôturé une vente de trois millions de dollars dans un quartier chic de Toronto... Une bonne commission pour nous, et on le mérite !

On avait prévu de célébrer cela ce soir dans un restaurant chic, autour d'un repas gastronomique entre collègues, mais le centre-ville semble fermé. C'est ce que nous a affirmé un client qui avait des difficultés à se rendre à son rendez-vous dans nos bureaux. Alors, nous avons décidé de célébrer sur place.

Heureusement, je garde toujours une bouteille à 500 $ pour des occasions comme celle-ci. Nous avons bu, commandé des sushis dans un restaurant au coin de la rue, parlé et dansé. Sachant que je ne prendrais pas le volant ce soir, je me suis permis quelques verres de plus.

Peu après 22 heures, le bureau était désert. J'ai fermé les portes en envoyé un texto à ma femme pour lui dire que j'étais en route pour la maison, comme d'habitude sans réponse. Je n'ai pas mentionné la vente à ma femme, car cela fait des années qu'elle ne célèbre plus ces victoires avec moi. Autrefois, nous célébrions en collant son visage contre la vitre de mon bureau. De toute façon, à cette heure-ci, Lydia doit déjà être au lit.

Ce soir, contrairement aux autres soirs, et un peu pompette, je l'avoue. J'ai pris la décision de me déplacer en Bixi jusqu'au prochain arrêt dans l'espoir de faire le vide dans mon esprit et évacuer toute cette tension sexuelle. Arrivé à l'autre station, il y avait plus de monde que d'habitude, même dans la section VIP.

Un cadre qui attendait le train m'a alors informé que le centre-ville était fermé ce soir en raison d'une manifestation sur l'environnement, donc la plupart des travailleurs ont laissé leur voiture et ont opté pour les transports en commun pour rentrer.

" Ces manifestants oublient qu'il y a des personnes qui doivent gagner leur vie et payer les factures ", souffla le cadre d'un air agacé.

" Je ne peux croire au prix des billets, nous soyons obligés de partager nos cabines avec un étranger ", lança un VIP derrière moi.

Une fois dans le train, le valet m'explique qu'il ne restait plus de cabine solo, alors je vais devoir partager une cabine avec un autre passager VIP.

Bon... Pour une soirée, ce n'est pas la fin du monde... Me suis-je dit.

Je pris place dans la cabine assignée, la cabine numéro six exactement. Pas aussi luxueux qu'en solo, mais cela était limite acceptable.

Il y avait un sac de voyage Louis Vuitton sur le siège au-dessus du mien, mais personne dans la cabine. J'ai supposé à cet instant que la personne était au bar ou à la salle d'eau. De toute façon, la solitude me convient également, alors je me suis mis à l'aise en dépliant la tablette pour avancer dans mon travail pour demain sur mon MacBook. La tête plongée dans ce que je faisais, je n'ai pas remarqué que la porte coulissante s'ouvrait.

Immédiatement, la personne qui entra attira mon attention par son odeur. Un parfum fruité, doux et à la fois épicé, qui a instantanément stimulé tous mes sens, me poussant à lever la tête. Elle était éblouissante. Une jolie jeune femme dans la fin vingtaine, aux longs cheveux noirs prit place sur la banquette en face de moi. Elle avait de beaux yeux en forme d'amande, couleur miel, et la peau légèrement bronzée, ce qui lui conférait un aspect exotique. Je dirais qu'elle est italienne ou roumaine ou peu etre même un mélange des deux à la fois.

Cette femme a un corps sculpté au couteau et des rondeurs qu'on ne voit qu'en photoshop. Vêtu d'une petite robe noire tout à fait transparente sous la lumière du plafond, je pouvais apercevoir sa magnifique poitrine ainsi que ses mamelons dresser comme un pique aiguisé, dur comme ma queue qui venait de se réveiller comme s'il n'avait jamais vu le jour.

Elle se redressa devant moi, les seins à la hauteur de mes yeux, afin de prendre un objet dans son sac de transport au-dessus de mon siège. Étant légèrement pencher vers moi, je jure avoir senti la vapeur de sa chatte humide, car à travers sa robe plaquée sur son joli corps de rêve, je pouvais voir qu'elle n'avait ni brassière ni petite culotte.

Cela faisait des années que je n'avais pas été prise d'une décharge électrique aussi excitante. Tout d'un coup, je me suis mise à tousser dû a la salive avaler trop vite. À cet instant, je ressentis des pulsations incontrôlables sur ma verge, comme si, elle était sur le point d'exploser. Elle s'en aperçut, car j'ai vu son regard se glisser vers mon pantalon.

Elle semblait être timide, mais ses yeux disaient tout le contraire quand elle fixa mon sexe avec insistance.

Ne sachant pas comment réagir et troublé par mon érection devenue trop évidente, j'ai entamé la conversation pour briser la glace.

"Bonjour, je m'appelle Chris Laurent. Je suis PDG dans l'immobilier. Voici ma carte. Si vous cherchez une maison ou connaissez quelqu'un prêt à faire le grand saut, alors je suis à votre disposition. Nous vendons ce qu'il y a de plus prestigieux sur le marché." Lui ai-je soufflé en perdant mes mots.

Elle a pris la carte sans prononcer un mot. Embarrassé, je suis resté silencieux, essayant difficilement de me replonger dans mon travail, mais rien a faire, je n'arrivais pas à me concentrer tellement que je suis hypnotisé par la vue de ses magnifiques jambes croisées.

Elle continua à me fixer au même rythme que ma queue qui continuait à se dresser. J'étais si dur à ce moment qu'on aurait pu croire que je cachais la tour Eiffel dans mon pantalon. Il n'y avait plus rien à faire pour cacher mon érection.

Je ne pouvais m'empêcher de laisser mes yeux glisser sur ses lèvres pulpeuses, rougies par le rouge à lèvres mat. Mon regard descendit ensuite sur sa poitrine, suivit le long de ses hanches, pour finalement s'arrêter entre ses cuisses, qui, à ma grande surprise, s'ouvrirent lentement sous mes yeux. Tellement lentement que si elle avait eu le malheur de s'arrêter, j'aurais été tenté de les ouvrir de force, tant l'animal en moi était déchaîné

Exposé à cette vue, j'ai dû desserrer ma cravate, car à force d'avaler ma salive rapidement, je commençais à manquer d'air et sentais le sang me monter à la tête.

Mes yeux étaient rivés entre ses cuisses, et j'ai aperçu sa belle moule, nue comme un verre. Son joli clitoris rosé, en forme de bouton et bien gras, semblait juteux. Ce petit bout de chair, une fois léché, avait le pouvoir de faire réciter les lettres de l'alphabet même au plus austère des hommes.

J'ai dû passer ma main sur mon visage deux fois pour être sûr que ce que je voyais n'était pas un rêve.

Tout d'un coup, elle remonte ses deux jambes sur le siège, ramenant ses cuisses vers elle, bien écartillé, en me disant d'un air calme et sensuel, tout en léchant généreusement ses lèvres et son regard fixé dans les miens comme une chienne en chaleur:

'' Viens lécher !''

Je me suis dépêché de fermer le store de la porte coulissante et de la verrouiller après avoir mis le panneau "au repos".

Je me suis agenouillé devant sa chatte à l'odeur de moule fraîche, engorgé d'excitation qui semblait me supplier d'aspirer son jus. Je suis resté figé à fixer son sexe tout en essayant de me contenir pour ne pas faire des ravages.

Elle me répéta de façon plus autoritaire cette fois.

''Qu'es ce que tu atttends, mange sale porc !''

Je ne lui ai pas laissé le temps de supplier une troisième fois. J'ai empoigné ses cuisses bien écartées de mes mains d'hommes, face à sa fleur ouverte, j'ai piaffé dans son clitoris comme un chien enragé qui bouffe par peur de mourir de faim. Aspirant le moindre fluide venant de sa chatte, comme quand on aspire la dernière goutte de jus au fond d'un verre à laide d'une paille. J'ai voulu glisser deux doigts au fond de son trou, mais elle repoussa ma main en disant:

''Ne touche pas, c'est moi qui t'offre et je veux uniquement ta langue.''

À ce moment, j'avais déjà discrètement retiré mon anneau de mariage en oubliant complètement les vœux de fidélité faite à ma femme devant l'autel.

Ses mots m'excitèrent au plus haut point. Tellement que j'ai senti une envie urgente de passer ma graine à travers ma fermeture éclair afin de me masturber en même temps, mais elle refusa.

''NE TOUCHE À RIEN ! Disait-elle d'une voix encore plus sévère.

OMG. Ses mots futs tellement excitants, que j'enfilai ma langue brusquement tout entière dans son trou en empoignant fermement ses grosses fesses rondes afin de m'assurer que le bout de ma langue touche le fond de sa chatte.

Elle empoigne alors ma tête et l'enfonce avec force dans son trou humide tout en faisant des va-et-vient avec ma tête. Pris de plaisir, son corps se mit à se tortiller en faisant des petits cercles rapides et violents avec son bassin jusqu'à ce que je ressente de l'eau giclée dans ma bouche, dégoulinant de mon visage au point d'en ingurgiter et tousser avec vigueur.

Le temps que je reprenne mon souffle et tenter tant bien que mal d'expulser son jus de mes poumons, elle avait déjà disparu de la cabine.

Je suis sorti rapidement dans le couloir afin de la rattraper, mais elle était déjà à l'extérieur, marchant de dos, balançant ses magnifiques fesses en forme de cœur renversé, balayé par sa chevelure noire. Ce qui venait de se passer m'a tellement excité qu'une fois aux toilettes, j'avais de la difficulté à uriner, tant que ma queue était raide.

De retour dans la cabine, assis sur la banquette, la cravate détachée et la chemise souillée de son jus intime, je ne pouvais croire à ce qui venait de se passer.

Vais-je la revoir...?

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