D'un parking à l'autre
Ce même soir, à l'autre bout de la ville au restaurant où Lydia attendait Marie Jo...
Lydia, arrivée quelques minutes en retard, s'attendait à trouver Marie Jo déjà assise et à l'attendre dans le restaurant. Mais à sa grande surprise, elle était la première sur place. Elle tente d'abord de joindre Chris, son mari, qui avait tenté de la contacter plus tôt, mais sans succès. Elle se demande ce qui aurait pu empêcher son mari de répondre ou de rappeler, un comportement inhabituel pour lui. Des souvenirs du comportement étrange de Chris à la galerie d'art lui reviennent en mémoire, la faisant se demander s'il était au courant de quelque chose. Quoi qu'il en soit, elle ne veut pas qu'il s'inquiète, alors elle lui envoie un message texte, lui expliquant qu'elle va dîner avec Marie Jo ce soir pour discuter de ses futurs projets artistiques. Après avoir envoyé ce message à son mari, elle essaie ensuite de contacter Marie Jo, sans succès.
Elle eut alors une pensée étrange : « Sont-ils ensemble en ce moment ? » Se demanda-t-elle, laissant échapper un petit rire incrédule. Cette réflexion la fit douter un instant, mais elle savait que c'était impossible. Au moment où elle s'apprêtait à se lever pour aller se rafraîchir, Marie Jo rappelle.
Marie Jo : Salut la belle, désolée pour mon retard, j'ai dû faire un petit détour, mais je suis en route. Je devrais être là dans dix minutes environ.
Lydia : Parfait Marie Jo, mais n'oublie pas qu'on vient de perdre 40 minutes de notre temps de dîner, car je ne pourrai pas rester plus longtemps.
Marie Jo : Ne te fâche pas ma chérie, j'arrive au plus vite.
Tout de suite après avoir raccroché, c'était Chris qui appelait à son tour.
Lydia: Chéri, tout va bien !? J'ai essayé de te joindre à plusieurs reprises. Je commençais à m'inquiéter.
Chris : "Ne t'inquiète pas, ma puce, tout va bien. Je faisais la fermeture et ensuite je conduisais pour rentrer à la maison."
Lydia : Tu rentres à la maison maintenant ?
Chris : "Oui, je suis en chemin. Tu ne sembles pas heureuse de cette nouvelle. Je voulais passer un peu de temps avec toi et t'aider à coucher les enfants."
Lydia : "Comment dire... je ne suis pas à la maison en ce moment. Je t'ai envoyé un texto pour te dire que j'allais dîner avec Marie Jo ce soir pour discuter de futurs projets artistiques."
Chris : "Non, désolé ma chérie, je suis au volant et je n'ai pas pu consulter mes messages texte," répondit l'homme avec inquiétude, tout en évitant de l'interroger par crainte qu'elle ne commence à se poser des questions sur sa réticence à propos de son amitié avec Miss Wesley.
__"Mon cœur, je te rappelle," dit Lydia précipitamment avant de raccrocher.
Marie Jo arriva dans les dix minutes suivantes, comme promis à Lydia, qui était tout de même embêtée de devoir poireauter seule à une table.
__"Excuse-moi ma chérie," dit Marie Jo en lui faisant la bise.
Lydia : "J'espère que tu avais une bonne raison, car en ce moment, j'aurais pu être avec ma famille, surtout pour les rares fois où Chris rentre à la maison tôt."
Marie Jo : J'ai compris Lydia, ce n'est pas nécessaire de me faire culpabiliser.
Lydia : "Ce n'est pas que je veux te faire culpabiliser, mais 40 minutes de retard, c'est ce que fait un homme à une femme envers qui il n'a aucun respect."
Marie Jo : "Heureusement que je suis une femme, sinon j'aurais été vexée. Bref, laissons cela derrière nous, ça ne se reproduira plus."
Lydia : Parfait !
Marie Jo : "Tu as vu les critiques, la soirée a été un succès. Notamment, ta présence et celle de ton mari ont été remarquées aussi."
Lydia, embarrassée, dit : "Je ne m'attendais vraiment pas à ce que Chris m'accompagne à ton événement. Je prévoyais d'y aller seule, mais il m'a pris de court. C'est quand même une drôle de coïncidence. Il était déjà venu dans ta galerie auparavant ?"
Marie Jo répondit : "Pas à ma connaissance ! Pourquoi cela te semble-t-il suspect qu'il t'emmène à ma galerie ?"
Lydia répondit : "Je ne sais pas. Tout de cette soirée me rend heureuse parce qu'on a pu se remettre sur la même longueur d'onde, d'une autre part, j'ai un mauvais pressentiment car cela faisait des années qu'il ne rentrait pas avant 23h, et en plus, cette soirée, je devais voir quelqu'un. Je me demande s'il ne l'avait pas découvert."
Marie Jo taquinait Lydia en disant : "Tu avais une 'date' dans un endroit aussi médiatisé ? Il va falloir que je te donne quelques petites leçons d'infidélité. D'ailleurs, pourquoi caches-tu tes hobbies à ton mari ? Il ne semblait pas être au courant de ta passion pour l'art, ni même pour la PDG de la galerie d'art," dit-elle en souriant légèrement.
Lydia répliqua fermement : "Arrête ça, Marie Jo ! Ce n'est pas drôle, et je ne suis pas fière de la situation. Garder des secrets à mon mari n'est pas ce que je veux, surtout après avoir vu la surprise dans ses yeux quand je t'ai présentée en tant que bonne amie. Ne sois pas vexée, mais je ne lui avais jamais parlé de toi, ni même du temps que je passe à l'extérieur de la maison avec toi. Je n'ai tout simplement pas trouvé l'occasion de lui en parler, vu ses horaires de travail chargés. Il ne sait presque rien de mes hobbies. Cela m'a vraiment chagrinée, car j'aurais dû lui en parler. Et tu sais quoi ? Il n'est même pas au courant que je fais garder les enfants depuis des mois."
Marie Jo : "T'en a-t-il reparlé de cette soirée ?"
Lydia : "Non, mais je vais devoir aborder le sujet avec lui."
Les deux magnifiques femmes commandèrent leur plat et passèrent un moment agréable à discuter de tout et de rien, de leur vie et de leurs rêves. Elles échangèrent des regards complices et des rires éclatants.
À la fin de la soirée, c'est Marie Jo qui paya l'addition, bien que Lydia ait insisté pour payer sa part. Au moment où Lydia allait appeler son chauffeur, Marie Jo lui proposa de la déposer, car sa voiture ainsi que son garde du corps l'attendaient déjà dehors. Lydia accepte sans répliquer. Elles se mirent en route. Dans le véhicule, assises l'une en face de l'autre, Marie Jo déshabille Lydia du regard.
Marie Jo, d'une voix douce et envoutante, dit : "Ma puce, es-tu certaine de ne pas vouloir faire un détour par mon penthouse ? Ce n'est pas loin d'ici. Je pourrais te présenter les tableaux de ma nouvelle artiste, jamais encore exposée."
__"Si tu avais été à l'heure ma chérie, j'aurais pu envisager ce détour," retoqua sèchement Lydia.
À ce moment précis, le téléphone de Lydia sonna, c'était Chris, soucieux du bien-être de sa bien-aimée. Marie Jo prit le téléphone des mains de Lydia avec assurance :
__"Chris, ici Marie Jo. Tout va bien, ne vous inquiétez pas, je ramène votre charmante femme sans encombre. Nous sommes en route pour découvrir ma collection exclusive d'œuvres d'art. Je la ramènerai vers minuit. Soyez tranquille, votre Cendrillon rentrera en toute sécurité," et elle raccroche.
Lydia, furieuse, arrache le téléphone des mains de Marie Jo avec vivacité. « Ne fais pas ça. » Don't do that !! Lui lance-t-elle d'un ton ferme. Marie Jo, sourire taquin aux lèvres, répliqua : "Tu es tellement sexy quand tu te fâches."
Lydia tenta de rappeler Chris, mais son iPhone avait rendu l'âme. Sans chargeur à portée de main, elle était incapable de joindre son mari. Alors, elle demanda à Marie Jo de lui emprunter son téléphone.
Marie Jo, d'abord hésitante, changea d'avis. Elle tendit son iPhone à Lydia, convaincue que, pour le meilleur ou pour le pire, Chris chercherait à la revoir après ce moment toride dans le parking, alors c'était une bonne chose qu'il ait son numéro. Lydia composa le numéro de téléphone de son mari avec l'iPhone de Marie Jo. Sans réponse, elle laissa un message vocal à Chris, expliquant qu'elle visitait la galerie d'art et rentrerait bientôt. Sans le savoir, Lydia venait de mettre Chris et Marie Jo officiellement en contact.
Marie Jo, taquine, lança : "Petite cachotière, pourquoi ne pas lui dire que tu vas à mon penthouse ?"
Lydia, mal à l'aise, réplique : "Cesse de me mettre dans l'embarras, sinon je rentre chez moi."
Marie Jo acquiesça d'un signe de tête. Elle sortit une bouteille de Moët du mini frigo du VUS pour trinquer avec Lydia au nom de l'art et de leurs rêves. Les deux femmes, un peu éméchées, n'avaient pas remarqué que la voiture s'était immobilisée dans le garage souterrain du luxueux immeuble ou vivait temporairement la jeune PDG de la galerie d'art MW.
Marie Jo s'approche de Lydia et prend une gorgée de champagne directement de la bouteille à sa bouche. Lydia, réceptive, savoure le champagne qui coule des lèvres pulpeuses et rouge vif de Marie Jo. Voilà qu'une scène aussi sexy qu'irréaliste se produisait.
Marie Jo fait alors glisser la bretelle spaghetti de la petite robe de Lydia avec ses dents, exposant le sein nu de la femme de Chris qu'elle s'empressa de lécher et de mordiller. Sous les légers gémissements de celle-ci, elle lui lèche le cou, derrière les oreilles pour finir par introduire sa langue dans sa bouche.
Lydia, prise d'excitation, fait alors glisser la fermeture éclair de la minirobe noire de Marie Jo. Sans surprise, Marie Jo est complètement nue en dessous de sa robe. Dans un élan de plaisir, Lydia écartille les cuisses et Marie Jo s'introduisit comme l'opportuniste qu'elle est. À genou entre les cuisses de Lydia, les deux jeunes femmes se regardaient avec passion, Marie Jo cherchant l'approbation dans le regard de Lydia face à ce qu'elle s'apprête à faire.
Marie Jo s'empresse d'enlever la petite culotte de Lydia et passe sa langue lentement sur le clitoris de celle-ci sans jamais dériver son regard de la jeune blonde. À ce moment, elles étaient si trempées entre les cuisses, qu'on pouvait entendre la langue de Marie Jo patauger dans la moule de Lydia. La femme de Chris se mise à se tortiller sous les va-et-vient des doigts de Marie Jo introduit dans sa chatte.
__'' Dis-moi d'arrêter.'' Demande Marie Jo en aspirant le petit bout de chair entre les cuisses de Lydia, tout en pinçant légèrement son mamelon. Ce qui excite d'avantage les deux jeunes femmes au plus haut point.
Lydia se met donc à son aise sur la banquette, les cuisses écartées à son maximum avec Marie Jo accrochée à sa chatte comme du velcro à une surface pelucheuse. Les gémissements des filles étaient si forts que la graine du bodyguard commençait à durcir. Marie Jo frappa à la fenêtre, le garde du corps qui attendait dehors ouvrit la porte afin de reluquer le cul de Marie Jo qui était à quatre pattes entre les cuisses de Lydia. Louis avait une pleine vue sur le séduisant postérieur de Marie Jo en forme de grosse pêche juteuse et ouverte comme un papillon qui déploie ses ailes. Exposé ainsi à la vue du body Gard, elle n'avait pas à lui parler, car ce gentil toutou obéissant savait déjà ce qu'il devait faire. Il s'installe alors derrière la galeriste qui se trouve à être à la bonne hauteur. Il S'introduit en elle dans un rythme de va-et-vient constant qui lui enlevait toutes possibilités de faire marche arrière devant l'orgasme qui était sur le point de ravager ses parties intimes.
De son côté, Lydia n'était pas d'accord pour que le body Guard voie son corps nu. Cependant, sa chatte était tellement à vide de plaisir, que les mots eurent de la difficulté à sortir de sa bouche. Elle était déjà à son troisième orgasme. Dès que Marie Jo ramena les jambes de Lydia au-dessus de ses épaules, exposant ainsi la moule de Lydia à la vue du body Guard, qui dévorait sa chatte humide du regard pendant que celui ci ramonait la chatte de Marie Jo à quatre pattes. Elle comprit qu'un autre orgasme était en chemin. Elle jouit si fort que le doux visage de Marie Jo fut éclaboussé.
Une fois fini, Marie Jo embrassa Lydia tendrement en lui disant à quel point elle avait envie d'elle. Ignorant que quelques heures plus tôt, ces lèvres que Marie Jo pose sur les siennes sont les mêmes que son mari se servait pour étaler son sperme. Lydia, qui n'avait jamais goûté à une femme auparavant, découvrit un plaisir qu'elle n'aurait jamais pensé éprouver entre les mais d'une femme. Finalement, elle avoua à Marie Jo avoir ressenti un excès de plaisir devant la vision de Louis qui matait son sexe. Immédiatement, elle se sentit coupable.
Annotations