Lundi
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Au cœur de l'hiver demeurent les chœurs névralgiques,
Au château d'antan se meurent les baisers mélancoliques.
En quelques soupirs chaotiques,
S'effritent les amants empathiques,
Lorsque les corps s'épousent en une étreinte satyrique.
Terre isolée, la féerie s'épuise, souvenirs fantomatiques.
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