Le peintre Libanais
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Tu as le joli teint d un doux chrysobéryl !
Ne pleure point j ai le fort laid gris d’argyrose,
C est insuffisant pour faire faner ta rose,
Toujours en quête d un homme par trop viril !
Tu caresses ta folie ton ennui l’ÉTOILE
Éteinte d un vieil amant perdu au Liban :
Il avait le charme troublant de Caliban ;
De ta nudité il fit cent dix mille toiles
Mais il les brûla toutes hurlant rien de rien !!
Tout cela ne vaut rien seul un Assyrien !!!
Saurait rendre tout l éclat de ta verte bouche !
Il se résigna un dimanche pluvieux !...»
Et demanda conseil à tous sages et vieux
Qui lui dirent ce n est rien prends donc une douche !! »
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