Première baise première baffe.
— Écarte les jambes !
C, un peu surprise, s'exécute, mais un frisson la prend au même moment devant mon ton autoritaire.
— Fais glisser le haut de ta robe !
Elle obéit sans discuter... Je déplace le rétroviseur et le règle soigneusement.
— Tu as une belle chatte... Je vais m'assurer que tu es bien obéissante.
Je lâche le volant de la main droite et la glisse entre les jambes de C qui ferme les yeux, toute à cette situation où elle se sent totalement dominée, elle est déjà mouillée.
— Écarte-toi bien ! ... Tiens, mets ta jambe sur mon siège.
Elle se contorsionne pour m’obéir. La Volvo est assez large et elle parvient sans mal à poser son pied gauche sur l'arrière du siège. Sa chatte est maintenant bien exposée, entrouverte de façon indécente, luisante de désir.
— Superbe !
Elle rougit, je pose ma main sur l'intérieur de sa cuisse nue et glisse vers sa chatte offerte. Après quelques caresses distraites du bout des doigts, je me mets à lui fouiller le sexe brutalement. Je vois qu’elle aime ça. J’introduis un doigt à l'intérieur du vagin et je me mets à la branler carrément. La voiture a ralenti. Je quitte l’autoroute pour m'engager sur une départementale.
— On va s'arrêter un moment !
Je coupe le moteur. De ma main gauche, je défais les boutons de mon pantalon et je sors ma queue. Je suis déjà en érection. J’attrape C par les cheveux et la force à s'approcher de mon membre.
— Suce-moi !
Complaisamment, elle me prend dans sa bouche. Mon gland visqueux lui frotte le palais.
— Allez, vas-y, commence, suce-moi bien à fond !
Je lui attrape son petit sein gauche et le malaxe sans douceur.
— Vous me faites mal, maitre ! dit-elle avant de commencer.
— Comment ça, je te fais mal ? C'est une plaisanterie ? Tu vas voir, chez moi, ça va être bien autre chose... Ça, ce sont des caresses... Assez ! Retourne-toi !
J’appuie sur un bouton et mon dossier électrique s'abaisse vers l'arrière.
— Fais comme moi.
Maintenant elle doit sentir mon gland faire son passage entre ses fesses, je lui donne une claque sur les cuisses et force le passage, brutalement. Un cri lui reste coincé dans sa gorge. C'est passé. Mon membre en entier glisse en elle.
— Mmm !! J'adore ton cul !
J’ai l'impression que son anus a l’habitude d’être exploré. Je la ramone sauvagement en lui donnant des claques. Les pinces qui gigotent au bout de ses seins lui meurtrissent les tétons. J’émets des grognements sourds et me retire pour me finir dans sa bouche qu’elle me refuse…
Une paire de gifle et elle accepte. Nous reprenons la route, il lui reste du sperme sur le menton.
Je lui ai attaché les coudes et les poignets avec des sangles en cuir et lui ai fait reprendre sa position, en appui sur les bras tirés en arrière. Bien écartée, le pied gauche coincé à l'arrière de mon siège. Je lui ai aussi mis un sac sur la tête.
— Sors la poitrine !
Je lui dis cela pour mieux déguster le spectacle des deux petits seins fermes. Sa robe n'est pas gênante. Ce n'est plus qu'une ceinture remontée au niveau du nombril.
Je pense qu’elle doit sentir que la voiture ralentit pour prendre une série de virages très serrés et je m'engage sur un chemin de terre. Le sac qu’elle porte l'empêche de voir le paysage dans le pinceau des phares, mais son odorat ne peut pas la tromper. On est dans une forêt.
Le chemin chaotique lui fait tressauter les seins. Je parierais qu’il lui tarde d'arriver pour que je lui enlève ces pinces qui la supplicient, je l'espère, atrocement les tétons.
Pendant tout le trajet, j’ai conduit de la main gauche et je n'ai pas arrêté de lui tripoter son sexe bien offert, lui rentrant plusieurs doigts dans le vagin et dans l'anus.
À un moment, j’ai même essayé d'enfiler ma main entièrement, mais la conduite de la voiture ne m’a pas permis d'aller jusqu'au bout. Avec du lubrifiant, je serais peut-être arrivé à rentrer ma main en entier, cependant, j’aurais dû m'arrêter une deuxième fois pour prendre la bouteille de lubrifiant dans la boite à gants.
Mais comme tout compte fait, personne ne m’attendait, alors pourquoi pas? Nous étions sur le chemin du moulin, une voie sans issue loin de tout.
Je freinai, la voiture s'arrêta, je laissai le moteur tourner. J’extrayai les doigts que j’avais introduits dans le trou du cul de C, je lui donnai une claque sur le sexe du revers de la main. Je vois qu'elle réprime le réflexe de repli qui l'a prise, peut-être pour me montrer qu'elle sait être endurante, une qualité dont elle s'est toujours targuée dans nos échanges.
Il fait encore nuit, alors que je sors de ma voiture.
Je lui ouvre la portière et la fais descendre sans ménagement. Je la plaque sur le capot et me retourne pour attraper dans la boîte à gants le lubrifiant et un couteau, oui je sais… mais j’ai toujours un couteau et pas un petit.
Je lui retire le sac qui lui enserre toujours la tête.
— Allez ! marche jusqu’au gros arbre, oui, ce chêne... et en silence.
Sa robe se déroula pour devenir jupe.
— En revanche, tes goûts en matière d’homme, c’est un peu moins clair pour moi. Sur ta fiche, ce n’est pas précisé, mais en fait, on s’en branle… après ton éducation, tu pourras être baisée par n’importe qui. Tu as besoin d’être dominée en permanence.
Ah ça, je m’en doutais, car ses fesses et sa chatte, elle me les montrait tout le temps en photo et en vidéo, elle m'avait même livré par écrit ses fantasmes.
Elle se dirige lentement vers l’arbre, exhibant ses fesses rondes. J’avais pu constater qu’elle n’avait pas un gramme de cellulite, assez rare pour une femme d’une quarantaine d’années et maman de surcroît.
Ses cuisses étaient assez fines, elles laissaient passer la lumière des phares entre quand elle marchait de dos. Cela donnait à son cul une forme fière et légèrement bombée. Il semblait doux, délicat et dur à la fois. Les reins étaient cambrés. Était-ce naturel ou forçait-elle un peu sa posture pour moi, alors qu’elle s’appuyait au tronc ?
C était soumise à son mari. Sexuellement et dans sa vie de tous les jours. Sexuellement, elle m’avait dit ce qui la faisait vibrer. Elle était sa chose. Il ordonnait, elle exécutait.
Elle m’avait ainsi raconté par écrit et en vidéo qu’elle aimait qu’il la prenne par derrière, en lui attachant les poignets dans le dos.
— Alors tu veux devenir une kajira ?
— Oui, maitre, susurre-t-elle, d'un air gêné.
— Raconte ta dernière sodomie ?
— C’était ce matin, il m’a attaché les poignets et les coudes comme vous l’avez fait, maitre.
— C’est normal, c’est moi qui vous ai dit comment faire. Continue.
— Au bout d’une dizaine de minutes, les épaules ont commencé à chauffer, ça me faisait mal. Mais c’était bon, maitre. J’imaginais être déjà à votre merci, maitre, humm… Il me donnait de grands coups dans le cul, il m’a tirée par les cheveux, il m’a traitée de pute, de connasse, d’esclave… qu’à partir de ce soir, j’allais dérouiller comme jamais. Après il m’a frappée sur mes fesses. Si vous saviez comme ça m’a fait jouir, maitre ?
Je la sens excitée. Ce qui m’excite à mon tour.
— Reste comme ça !
Je la voulais d’abord de dos. Elle ne prononce pas un mot...puis...si, deux.
— Merci, maitre.
Ça m’excite encore plus, comme si j’avais besoin de ça. Je lui détache les coudes, Je lui prends les poignets, posant ses mains au-dessus de sa tête pour qu’elle se tienne face contre le tronc, le dos arqué, le cul offert. Je ne veux plus voir que son beau cul ! Sa position est semblable à celle d’une équerre, quasiment à angle droit, ses fesses dirigées vers moi. Je lui écarte les jambes avec mon pied gauche, comme un flic ferait lors d’une interpellation.
Je commence à lui caresser le dos, passant mes mains sous sa robe, que je soulève pour libérer son cul dont j’apercevais la beauté malgré la nuit et le fait que nous sommes un peu hors du faisceau des phares. Ce cul, ce corps d’une douceur généreuse, rassurante, prête à endormir les enfants et à réveiller un bon père de famille.
À ma demande, elle ne porte pas de sous-vêtements. Ni culotte si soutien-gorge, juste les pinces à seins et cette robe légère.
— ça à l’air chic ce que tu portes, c’est de la marque ?
— Oui maitre, je vous l’ai dit à la station, c’est Danube, une robe de chez Iro, maitre. C’est une robe à 300 €.
J'ai posé cette question, j'ai autre chose en tête la concernant.
— Pas de soutien-gorge cela ne te dérange pas ?
— Mes seins sont jolis, mais assez petits, ils tiennent bien tous seuls. Et puis avec ce décolleté… un soutien-gorge serait vilain, maitre. Les pinces à seins et la chaine, on les devinait juste, maitre.
Disant cela elle se déhanche, effectue des mouvements lubriques, balance son cul comme une star du porno. Mon dieu que j’ai envie d’elle à ce moment. Que je voulais mordre dans ce cul-là comme dans une pomme, le fesser bruyamment, y laisser l’empreinte de mes doigts, puis le caresser. Je veux que ce cul soit à moi pour le restant de mes jours.
Je me baisse un peu pour l’embrasser dans le dos tout en malaxant de mes deux mains ses seins qui portent toujours leurs pinces, la chaine qui les relie l’un à l’autre s'agite vivement.
Je décide de laisser tomber les préliminaires et attaque la fente de son cul en écartant ses fesses. Ma langue se pose au-dessus de son anus pour mordiller la peau de ce merveilleux arrondi. Je la tiens fermement par les hanches. Puis à petits coups de langue, je lèche son trou d'amour et, en me baissant, car la position n’était pas des plus confortables. La sentant trembler sous mes doigts, je pars de l’anus, je descends vers son vagin en passant par sa vulve qui est trempée, un goût comme je les aime. Elle a une saveur sucrée, agréable et peu commune. Sa cyprine est luisante, un peu visqueuse, elle mouille terriblement. Je la nettoie de ma langue pour m’en aller du côté de son clitoris qui pointe son petit nez rose. Je me familiarise avec ce chemin que je compte emprunter souvent, et je pense que de son côté, elle apprécie ça intensément.
Je fais plusieurs fois ce trajet dans tous les sens, tournant un peu ma langue pointue sur sa vulve puis l’appuyant à la façon dont les chiens font, mon nez entre ses lèvres les écarte. Puis ma bouche les aspire, mes lèvres les pincent. Les siennes étaient douces, ça glisse tout seul. Puis dans son cul déjà dilaté, j’enfonce l’index. J’accélère mes mouvements de la bouche et des doigts. Je la sens venir et pourtant, j'arrête mes mouvements.
Elle tourne alors la tête vers moi, quémandant une explication.
Ses yeux à demi-clos et sa bouche haletante me disent qu'elle est en feu, prête déjà à exploser.
— Non, n’arrêtez pas, maitre, ne me faites pas ça. C’est horrible.
Je ne réponds rien, l’embrasse sauvagement dans le cou.
Je la tourne brutalement vers moi. Je l’embrasse à pleine bouche, elle sent bon d’un parfum en vogue, Mademoiselle Coco, ou un truc comme ça.
Puis, tout en continuant de tourner ma langue contre la sienne, et de l’enfoncer comme si c’était ma bite, je lui branle le sexe d’une main.
Énergiquement, mes doigts sur sa fente font venir son orgasme.
Plus je frotte vite, plus mes doigts s’enfoncent…
Tout son corps me crie qu'il se soumet, qu'il me désire.
Mon pouce a pris la place de mon index dans son anus qui l'aspire avidement. Ses hanches, son ventre et le haut de son sexe. Je découvre ces territoires devinés sur les photos, imaginés, rêvés, déjà embrassés virtuellement.
— Ne jouis pas encore salope ! je veux que tu demandes la permission en criant que tu n’es une pute !
Ses dernière digues tombent, elle se livre entièrement.
— Pitié, maitre ! je suis une sale pute ! maitre, accordez moi l’orgasme ? hurle-t-elle en me regardant, suppliante.
— Oui.
Elle jouit fort, renversant sa tête contre le tronc.
Je lui mets ma main pleine de jute contre sa bouche, et cette chienne suce mes doigts.
Mais comme ils sont encore trempés de son liquide et de sa salive, je les essuie, souillant délibérément sa couteuse robe. Puis je prends mon téléphone pour regarder négligemment l’heure. Mes yeux tombent sur elle, qui reprend ses esprits.
— Mets-toi à genoux devant moi.
Elle s’exécute sans hésitation et défaisant ma ceinture, baisse mon froc. Moi non plus, je n’avais pas mis de sous-vêtement. Du moins, pas de caleçon. La couture de mon pantalon était largement tâchée tant mon excitation était grande. Bref, je suis trempé et je bande…
Me tenant à mon tour contre le tronc, les jambes légèrement écartées, la tête baissée, je la filme avec mon téléphone. Je n’ai pas à me retenir, j’ai juste envie de jouir, une envie d’exploser. Et vite. Je n’en peux plus de voir cette chienne me travaillant avec sa bouche, se servant expertement de la pointe de sa langue. Mon orgasme vient rapidement, trop peut-être.
Je ne peux empêcher un râle de sortir de ma bouche. Immédiatement, je lui saisis la tête entre mes mains pour lui faire recommencer son œuvre. Je voulais jouir une deuxième fois sans ressortir de sa bouche. Mon sperme sourde de la commissure de ses lèvres. Elle y va de plus en plus fort, de plus en plus vite, en bonne petite soumise qu’elle est. Sur mon premier orgasme, elle en déclenche un second si puissant que je m’écroule sur elle.
Mais bien vite, je reprends mes esprits.
— Chienne, ouvre la bouche, que je fasse un gros plan. C’est bien, maintenant gargarise toi avec... Fais-le couler au creux de ta main, souris à l’objectif… maintenant lèche et avale… c’est bien, salope.
Je m’étais rendu compte que je n’avais pas utilisé le lubrifiant et que mon couteau trainait par terre. Je fais glisser ma ceinture hors des passants de mon pantalon.
— Mets-toi à quatre pattes.
Elle s’exécute promptement et je lui donnai cinq coups que je juge assez forts.
Elle gémit à peine, à nouveau fière de démontrer qu'elle est habituée.
— Tu sais pourquoi ?
— Oui, maitre. J’ai oublié de vous remercier.
Pour faire disparaitre les dernières réticences, ainsi que les dernières parcelles de son amour-propre, je recommence cinq fois de plus encore plus fort.
— Et ça c’est pour l’avoir fait exprès afin de me tester.
Sur ce, j'use de mon couteau pour lacérer sa robe à 300 €.
— Tu vas enlever tes chaussures. À partir de maintenant, tu seras toujours nue, du moins tant que je ne te dirai pas de te vêtir.
— Oui, Maitre, répond-elle d'une voix veule.
— Donne les moi je les brulerai avec ta robe.
— Bien maitre.
— Bon tu vas continuer le reste du chemin à pied. Les mains attachées, devant la Volvo j’éclairerai ton chemin.
— Maitre, il faudra que je marche longtemps ? hasarde-t-elle.
— Approche, retourne-toi et penche-toi. Tu vas encore tâter de ma ceinture.
Je lui assène deux ou trois coups de ceinturon.
— OK, tu n'as pas oublié qu'avec moi tu dois être très obéissante ? et ne pas poser de questions ?
— Oui, Maître, je vous obéirai au doigt et à l'œil.
Puis elle glousse comme une fille à qui on a fait deux doigts de cour.
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