Lavage en grand.
*** 6
Va la laver, elle pue jusqu’ici…
- Petite chienne ! Ta Maitresse va te sortir dans la cour, il y a un tuyau d’arrosage. Elle va bien s’occuper de toi.
Elle passe devant moi, d’un air piteux, avec des gestes désolés qui signifient peut-être :
« Quand on est attachée devant une cheminée et que dans les WC, il n’y a pas de papier » … Elle se tortille, serre les jambes en marchant pour cacher les traces de sa diarrhée. Elle traîne sa détresse et sa honte. Je devine que ce n’est pas l’image qu’elle veut me donner d’elle-même. C’est sans compter sur J. …
- Hep ! toi la ! viens par ici.
C., à contre-cœur s’arrête devant elle. J., la prend par les cheveux.
- Penche toi en avant ! écarte bien les jambes qu’on puisse voir.
Enfin je vois les larmes de C., qui coulent, ce n’est plus qu’une enfant sans défense, rouge de honte. Mais vite je constate qu’elle prend sur elle… merde c’est pas encore pour cette fois. Elle semble même loin de craquer. J., n’a pas lâché le morceau, elle poursuit :
- Comment ? T’as pas rebouché ton trou puant ?
- Pardon Maîtresse, je l’ai oublié dans les toilettes.
- Tu perds rien pour attendre ! J., tire la laisse et sans ménagement la conduit vers la porte.
- J., tu peux y aller, je crois qu’elle aime la propreté. Je vois C. frémir, elle ignore ce qui l’attend.
*** 7
Curieux je m’avance sur le perron pour observer la scène. En bas des marches il y a un tuyau d’arrosage dans un enrouleur fixé au mur et aussi plusieurs anneaux scellés au mur.
Elle attache un bout de sa laisse à un anneau.
- A genoux !
Elle hésite… une fraction de seconde puis s’exécute.
J., lui retire les menottes pour les lui rattacher devant.
- Allez ! à quatre pattes.
Quand C., prend la pose. L’autre ouvre le robinet.
Je sais que l'eau est glacée, elle pousse des cris perçants, essaie de se déplacer, mais à cause de la laisse, elle ne peut guère bouger.
- Ta gueule ! ou je t’en fous une !
L’autre à la fois choquée et transie se tait. J., en riant, fait varier la puissance du jet. Cela dure quelques minutes. Elle doit être bleue de froid. Enfin, elle éteint en disant :
- Si tu bouges, ça va chauffer pour tes fesses !
Elle a la chair de poule. C’est une statue tremblante que j’observe. Elle claque des dents, pour un peu je pourrai les entendre.
- Major ! tu peux m’envoyer le savon de Marseille, s’il te plait ?
Elle nous laisse en plan pour rapidement marcher vers un des appentis de la cour. Moi j’ai trouvé le pain de savon sur l’évier. Quand elle revient, c’est encombrée d’un Karcher.
*** 8
Je lui balance le cube, qu’elle attrape sans problème. Elle savonne le corps de sa victime sans ménagement. Puis, à l’aide d'une brosse dure elle lui frotte énergiquement tout le corps.
- Aïïïee ! ça fait mal Maitresse.
- Ferme-la. !
Elle continue de la frotter sans ménagement. C., passe du bleu au rouge. Quand c'est fait, elle lui dit :
- Ecarte les jambes.
Elle lui frotte le sexe.
- Aiiiiieee !
- Tu l’auras voulu merdeuse.
J., prend le tuyau pour le lui enfoncer dans l’anus. L’autre essaie de bouger, mais elle reçoit une paire de gifle
Son cri s'arrête net car J., a ouvert le robinet.
- Faut bien nettoyer tes boyaux miss Glamour. Après l’extérieur il faut penser à l’intérieur.
Elle lui retire le tuyau.
- Allez, pousse !
La pauvre éjecte, car c’est le mot un jet pas propre du tout.
- Allez miss Glamour, tu peux mieux faire.
Voyant que le flot faiblit, elle lui renfonce le tuyau.
J’ai droit à ce spectacle fort amusant encore trois fois.
Quand elle arrête, C., tremble de tous ses membres.
- Allez debout, je vais chercher une serviette.
Moi je sais que ce n’est pas fini. Elle monte les escaliers et passe devant moi.
- Je peux vraiment la finir à ta façon ?
- Mais oui ma belle, on va voir ce qu’elle a dans le ventre, et en rigolant j’ajoute, quoi qu’on en ait eu un aperçu.
*** 9
Elle redescend avec une petite bassine dans laquelle il y a une chaine de 2m, munie à chaque extrémité d’un mousqueton, un bâillon à anneau, son plug pas nettoyé, un gode connecté, un chiffon humide, un solide collier électronique de dressage pour chien et une serviette qui n’a jamais connue Soupline.
Elle lui demande :
- Tu as toujours soif ?
- Oh oui maitresse, je vous en prie…
J., rouvre un instant le robinet elle recueille de l'eau dans ses deux mains, l'une contre l'autre.
C., lape l'eau. Quand elle a tout bu, elle lui dit :
- Allez je suis trop conne, tu as encore une minute pour lécher le pavé.
À toute allure, elle aspire et lèche aussitôt les flaques d'eau à sa portée.
Dans cette position elle ne cache rien de ses parties intimes. Je me demande si je vais respecter les désirs de son mari c’est-à-dire de ne pas l’anneler ?
- Bon allez, lève-toi.
j., la fait remettre sur ses pieds elle la menotte les bras dans le dos. Elle mousquetonne son collier à la chaine et celle-ci à l’anneau du mur. Elle lui place le bâillon à anneau. Et lui montre son plug encore couvert de merde. L’autre écarquille les yeux de terreur.
- Parait que tu as déjà fait un ATM, alors tu connais ?
Bon ce qu’elle ne sait pas c’est que J., va l’essuyer avant de le lui enfoncer dans la bouche. Du moins c’est ce que j’espère. Après tout, elle peut bien s’amuser un peu. De toute façon si J., reste ici et ne modifie pas sa conduite, je la recadrerai et pas qu’un peu, et puis il y a deux ou trois trucs qui me posent problème en règle générale les coups fourrés je les sens venir de loin.
C., a le plug dans la bouche elle tremble de peur, de froid et de dégout. J., toujours sadique met en marche le karcher. Elle finit ainsi de nettoyer sa victime qui se contorsionne sous la puissance du jet. Au bout d’une à deux minutes elle éteint l’appareil.
Elle l’essuie avec la serviette rêche. Sans oublier de lui frotter l’entrejambe.
Quand, elle est sèche elle lui dit :
- Maintenant, on remonte voir le major.
Je raccroche mon téléphone. J’attends un SMS. Je vais à la cheminée, j’y jette une buche. Je prends aussi deux ou trois trucs dans un coffre en noyer. Je les attends en majesté, assis dans un vieux fauteuil aux accoudoirs élimés.
Quand elles entrent je ne les regarde même pas. Je murmure :
- À genoux.
C., obéit dans la seconde. Tout est tellement soudain et brutal qu’elle réalise à peine dans quel enfer, elle est tombée. Je vois bien qu’elle est épuisée, et que malgré ce qu’elle a lapée, elle doit encore avoir soif.
Puis je redis un peu plus fort :
- À genoux !
J., me regarde interloquée.
- Oui toi aussi tu m’as bien compris.
Elle ne bouge pas. Je me lève. Je lui saisis le poignet que je tords, l’obligeant à s’exécuter. Faut pas croire, mais j’ai une poigne d’enfer. Dans sa bassine il y a encore le collier de dressage. Je le lui mets autour du cou et je le ferme avec un petit cadenas, c’était un des petits trucs que j’ai retiré du coffre.
- Pourquoi ?
Sans répondre j’appuie sur la télécommande, elle se tord de douleur.
- Je ne t’ai pas autorisé à parler. Mais je vais te dire pourquoi je te punis : Tu as oublié le plus important. Tu es peut être une dominante, mais tu n’es pas encore digne de devenir une maitresse. Tes fautes sont nombreuses. Tu es inutilement sadique, tu ne sais pas si C., est masochiste ou simplement soumise. Tu ne contrôle pas assez souvent son degré d’excitation. A aucun moment, tu ne lui as demandée comment elle se sentait. Je t’ai laissée faire pour te tester. Et non seulement tu n’es pas prête, mais en plus tu mérites d’être corrigée. Je pense que C., se fera un plaisir de te cravacher. Maintenant je vais vous enfermer au chenil histoire que tu réfléchisses et que C., se repose. Pour les trois jours à venir tu obéiras à C.
Disant cela j’offre un grand verre d’eau fraiche avec quelque goutes d’Antésite à C, j’y ajoute une paille car je n’ai pas envie de la démenotter. Je la serre dans mes bras et je lui caresse la tête.
*** 10
Je les ai mises dans la grande cage. Celle qui est dans un coin de la cour près du portail. Le sol et en béton et il est propre, il y a des karrimats ainsi que des duvets dans la niche.
J, est furax mais elle est comme C, c’est-à-dire menottée dans le dos. Et en plus elle porte le collier qu’elle destinait à C. Elle sait pertinemment que je n’hésiterai pas à me servir de la télécommande.
Je les abandonne dans ce rectangle grillagé où il ne reste plus qu’une grande niche. J’aimerai bien qu’il pleuve. Pour les voir toutes les deux blotties l’une contre l’autre dans la niche. Mais pour l’instant le ciel est bleu.
Moi je rentre à la maison, j’ai des coups de téléphone à passer. Et Isabelle, la mère de J, une autre belle salope m’a envoyé le SMS que j’attendais.
Il doit être 18 heures, il est temps que j’aille les voir.
Du coin de l'œil, en observant les deux filles dans la cage, je vois C. se détourner de J.
Elle l'ignore ostensiblement, peut-être par rancune, pour ce qu'elle lui a fait subir. Peut-être aussi qu'elle ressent qu'une forme de compétition s'est instaurée entre elles, dont je suis la récompense, d'une certaine façon. Ça promet, je ne manquerai pas de tirer parti de cette concurrence, pour mon plus grand plaisir et le leur aussi.
- J, j’ai une mauvaise nouvelle pour toi. Ta mère veut que je te garde, non pas comme soumise, mais comme esclave. Il parait que tu lui as encore volé un de ses amants. Et pour toi C, ton mari veut que tu deviennes une BI vue qu’il veut t’offrir à sa maitresse. Je sens qu’on va bien s’amuser tous les trois.
Et j’allais commencer de suite.
Je retire à j, ses menottes. Je sors une pièce de deux euros.
- Pile ou face ?
- Pourquoi ?
Je lui envoie une décharge, son collier bourdonne, elle se tord de douleur.
- Pile ou face ?
- Pile.
Je lui renvoie une autre décharge un peu plus forte.
- Pile ou face ?
- Pile, maitre.
- J’aime mieux ça.
Je lance la pièce, elle tombe sur face.
- Déshabille toi !
Elle enrage et j’aime ça. Mais rapidement elle laisse tomber sa courte Ao Dai.
- A quatre pattes !
Je lui montre la télécommande. Elle obéit. Il y a encore une chaine fixée à la niche aussi je la cadenasse à son cou.
- Au fait si tu avais gagné à pile ou face, tu aurais juste gardé ta robe. Pile c’était pour la chaine à la cheville. Dans une heure ou deux tu auras ta gamelle. Eh oui, ta mère, m’a demandé de te traiter comme une chienne. Et je ne t’ai pas encore punie. C, suis-moi.
- Bien maitre.
Je perçois comme un regard de triomphe dans ses yeux.
***11
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