- Martin, vous pouvez vous touchez si cela vous excite.

Martin regarda Marie. Le spectacle auquel il assistait le faisait bien bander. Il avait chaud. Il posa sa main sur son pantalon et sentit sa bite dure. Il frotta sa main timidement sur son gland qu’il sentait au travers de son pantalon.

- Mettez-vous plus à l’aise, Martin, vous allez vous irriter comme cela. Sortez votre sexe.

Gêné, Martin s'arma de courage pour ouvrir sa braguette et en sortir sa bite, qui était gonflée à bloc. Il commença des mouvements de hauts en bas, en regardant Lucie se faire démonter. Marie, toujours installée dans son fauteuil, suggéra à Martin de retirer complètement son pantalon.

- Mettez à vous l’aise. Profitez de se spectacle, prenez du plaisir.

- D’accord, dit Martin, toujours autant gêné mais aussi excité par cette situation, d’être la queue en l’air en face d’une femme habillée qui le matait et devant le spectacle de sa femme en train de se faire baiser.

Il se mit debout, baissa son pantalon, l’enleva, retira ses chaussettes et se rassit la bite en érection avec pour unique textile, sa chemise.

- Je dois avoir du gel dans la commode juste là, se rappela Marie. Elle se leva, et tira les 2 tiroirs mais sans succès.

- Ah non, je pensais qu’ils nous en restaient ici. Le reste est dans la chambre mais nous allons pas les déranger. Je vais vous humidifier un peu tout ça, décida Marie.

Elle s’approcha de Martin, commença à s’enfoncer deux doigts dans sa bouche pour stimuler sa luette. Elle sentit un spasme venir, de la salive et du mucus commençait à arriver abondamment. Elle maintient ce rythme au-dessus de la bite de Martin. Et soudain, un énorme vague de bave visqueuse sortit de sa bouche. Martin sentit cette texture humidifier et couvrir sa bite. Il accéléra le mouvement. Il sentait maintenant sa main glissait le long de sa queue lubrifiée. Le plaisir était extrême.

- Et voilà, cela va être plus agréable pour vous, lança Marie en s’essuyant la bouche et le coin des yeux où de petites larmes venaient d’y perler.

Victor continuait à pénétrer vigoureusement Lucie qui haletait. L'oxygène venait presque à lui manquer. Des gouttes de sueurs perlaient sur son front et longeaient le sillon de ses seins. Elle aimait ça. Se faire baiser. Et savoir que Martin était juste à coté. C'était juste le kiff.

Martin regarda Victor se décharger sur le visage de sa femme. Il était aussi debout, prêt à tout lâcher. Il regarda Marie, lui laissant un regard pour lui faire comprendre qu’il allait éjaculer d’une minute à l’autre et qu’il allait avoir besoin de mouchoirs ou d’une cuvette.

- Vous pouvez éjaculer sur ta table basse.

Martin se leva, et tira la peau de sa bite à son paroxysme. Il n’en pouvait plus. Il sentit une onde électrique remonter de son cul à ses couilles et il lacha sa queue. Un jet de foutre partit et se répandit sur la table en verre, il reprit sa bite et masturba pour la faire cracher tout la semence qu’elle avait emmagasiné. La table était recouverte de sperme.

- Bah dis donc, ce fut plutôt intense, rigola Marie en regardant Matin debout, se tenant encore la bite en érection où une goutte perlée.

Lucie et Victor sortirent de la chambre et Martin se dévoila à eux.

- Bah, dis-donc, j'ai l'impression que cela t'as plu, dit Lucie en apposant sa main sur les couilles de Martin, puis en remontant sa main pour essuyer d'un doigt le reste de sperme sortant de l'urètre.

-Oui, je crois bien que j'ai aimé ça, répondit Martin, les joues rougissantes.

- Alors, il y a aura une prochaine fois? chuchota Lucie en glissant dans sa bouche son doigt.

- Je crois bien. dit-il en l'embrassant langoureusement.