CONCURRENCE
Ahh la télé. Cette concurrente parfois rude qui rend bête et amorphe. Ce dimanche, il avait décidé de se détendre devant le WSBK, une sorte de grand prix moto.
Elle s'était assise à côté de lui sur le canapé, bouquinant elle aussi pour se détendre, dans une petite robe bleue, appuyée sur l'accoudoir et les jambes recroquevillées, tandis que lui, en bon mâle, les avaient étendues sur la table basse.
Le léger courant d'air passant par la porte fenêtre ouverte apportait avec lui les rares bruits des voitures circulant dans la rue et quelques cris d'enfants jouant dans le parc voisin. Ce petit courant d'air venant lui caresser le visage, les cheveux et même les cuisses finissait pas lui faire imaginer des mains glissant nonchalamment sur sa peau.
Elle le regardait, perdu dans son écran. Presque somnolent les yeux ouverts. Ça lui donnait un côté fragile. Mais elle voyait aussi sa chemise entre ouverte, dévoilant son torse, laissant même entrevoir un de ses petits tétons. Elle écarta un peu ses jambes mais il ne réagit pas, son regard restant fixé sur ce rectangle rempli d'images.
Elle bougea alors, se mis à quatre pattes sur le canapé pour venir caresser et embrasser se torse. D'un doigt elle écarta un pan de la chemise pour faire glisser et tourner sa langue autour de ce téton commençant à durcir. Sous sa main, elle sentit son torse monter et descendre au rythme de sa respiration qui augmentait.
Elle sentit alors une main venir caresser sa cuisse. Ah, première victoire, il n'était pas insensible. Elle remonta sa bouche pour venir embrasser son cou, tandis que sa main descendait sur le ventre avant de venir s'appuyer sur cette proéminence qu'elle sentit, engoncée dans ce jean. Elle caressa et elle embrassa.
Elle sentit cette main remonter vers sa fesse, soulever le bas de sa petite robe, caresser sa fesse, puis le bouts des doigts se déplacer vers l'intérieur de la naissance de ses fesses, vers son entre jambe. Elle soupira lorsqu'il lui toucha les lèvres alors que leurs langues s'entremêlaient. Il décolla son visage du sien d'un coup.
"Mais, tu ne portes rien en dessous ? lui dit-il, surpris.
-À quoi bon? On est dimanche, lui répondit-elle avant de se rejeter sur sa bouche et de sa main droite aller déboutonner son jean. Il se laissa aller et reparti avec ses doigts. Elle sentait son propre désir monter sous cette attaque en finesse, écartant délicatement ses lèvres qu'elle devinait plus qu'humides à la façon dont elle sentait ce toucher agréable et fluide. Elle sortit enfin le membre, détourna son visage pour apprécier du regard l'objet de son désir tandis qu'elle se devinait fouillée par une paire de doigt. Elle embrassa le gland, le lécha, puis le pris dans sa bouche, en prenant bien soin de glisser sa langue avec une légère pression. L'aspiration était importante, ni trop, ni trop peu pour parfaire le plaisir de son partenaire. Il adorait ça. Ses doigts la fouillaient encore, entraient et ressortaient de son corps, passaient parfois sur son petit trou, comme par provocation. Elle se redressa alors, se mit à califourchon sur cet homme qu'elle aimait, retira sa robe bleue pour qu'il puisse apprécier son corps entier de ses yeux et sa vulve avaler presque trop facilement ce bâton d'amour.
La télé attendra...
Annotations
Versions