FIN D'UNE JOURNEE D'ETE
Les vacances allaient toucher à leur fin. Lise m'avait avoué ses sentiments, et bêtement, je l'ai friendzonée. Pourtant elle est sympa, jolie, sexy, notamment comme aujourd'hui quand elle porte son pantalon de toile gris et sa chemise blanche cintrée. Les jeux d'eau qu'on avait fait entre amis dans l'après-midi m'avait justement laisser deviner un soutien-gorge en dentelle blanche. Le fait de lui avoir refusé mon coeur ne m'empêche pas de l'apprécier physiquement. C'est surtout que je n'ose pas m'engager.
Mais bon, là, je viens de lui proposer de prendre un burger sur le chemin du retour. Nous voilà tous les deux chez moi, en face à face, à nous dire des âneries la bouche pleine. Même quand elle crache des miettes en pouffant de rire elle est belle. Et ses yeux, son regard, merde je veux pas m'engager, ça m'effraie, mais... "J'ai grave envie de toi, là".
Qu'est-ce qui m'a pris de balancer ça comme ça ? Comme un gros blaireau ! Mais sa seule réponse est de se lever d'un coup, de se pencher par dessus la table pour venir m'embrasser. Je me lève à mon tour.
Nos langues s'entremêlent alors qu'elle est à genou sur la table. Je passe mes mains partout sur son chemisier, sur son pantalon. Elle, plus timide finalement, se contente de caresser mon dos. Moi j'ai tellement envie d'elle et sa réponse m'encourage tellement. Mes doigts agrippent ses fesses que je malaxent tendrement. Le bout de mes doigts cherche même à passer entre ses fesses malgré le tissus. Avoir son cul entre mes mains, je sens mon sexe durcir comme jamais dans mon boxer. Elle glisse ses mains sous mon t-shirt, se contentant encore de mon dos. Moi je remonte sur ses hanches, ses côtes, et je viens placer mes mains sur sa poitrine.
"Tellement envie", soupiré-je.
Elle soulève mon t-shirt, je lève mes bras, elle me le retire et le jette au hasard dans la pièce. Ses yeux sont brillants, son sourire craquant. Et elle est si sexy agenouillée ainsi sur la table. Nous nous embrassons à nouveau, alors que ses mains caressent désormais mon torse et mes abdos. Quant à moi, je m'empresse de retirer un à un les boutons de sa chemise pour délivrer enfin son soutien gorge. Je me décolle d'elle, je la regarde, la contemple. Je me rapproche. Un petit coup de langue volé sur sa langue à elle tout en dégrafant maladroitement son soutif. Elle rit, et rougit. Ses seins, petits et fermes, se dévoilent à moi. Elle se mord les lèvres, se meut pour s'asseaoir au bord de la table et agrippe la taille de mon bermuda pour me rapprocher d'elle. Je l'enlace de mes bras, je sens ses seins doux contre mon corps. Elle vient tâter mon entrejambe, l'empoigne, et commence à ouvrir mon bermuda alors que mes mains viennent englober sa poitrine. Elle plonge sa main dans mon boxer, en extirpe mon sexe. Ca me soulage, mais sentir sa main sur ma verge m'excite davantage.
Je l'invite à descendre de la table, je l'amène au canapé dans la pièce d'à côté. Me retournant sur le court trajet, mon esprit vacille la voyant tenter maladroitement de masquer son buste. D'elle même elle s'effondre sur les coussins, je me penche sur elle. L'embrasse à nouveau, puis je m'affaire à ouvrir son pantalon. Je le fais glisser le long de ses jambes, dévoilant une culotte noire toute simple. Elle reprend ses caresses sur mon membre alors que je glisse désormais sa culotte à la suite de son pantalon, libérant une toison noire mais délicatement taillée pour ne pas sortir des coutures de ses dessous. A notre époque, je m'attendais à une épilation intégrale, mais je me surprends à apprécier cette preuve de personnalité. Je me dégage de mes derniers vêtements. Je devine ses yeux mater mon membre en érection. Moi non plus je ne m'épiile pas, il faut l'avouer, mais comme pour moi, ça n'a pas l'air de la gêner. Elle se redresse, comme pour mieux le voir, mieux l'apprécier à la vue et au toucher. Elle me branle délicatement, vient embrasser ma hanche. Je n'en peux plus. Mon liquide commence à couler abondamment de mon gland. Elle l'essuie du pouce. "Tu as ce qu'il faut?", demande-t-elle.
Bon sang, l'air désolé je m'enfuie vite à la salle de bain, pioche dans mes affaires un préservatif et m'empresse de revenir vers elle. Elle semble si timide, si fragile, et pourtant quand je reviens et que je place le film de caoutchouc transparent sur mon sexe, elle se place en arrière sur le canapé, un bras derrière la tête, et me prenant le phallus de la main, elle m'attira à elle. "Non, pas trop vite" souffle-t-elle. Je viens embrasser son corps, ses seins, me présentant à son entrée, et je la sens, elle, guider et frotter mon bout sur son sexe glissant de cyprine. La sensation est chaude. J'ai terriblement envie de la pénétrer, mais en même temps je trouve ça tellement bon ce qu'elle fait. Je sens mon gland entrer tout juste en elle, à peine, et ressortir pour se frotter sur sa vulve. Elle respire en soupirant, appréciant chaque sensation. Je sens ses doigts le long de ma bite. Je descend une main dans sa toison, puis parcourir la peau entre sa vulve et sa cuisse. Je sens nos sexes détrempés, mon gland passer vers mon doigts et ses lèvres charnues et gonflées de désir. "Prends-moi" soupire-t-elle entre deux souffles.
Je rentre ma verge entièrement, mais sans violence. Pour apprécier notre union. Elle gémit. J'entame mes va-et-vient en elle, alors que mes mains s'emparent à nouveau de ses seins ou parcourent ses hanches, ses cuisses, son corps. C'est tellement bon. Je me redresse pour regarder mon sexe aller et venir dans le sien. Je caresse son ventre puis, descendant ma main, j'enfonce mon pouce dans sa toison pour venir m'occuper de son clitoris en même temps. Elle se contracte. Sa main vient accompagner la mienne. Elle avait fermé les yeux, mais les rouvre, se mord les lèvres. De timide, elle a désormais un air presque provoquant. Sentant que ça monte, je sors d'elle et l'invite du geste à changer de position. Elle me comprend et se met à genou sur l'assise, accoudée sur le dossier. Son cul est terriblement sexy, et sa touffe détrempée, aux poils collés, m'invite à replonger en elle. Je ne m'en prive pas. Mon sexe plonge en elle d'un coup, mes va-et-vient sont plus intenses, plus rapide, je devine par sa position qu'une de ses mains est partie décupler son plaisir entre ses jambes. Le fait qu'elle se cherche en même temps m'excite trop. Je me penche pour caresser ses seins qui balottent au gré de mes coups de reins. Ses gémissements se font nombreux et réguliers.
"Je ne vais pas tenir" lui avoué-je. Alors que je ne m'y attends pas du tout, elle me répond de finir sur elle. Je m'extirpe de son corps, retire le préservatif et, à peine ai-je besoin de faire un geste avec ma main, mon sperme gicle sur ses fesses et le bas de son dos. Elle continue de se chercher, je la vois qui, de temps à autre, rentre même quelques doigts à la place que j'occupais avant. Je suis épuisé, je viens m'écrouler sur elle, nous nous effondrons ensemble sur le canapé. Je sens mon foutre s'étaler entre elle et moi alors que nos peaux se collent. On reste ainsi quelques minutes, puis elle me demande : "on reprend sous la douche ?".
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