Quand la mort frappe à la porte

Elle nous guette bien souvent, de près ou de loin,

Que nous soyons âgés, jeunes ou nouveau-nés,

Elle est là, bien présente dans notre tête ou notre corps

Nous escroque nos instants de bonheurs et de paix,

Longtemps nous terrifie, mais au final nous fait rêver .

Parfois on voudrait aussi la donner à d’autres

Ou faire le meurtre de notre propre vie,

Elle peut être terrible et nous prendre sans qu’on s’y attende

Ou peut être préméditée longuement durant des années.

Après tout qu’est-ce que la valeur de la vie,

Si jamais on ne peut avoir le bonheur ?

Quand cette petite pensée émerge un jour dans notre esprit,

Jamais plus elle n’en partira, avec elle « c’est pour la vie »,

Quelle ironie quand on veut en finir au plus vite.

Là voilà cette souffrance dont personne ne veut parler

On la vit dans la peine, on la vit dans la haine.

La mort est au cœur de notre vie,

C’est ainsi qu’est le grand paradoxe de la vie…