Le début

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A ses mots, la fille disparu comme elle était apparue.

Maya n’eut pas vraiment le temps de comprendre, que la noiraude la tirait avec une douceur surprenante à l’arrière de la scène, alors qu’elles marchaient, la vendeuse brisa le silence :

- Si seulement tu avais été vendue à n’importe qui d’autre, le reste de ton existence aurait été dure mais courte, mais maintenant le reste de ta vie va être un long enfer.

- Je ne comprends pas vraiment, dit la rousse un peu perdue

- Tu as été vendu à un démon. Répondit avec une voix presque triste son interlocutrice, bordel comme c’est possible que cette psychopathe ai été au courant de la vente

- J’ai du mal vous suivre, dit maya peinant à suivre tellement l’autre femme marche vite.

- Tu le sauras bien assez vite. Coupa la femme en entre dans une sorte de dressing, après avoir pris une simple robe turquoise. Tiens enfile ça

- Heu. J’aimerai bien mais, dit timidement la jeune prisonnière en faisant tinter ses poignets dans son dos.

- Ho... pardon, la noiraude sort une clef de sa poche et libère les poignets. Si te plait laisse toi faire et obéie quand nous seront avec elle, ta vie et la mienne en dépend.

Au moment au la femme la libera maya avait pensé à la frapper et s’enfuir, mais au ton de la voix effrayer de cette dernière, elle s’était exécutée.

Une fois habillée, on lui rattacha les mains dans le dos avec des bracelets plus fin toujours relier par une chainette et on remplaça son collier par un plus sobre et léger.

Une fois prête, les deux femmes se dirigeait vers l’entrée.

Une fois arrivée, elles virent la jeune fille masquée appuyer contre un arbre fumant une cigarette.

- J’ai failli attendre, dit-elle en regard de manière hautaine les deux jeunes femmes.

- Je suis navrée madame, j’ai mis un peu de temps pour choisir une tenue pour elle. Répond la noiraude avec une voix tremblante

- Bah du moment qu’elle est là, cela devra allez ou je dois prendre une petite consolation. dit d’un ton calme et détache la jeune fille tout en sortant légèrement son sabre.

La noiraude détourne le regard et commence à avoir les mains qui tremble.

- J’espère que vous êtes heureuse de votre achat et de toute la compagnie nous vous remercions. Articule finalement la jeune femme

- Je vois, dit l acheteuse d’une voix douce faussement déçue, faites-la monter dans mon coffre de voiture.

Une fois maya installé, l’hôtesse se précipita vers le bâtiment sans se retourner. Au moment de ferme le coffre la fille masquée prévient que d’un le coffre un insonorise et de deux le trajet risque d’être un peu mouvementé.

Pendant tout le trajet, Maya regrette et se maudit de pas avoir cru à l’avertissement de ses parents, des larmes coulent lentement, elle ne se sent même pas la force de crier pour vérifier si le coffre est vraiment insonorisé.

Après un long moment sur des routes et des chemin la voiture s’arrête enfin devant une maison perdue dans une forêt, la jeune femme descend de sa voiture et va sorti Maya de sa prison. Après lui avoir mis une corde au cou elle la tire vers la demeure.

Des idées se bousculèrent dans la tête de la rousse, mais elle n’osa rien tenté à cause du katana de sa propriétaire.

À l’intérieur, le duo descendit alors dans la cave, quand elles arrivèrent, Maya regard avec peur la porte en métal fermer. La fille masquée décrocha une clef du mur puis ouvrit la porte, elle enlèv ensuite la corde du cou de maya, puis pousse son achat dans la pièce, pour enfin referme et verrouille la porte.

Maya, après quelque minute, se lèva avec peine et commença a analysé son environnement.

Il y avait dans la chambre un lit simple, une table avec une chaise, une armoire ferme à clef, un évier et une toilette sèche.

Le bruit de la porte qui s’ouvrit la fit sursauté, sa propriétaire entra d’un pas lent, elle avait échangé son top et son pantalon contre une longue robe violet, elle ne portait plus son masque et ses longs cheveux bicolor étaient tressés dans son dos, elle tienait dans sa main un boitier avec deux petites piques en métal. Maya la regard dans les yeux quelque seconde puis remarqua alors qu’ils était de deux couleur différente un argenté et l’autre bleu, le regard de la fille était hypnotisant. Soudain une gifle la ramèna à la réalité.

- Bienvenue dans ton nouveau chez toi, ma petite, voilà ta chambre. Commença la jeune femme, Tu peux oublier ta vie d’avant et ton prénom…

- Laisse-moi parti, je vous en supplie. Coupe maya d’une voix tremblante avec les larmes aux yeux

Comme seule réponse elle reçut une décharge dans ses cotes ce qui la fit tomber sur le flanc sur le sol froid.

- Je crois que je vais devoir instaurer quelque règle pour que tous se passe bien, premièrement tu ne parles que quand je te donne la permission et tu ne me regardes jamais dans les yeux, deuxièmement tu dois toujours me vouvoyer, troisièmement, Chaque une de tes phrases doivent se fini par madame ou maîtresse, quatrièmement n’oublie jamais tu es à moi donc remerciement moi aussi souvent que tu peux car j’ai le droit de vie ou de morts sur toi, cinquièmement tu porteras des vêtement que je choisirai et enfin tu as interdiction de quitte cette maison , enfin tu peux toujours essaye mais la ville la plus proche est a plus de trente kilomètre.

Maya l’écoute en sanglotant sans dire un mot.

- Je vais maintenant de donne un nouveau prénom de manière à ce que tu deviennes entièrement ma propriété, hum Roxanne, cela te plaît Roxanne ? demanda la fille avec un souris radieux en s’agenouillant pour appuie les points dans le cou de maya

- O. Oui beaucoup, merci M... Madame. répondit maya d’une voix tremblante.

- Bien cela étant fait, suis-moi. Dit son interlocutrice en la relevant grâce à la boucle du collier

La jeune fille monta les escaliers Maya sur ses talons. Une fois à l’étage, elles allèrent dans une salle a manger où les attendait deux assiette garnies d haricot, d’une purée et des petits morceaux de viandes.

La maîtresse tira une chaise sur la quel la rousse se posa tant bien que mal à cause de ses poignet attaché.

Une fois, son « invitée » assise la jeune fille alla se mettre en face d’elle puis commença à manger.

Après quelques minutes, le ventre de maya se mit à faire du bruit à cause de la faim et de la bonne odeur. Maya ne savait pas vraiment quoi faire ne pouvant pas prendre les couverts et n’ayant pas reçu la permission de parle, elle resta silencieuse.

Soudain on la tire par la boucle ,de son collier,en avant de manière à lui colle la bouche dans l’assiette, malgré son ego et son dégoût pour la viande, la jeune rousse commença à manger.

Le reste du repas se passe de cette façon de temps à autre, la jeune femme mangeait un morceau de viande, en retenant son envie de vomir, autrement elle mangeait avec beaucoup de plaisir les légumes malgré que cela soit comme un animal.

A la fin du repas, la jeune fille se lèva et pris à sa ceinture une laisse en cuir qu’elle attacha au collier de sa propriété. Elle l’amèna dans une somptueuse salle de bain. Après l’avoir déshabillée et enlevé ses liens, la jeune femme pousse la rousse sous une douche froid, au contact de l’eau Maya ne put s’empêche de pousse un cri.

Une fois la rousse bien propre et sèche, sa propriétaire lui remit un collier basique en métal fermé avec un cadenas, puis lui fit signe de la suivre. Le duo se dirigea ensuite dans la « chambre » de maya.

Après avoir sorti une clef, la jeune femme prit dans l’armoire une tunique blanche et un simple pantalon en lin qu’elle tendit à sa prisonnière. Une fois la tenue enfilée. La fille tatouée ordonna à son nouveau jouet de la suivre dans le salon.

Une fois arrivée, la jeune femme se posa sur un fauteuil et désigna le sol devant elle à la rousse.

Maya un peu hésitante se mit d’abord en tailleur, mais au regard sévère qu’elle ressentit, elle se mit timidement à genoux et attendit de voir ce qui allait se passer.

- Si tu as des questions, tu peux les poser maintenant, cela sera la seule et unique fois ou tu pourras le faire. Annonça la noiraude en allumant une cigarette, attention, si tes questions sont trop stupides je te ferai dormir dehors nue et attaché à un arbre.

- Pourquoi m’avoir acheté ? demanda Maya d’une petite voix.

La rousse reçoit une gifle qui lui rappella les règles dit plutôt.

- Premier avertissement Roxanne, dit la jeune femme

- Pourquoi m’aviez-vous acheté, madame ? demande cette dernière les yeux brillant se tenant la joue.

- Je ne sais pas vraiment, j avait bien envie d’avoir un petit animal de compagnie, répondit nonchalamment la jeune femme en soufflant un nuage de fumée

- Puis-je vous savoir votre prénom, madame ? demanda ensuite la rousse

- A quoi cela va t avance ? répond la jeune femme sur un ton menaçant

- Juste savoir à qui j’appartiens, madame. Se justifia Maya apeurée

- La seule chose que tu as à savoir est qu’on me surnom l’araignée, mais si je te le permets tu pourras parfois m’appelle maîtresse Alena, mais pour le moment reste à maîtresse tout court ou madame.

- Que suis-je à vos yeux, madame ?

- Un jouet, un animal de compagnie ou tout simplement mon esclave.

- Vous compte me tuer, maîtresse ?

- Cela dépend de ton comportement et de si je ne me lasse de toi.

- Je ne verrai plus jamais ma famille et mes amis, madame ?

- Deuxième avertissement, encore un et tu dors dehors.

- Je n’ai alors pas d’autre question, madame.

Après un long silence, Alena fit signe a la rousse de la suivre vers la porte d’entrée, après l’avoir ouvert la noiraude se décala laissant libre le passage vers la liberté de maya.

La rousse fit un premier pas vers l’extérieur, mais finalement se laissa tombe au sol, puis recommence à pleurer.

- Si j’essaye de fuir vous allez me rattraper et me faire paye ma tentative, madame ? demanda la rousse d’une voix triste avec les larmes aux yeux.

- C’est tout à fait possible. Répond l’autre avec un petit sourire animal, mais je te laisse quand même une chance de tenté de fuir.

La rousse ne bouga pas, Alena prit alors la jeune fille par la boucle de son collier et la relevée. Après avoir refermée la porte à clef, elle tira sa prisonnière vers une pièce à l’étage.

Une fois arrivée, Maya se figea sur place à la vue d’une barre de métal dans une cheminée allumée, regrettant de pas voir tenté sa chance. Il y avait aussi dans cette pièce deux chaînes avec des bracelets qui pendent du plafond.

Après enfermés ses poignets dans les liens, la maîtresse alla prendre le sceau en métal dans le feu, puis s’approcha de la jeune fille qui se débattait dans ses attaches en cuir.

Alena se mets devant son esclave. Malgré les larmes et les supplications de cette dernière elle relève légèrement le top et appuie contre son bassin gauche la barre de métal chauffer à blanc.

Au contact du métal, maya poussa un long cri de douleur et tira de toutes ses forces sur les liens. Une odeur de chairs brûle se fit sentir.

Quand la sadique enlèva finalement le sceau, une toile d’araignée faites de cordes étaits imprimée dans la chaire de maya. Quand la rousse fut libre elle tomba au sol, évanouir à cause de la douleur, les yeux exorbités.

Alena pris alors délicatement maya dans ses bras. Quand elle la releva, la jeune fille vit une petite flaque sur le sol, ce qui lui fit lever les yeux au plafond et pousser un long soupire.

La jeune fille tatouée porta son achat ensuite dans la chambre. Après l’avoir déposé sur le lit, la jeune femme enlèva la tunique et le pantalon de la rousse, pris un linge qu’elle humidifia puis utilisa pour laver l’entre-jambes de sa propriété,elle mit ensuite de la pommade cicatrisent sur la brûlure et enfin elle mit un pansement sur la blessure.

Quand la porte de la chambre fut fermée à clef, la jeune fille remonta pour laver le sol et se changer, elle remit son masque, enfila une combinaison noire et de longes bottes, s’arme de son sabre et son pistolet équipe d’un silencieux.

Une fois prête, elle récupère un grand sac dans son armoire puis alla dans le garage de la maison.

la Alena enfourcha une moto et partit à son rendez-vous.

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