La mission
Pendant son trajet, une part d’elle-même regrettait le fait d’avoir fait entre cette jeune fille dans l’enfer qu’etait sa vie et son quotidien, alors que l’autre la rassurait, car sinon cette petite chose fragile aurait pu fini entre les mains de monstres qui lui aurai fait connaître mille souffrances. Ces pensées l’accompagnerent jusqu’à ce qu’elle arrivât devant un hangar.
Etant en avance, la fille masquée essaya de remettre un peu ses idées en place. Quand un bruit la fait sursautée, elle dégaina son arme à feu et visa vers l’origine du bruit. Un homme masqué sort alors des ombres avec un léger sourire aux lèvres.
- J’aurais pu te tuer si j’en avais voulu. Dit l’homme, avec un petit rire, en tenant un couteau de cou.
- Peut-être mais moi je peux toujours le faire et ce n’est pas l’envie qui manque. Se défend la jeune femme un peu honteuse.
- Je ne sais pas si c’est vraiment une bonne idée que je te confie ce petit travaille. Dit son interlocuteur soudain sur un ton très sérieux en rangeant son arme et en arrivant à sa hauteur, tu ne sembles pas vraiment en plein forme.
- Je suis tout à fait capable de faire ce travail, répondit Alena sur la défensive.
- Tu es vraiment sur ? demande l’homme avec un sourire malicieux, cela sera dommage que ton petit jouet doive être revendu à ta mort.
- Il n’y a pas de risque, en plus elle porte ma marque donc elle n’aura aucune valeur. Dit la jeune fille avec dédain.
Un silence pesant s’installer alors.
Après quelque minute, l’homme sort un dossier de sa veste et le tend à la jeune femme avec une enveloppe.
- Voilà la petite tache noire a notre joli tableau, cette petite merde a cherché où il ne fallait pas. Dit-il d’un ton détacher
- Je vois, cela doit être un accident ou une mise en garde ? demanda la fille masquée
- Un exemple pour toutes les personnes qui ne respecte pas nos règles plutôt. Annonça l’homme avec un sourire animal
- Cela sera fait alors, le reste comme d’habitude après le travail ?
- C’est exact,
- Je laisse ma signature je présume.
Comme seul réponse l’homme disparu dans les ténèbres comme il était venue.
La jeune fille lit rapidement le contrat, puis le mis avec l’argent sous son siège et partit ensuite vers sa cible.
Après quelque heure de route, Alena arriva vers un club très huppé de la ville, elle déchargea alors son véhicule et monta sur le toit du bâtiment en face, grâce à l’escalier de secours. Une fois en haute, la jeune fille sortit du sac un long fusil équipe d’une lunette avec un long tube et un silencieux. Elle s’installa, alors commença la longue attente.
Quand vient enfin l’heure de fermeture du club selon le dossier, elle colla son œil dans le viseur et surveilla la porte d entrer. Après quelque minutes Alena sentit que quelque chose ne jouait pas, elle remonta discrètement son viseur puis commença à chercher ce qui clochait. Après quelque minutes, Alena remarqua pendant une seconde un reflète sur le toit en face de sa position.
La jeune tueuse retint un petit rire, sa cible avait engagé un tireur amateur, qui n’avait même pas pense empêche les reflets dans sa lunette, pour le protégé. Elle détendit son doigt puis appuie sur la gâchette. Un faible bruit de verre et de crâne qui se brisait se fit alors entendre.
Elle rangea alors ses armes dans le sac et alla les déposer sur la porte bagage de sa moto. Un léger sourire se dessina alors, la chasse allait pouvoir commencer. Elle récupéra une robe bustier sous son siège, l’enfile et mit une fourrure sur ses épaules, puis enlèva son masque, attacha ses cheveux et piqua une broche dedans, enfin elle se dirigea vers l’entrée.
Le videur en la voyant commence à lui faire signe de ne pas entrer mais quand, cette dernière lui tendit quatre billets de cents, il la laissa passer après une fouille au corps. La jeune femme entra alors puis se mélangea a à la foule masser à l’intérieur. Après quelque minute elle trouva sa proie à une table en train de parle avec une danseuse du club.
L’assassin regarda le duo parler et quand la femme partit pour les toilettes, Alena la suivit.
Une fois dans les toilettes, la jeune fille attendit d’être vraiment seule avec la femme, puis s’approcha de cette dernière d’un pas hésitant comme si elle avait abusé d’alcools, une fois très proche elle colle la broche en métal de ses cheveux sous la gorge de la femme en faisant attention que cette dernière ne puise pas voir son visage et lui demanda gentiment si son patron est au courant de ce qu’ elle fait ; parle à un policer, au regard panique de cette dernière, la jeune fille concluait que non.
La jeune fille réfléchit quelque minute, soit tuer cette jeune femme par pur plaisir, soit l’endormir et l’enfermée dans un placard.
Si elle devait suivre les règles, pas de témoins pas de problèmes, mais en même temps, la danseuse ne semble pas vraiment être là par choix mais par nécessité.
Avec un petit soupir. Alena appuie un peu plus sa lame sur la gorge de sa victime, quand les premières gouttes de sang perlèrent. Elle chuchota à l’oreille de la femme de quitte le club par la porte de derrière et de ne plus jamais revenir. Juste avant de la lâcher, elle glissa quelques billets dans le haut de la femme et l’avertit que la prochaine fois la jeune femme risquait de pas s’en sorti en vie et elle parlait à nouveau à la police.
Une fois sur que la femme était partie, elle soupire la femme ne faisait pas parti du contrat et aussi les cicatrices qu’elle avait senti dans le dos, lui donnerai raison de lui laisse la vie sauve. Elle pense au fond d’elle-même qu’elle n’a pas que son travaille en tête, une part d’elle pense quand même à son achat se qui la ramollissait un peu.
Alena passa alors rapidement de l’eau sur son visage pour remettre ses idées aux claires, elle retourna ensuite vers la table de l’homme pour s ’installer en face de lui.
- Bonsoir a vous, mon amie a dû partir, une affaire urgente a règle. Dit la jeune fille avec un petit voix évitant de regard l’homme dans les yeux, mais elle m’a envoyé ici pour répondre à vos questions.
- Je ne vois pas vraiment de quoi vous parle. Répondit l’homme suspicieux.
- Vous êtes sûr, vous n’est pas là pour faire tombe le patron de cette boite ? demande la jeune fille en regardant autour d’elle, vous saviez, mon amie et moi risquons grosse si on apprend qu’on vous a parlé
- Ne vous inquiète pas pour ça. Répond l’homme sur un ton rassurant, une fois cette affaire terminé, l’état vous offrira une nouvelle identité et assez d’argents pour vivre le reste de votre vie, bien sur les infos que vous allez nous donne doivent être capital pour que cela soit possible.
La jeune tatouée se retient de lui tranche la gorge a ses mots, par le passé elle avait tué des témoins clef ou des mouchards qui soi-disant étaient en sécurité avec de nouvelles vies.
- Si cela ne vous dérange pas, je préfère vous en parle dans la ruelle en face. Propose la fille d’une voix tremblante en penchant légèrement la tête vers le sol
- Heu bien sûr. Répondit son interlocuteur en payant sa consommation
Le duo se dirigea vers la sortie, en passant à côté, la jeune femme reversa discrètement et de manière accidentelle une tour de coupe de champagne sur un groupe d’hommes, ces derniers se retournèrent et commencèrent à disputer avec un jeune homme qui se trouve à côté de l’ancienne pyramide, une bataille éclate alors. L’un des hommes bouscula légèrement la jeune femme qui tomba sur le policier, elle se redresss et s’excusa avec un petit sourire gêné.
Lorsqu’ils passèrent la porte le vigile entra et se dirigea vers le groupe d homme qui se battaient. Une fois dans la ruelle déserte, la jeune femme fille s’approcha de son véhicule et fit lentement tomber sa fourrure laissant apparaître le tatouage de toile. L’homme le regard quelque minutes surpris et commença à sourire.
- Si je m’attendais à ça, je vous arrête au nom de la loi. dit l’homme en continuant à sourire
- Vous n’êtes pas ici pour arrête le patron du club ? demanda la jeune fille avec un voix faussement surprise toujours dos à l’homme
- C’est vrai c’était dans mes plan, mais avoir un des membres de la toile, serait bien mieux.
- Si vous savez qui je suis pourquoi ne pas sortir votre arme pour me mettre en joue, demanda la fille tatouée avec un petit sourire.
- Il n’y a pas besoin, tu ne sembles pas vraiment être trop dangereuse. Dit-il en prenant quand même la crosse de son arme. Tu dois tout au plus être un de leur pion, sinon tu porterais ton masque pour cache ton visage.
- Un comme celui-ci ? demanda-t-elle en souriant tout en récupère du sac de sa moto son masque de fennec.
Son interlocuteur recule d’un pas de surprise.
- Que…quoi … comment. Articula l’homme en sortant son arme.
- Que se passe-t-il monsieur l’agent, je ne suis pas censé être juste un pion ? demanda la jeune fille en enfilant son masque.
- Ce masque, mon dieu ma carrière va décolle, vous êtes l’araignée, dit l’homme souriant de plus belle, un pas de plus et je vous tue
- Vous en êtes vraiment sur ? demanda-elle en avançant dans la direction de l’homme le regardant de ses yeux bicolor
- Je vous jure que je vais tirer. Menaça ce dernier enlevant la sécurité
- A votre place je ne ferai rien, tire à vide peut parfois faire explose son arme, dit Alena avec un sourire en sortant le chargeur du pistolet et une balle.
- Que… commença interloquer l’homme
- Pendant la petite bousculade dans le club, coupa la jeune fille avec un sourire lâchant les objets au sol.
- Je ne suis pas venu seul, un pas de plus et mon ange gardien va vous tuer, avertit le policer avec un demi sourire peu assurer.
- Encore faut-il qui respire encore et soit encore de votre côté, ricane la jeune fille en récupèrent sa broche dans ses cheveux.
Le sourire de l’homme disparu quand du sang giclent depuis son cou.
- Ne vous inquiétez pas, vous auriez été à la haute. Rassure l’assassin, mais pas contre moi
- Comment aviez-vous su ? articule avec peine l’homme crachent un peu de sang
- Un de vos collègue n’a pas vraiment aime que vous lui piquer une affaire, le fameux qui devait vous couvrir. Répondit la femme en enlevant sa robe, j’aurai pu vous tuer de manière rapide et discrète mais j’ai changé d’avis quand j’ai entendu vos paroles sur les témoins.
- Comment cela ? demanda avec peine son interlocuteur.
- Vos belles paroles n’ont aucune valeur et son fausse. Dit Alena, d’une part ce que j’en ai retrouvé puis tuer beaucoup et de deux j’ai eu des frère et sœur qui vous ont cru, j’ai dû les effacer.
- Sale monstre, vous n’avez aucun code d’honneur. Accusa l’homme à bout de force
- Peut-être, mais il y a une seule chose que je respecte, ceux qui porte ma marque. Dit la jeune fille en allant chercher dans son sac un jean, un top et une longue veste en cui. Les autres ne sont en vie par ce que j’ai la flemme de les tuer ou que aucun contrat intéressant n’est proposé.
L’homme agonisa encore quelque minute et finalement s’éteint, ce qui laissa le temps à Alena de finir de s’habille. La jeune femme lui sortit alors les yeux de leur orbite, elle les mit ensuite dans un petit bocal, y inscrit une date et un nom, puis remonta sur sa moto.
Elle roula alors en direction de sa maison en passant un appelle.
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