Poésie personnelle
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En caressant la rosée du matin
J'espère embrasser tes lèvres carmin
Qui me hantent dans mes rêves
Et qui m'obsèdent quand je me lève.
Regardant le crépuscule tomber,
Je vois encore tes courbes,
Elles m’enlacent, elles sont fourbes;
Tu m'as emprisonnée.
Manipulant ma vie comme un jouet,
Je te laisse prendre mon sourire,
Mes larmes, mon esprit s'en vont t'aimer.
Il n'y a que toi qui peux me lire.
Nos regards éclatent un rire en plein cœur,
J'ai beau être en pleurs,
Chaque battement ressentis,
Te sont asservis.
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