18,07,2021, DIMANCHE
Toute la nuit, les basses d'un son sauvage et enivrant ont parcouru la contrée. Après la fête au bar, c'est dans la forêt que d'autres ont festoyé. Ceux là ils n'avaient certainement pas de masque. Ils sont habitués à la clandestinité, à la rébellion. Ils sont habitués à tenir leur destin dans le creux de leur main. Le vent, toujours, qui ronronne dans les arbres.
Comment croire que le chaos est à deux pas, quand le village est si calme ?
Il est étrange que l'on tienne les faibles et les non violents responsables des actes des dictateurs et des brutes. Il y a quelque chose qui ne va pas, là. Non ?
Les politiciens nous imposent des mesures de santé. Ça semble bizarre, mais, en même temps, ils ne prêtent pas le serment d'Hippocrate, eux !
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