Blanche pointée de fin de partition

2 minutes de lecture

Bonsoir,

Tout d'abord, merci d'avoir suivi cet arc, "les filles soul(es) et le jazzeux". C'est toujours un très grand plaisir pour moi de vous savoir présent.es, que ce soit de courts instants ou que vous soyez particulièrement assidu.es (j'interagis en commentaire avec la constance d'une vague en haute mer, j'en ai bien conscience, veuillez accepter mes plus plates excuses). C'est un tout aussi grand plaisir de recevoir vos critiques qui sont souvent (quasiment toujours !) incroyablement constructives et ce n'est pas peu dire parce qu'il y a du boulot avant de faire de moi un prix Goncourt, je sais ;)

Les mots que je vous ai livrés ici se veulent honnêtes - l'est-on jamais complètement ? En tout cas, ils reflètent le quotidien d'une jeune fille de tout juste 23 ans, un peu mélo, aux amitiés redondantes mais stables, aux amours rares mais presque toujours chaotiques, ployant régulièrement sous le poids de ses études (il paraît qu'un jour je serai la reine du pétrole, mais en attendant je n'ai pas un rond sur mon compte bancaire et on m'a craché dessus hier pendant une garde), le tout sur fond d'un bon gros syndrome de l'imposteur. Comme vous vous en doutez sûrement, je vis un peu trop dans ma tête pour que ce ne soit pas un petit peu pathologique et bien que je n'ai pas la prétention de voir en moi un Baudelaire des temps modernes, il faut que ça sorte. De fait, vous avez lu 80 textes de et sur ma petite personne. C'est énorme. Incroyable. Encore merci.

Par ailleurs, j'ai conscience d'avoir terminé "l'œuvre" sur un texte ambigu. En anglais, qui plus est. Il est probable qu'outre le fait qu'il ait une véritable signification pour moi, je voulais aussi rappeler à tout le monde qu'il ne faut pas non plus me prendre trop au sérieux : je débite énormément d'âneries - mes ami.es et ma famille hochent vigoureusement la tête non loin.

Comme avec les autres textes que j'ai publiés sur cette plateforme, viendra un jour où la vue du titre "Les filles soul(es) et le jazzeux" m'insupportera et ce jour-là, "l'œuvre" disparaîtra. Paf. Comme le chien. D'un coup, d'un seul. Sans prévenir. Mais comme l'heure n'est pas encore venue, je le laisse ici et si l'envie d'y refaire un petit tour vous prend. Je vous y accueille à bras ouverts. En outre, si vous avez pris goût à mon dramatisme sans faille, je vous invite à rejoindre "Les clocheux" qui sera, ma foi, bien similaire.

Sur ce, passez une excellente soirée, dégustez le ciel des yeux et dévorez le présent, il lui arrive de se faire beau.

À bientôt,

Laroutourn :)

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 2 versions.

Vous aimez lire Laroutourn ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0