Grosse salope, il est temps de payer 3/8.
Je m’éclate à rire.
Moi : Amir, je disais ça en rigolant, il y a quelques années, tu avais dit que tu trouvais les Hentaï bandent, alors, j’ai réutilisé ton info, je te rassure, je ne suis pas rentrée sur ton pc, et sur aucun de vos pc, promis.
Sophia : ouais, tu l’avais dit, et si je me souviens bien, tu avais dit que “ tu aimais leurs gros nichons et les entendre gueuler comme des salopes. “
Nous rigolons tous.
Nous finissons de manger en discutant tranquillement, quelques fois, je repose mon pied sur son pénis, je suis contente, il bande toujours, je souris intérieurement.
Je ne savais pas qu’il était aussi facile de rendre un homme fou.
Et qu’il était aussi facile de le contrôler, juste avec mon pied, je n’en reviens pas...
Moi : c’est bon, depuis qu’ils ont changé de chef la bouffe est meilleur.
Alan : oui, au moins, maintenant, je n’ai plus mal au ventre.
Sophia : et nous avons moins de chiasse.
On rigole tous, mais oui, elle a bien raison.
Moi : je vais aux toilettes, je reviens.
Lucie : ne bouche pas les chiottes.
Moi (en souriant) : je ne te promets rien.
On rigole, je vais aux toilettes, je fais ce que je dois faire, une fois fini, les mains propres, je me regarde dans le miroir des toilettes, j’ai des picotements dans mon bas-ventre.
Moi : non, je ne vais quand même pas faire ça, tes folles ou quoi ?
Je me regarde pendant deux bonnes minutes, quand d’un coup, ma main plonge dans mon pantalon, j’en sors mon phone.
Sms à Antoine.
Moi : je suis dans les toilettes du 4e, dans le box au fond, je suis toute seule et j’ai envie de compagnie, qui est en forme, comme pendant le repas.
10 s après.
Antoine : je croiyer que tu voulais être discrète.
Moi : pourquoi tu crois que j’ai choisi ses toilettes-là ?
Pas de réponse, j’attends, mais personne n’arrive, alors je me décide à sortir quand d’un coup, la porte s’ouvre un peu, une tête passe, Antoine me sourie.
Antoine : je peux ?
Moi (sourire) : oui bébé.
Il entre, je rentre dans un des box.
Il se colle contre moi, son sexe est tout dure.
Il m’embrasse directement, il me caresse le dos, jusqu’à la naissance de mes fesses, il n’ose pas, franchir la frontière, je lui attrape la main pour lui faire passer la ligne pour qu’il me touche les fesses, je pense qu’il aime bien, je sens son sexe qu’il vient de bander plus fort.
Antoine : tu es chaude Maëlys.
Moi : oh oui, tu n’imagines pas.
Je passe mes mains sur son sexe, que je caresse, je lui ouvre son jean sans aucune difficulté, il ne réagit pas, il n’en revient pas de ce que je suis en train de faire, je plonge la main dans son boxer, pour prendre sa bite en main et la branler.
Antoine (sa tête tombe en arrière) : HMMMMMMMM.
Je le pousse un peu pour fermer la porte, je rabaisse la lunette des toilettes, je m’assois, il est devant moi, le sexe a l’aire, les jeans sur les chevilles, je me penche en avant pour prendre son sexe dure comme du béton en bouche, un coup de langue sur son gland, je récupère un peu de pré sperme, il pose ses mains sur ma tête, il se mord la lèvre pour ne pas gémir.
Je suis complètement folle.
Je glisse ma main dans mon sac, je recherche aux touches, il me faut un petit moment pour trouver, je suis contente lorsque mes doigts touchent la boite, je la sors et j’arrête de le sucer.
Moi (en lui montrant la boite de capote) : tu aurais envie ?
Antoine : sérieux ?
Je le pousse contre la porte des toilettes, je me lève, je le regarde droit dans les yeux mes mains descendant vers le bouton de mon pantalon, je l’ouvre et je descends ma culotte toute mouille, je m’installe du mieux que je peux sur le chiotte.
Moi : j’ai envie toi, ici, et maintenant bébé (je me caresse le minou.) regarde comme je te veux. (je suis toute mouillée.).
Antoine : nous sommes complétement fous, tu sais qu’on peut se faire viré ?
Moi : je m’en fou Toinou.
Je lui balance une capote qu’il attrape au vol, il me regarde un court instant, puis il ouvre et met la protection.
Antoine : on n'aura pas le temps bébé.
Moi : si tu n’arrêtes pas de parler, oui, on n'aura pas le temps bébé.
Il arrête de parler, il présente son pénis à l’entrée de ma chatte, il joue un peu avec mon clito, il me fait frissonner, j’attrape Antoine par le bras pour le tirè vers moi, il entre d’un coup.
Moi : ENFIIIIIIN HMMMMMMM, oui bébé, prend moi, je suis à toi, attend.
On échange de place, il s’assoies sur le chiotte, je monte sur lui.
Antoine : OOH OUI, BIEN MIEUX MON COEUR.
Moi : je sens mieux ta bite bebe, OUIIIII CONTINUE.
Cinq minutes après.
Antoine : je vais venir MAELYYYSSSSS.
Moi : oui, mon cœur va y.
Antoine : HMMMMMMMMM (il attrape mes fesses qu’il serre fort.).
Moi : TOINOUUUUUUU (Je me colle contre lui, je lui mort l’épaule, mon corps n’arrête pas de trembler, je suis incapable de bouge, je ne peux plus respirer.).
Je reviens doucement à moi, lorsque j’entends Antoine.
Antoine : bébé... Mon cœur... Tu es là (Mes yeux reviennent à la normale doucement.) aaah tes là, tu m'as fait peur mon amour.
Moi : qu’est-ce qui sait passer ?
Antoine : je ne sais pas, on dirait que tu avais fait un malaise mon cœur, ça va ?
Moi : oh oui mon cœur.
Antoine : je suis désolée, mais la première sonnerie à retentir.
Moi (sourie) : putain, on ne peut même plus faire l’amour tranquillement… Pauvre monde...
Il met la capote dans les toilettes, je me rhabille.
Je vois les preuves de détruite, on sort en même temps.
La porte des toilettes se referme derrière nous…
Quelques parts dans le lycée.
Une voix : quelle grosse pute, je la tiens cette salope...
À suivre...
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