Il faut toujours y croire 5/8 :
[Bonjour la Team, j'espère que vous allez bien, je vais très bien en ce début d'année, avant de vous laisser avec les suites, je souhaiterais vous souhaiter une excellente année, la santé, et le plaisir de l'amour.]
Moi : je l’ai mis à l’envers ?
Maman (les yeux humides) : oh non mon ange, tu es magnifique, une beauté... Tourne sur toi-même (je tourne.) tu as le dos découvert jusqu’au milieu... Mais oui, une véritable princesse des contes de fée… C’est une soirée de quoi déjà ?
Moi : la responsable de l’association, nous invite à une fête de fin d’année.
Maman : et elle envoie une robe de soirée ?
Moi : je n’en sais rien, je ne sais pas grand-chose.
Maman : fait attention quand même.
Moi (sourire) : ne t’en fais pas, je vais prendre mon couteau avec moi.
Maman : bien… (elle me regarde de la tête au pied.) Il y a un truc qui ne va pas... Attends... Oui... Mais...
Moi : quoi ?
Maman : c’est une robe qui est faite pour être près du corps, pour bien épouser les courbes, ça ne me plaît pas trop... Je voudrais qu’on essaie un truc, repasse dans la salle de bain et retire tes sous-vêtements, j’aimerais te voir dans la robe.
Moi : ouais, si ça peut te faire plaisir.
Je retourne, je retire délicatement la robe, elle doit valoir un bras.
Je la pose sur une chaise, je retire mon soutif et ma culotte.
Puis je repasse la robe, lorsque le tissu touche mes mamelons, puis à ma peau, mon corps est parcouru de frissons, je me retiens au lavabo, je me surprends même à mouiller.
Maman : ça va ma chérie.
Moi (je tremble.) : oui maman, j’arrive.
Il me faut quelques minutes pour reprendre le contrôle, une fois chose faite, j’ouvre la porte et me présente à ma mère.
Maman : ah, oui... Bon... (sourire) T'es vraiment plus une enfant mon cœur, je me rends compte que tu deviens une très belle jeune femme, tu vas en briser des cœurs.
Je passe les talons, maman pendant un long moment m’explique encore des conseils pour marcher, monter des escaliers.
Rapidement, l'heure du repas arriva, une fois fini, je suis remonte dans la chambre des parents pour me préparé.
Maman : magnifique, attend ne bouge pas (elle prend son phone, photo.)
Moi : mamaaaaan.
Maman : je vais devoir attendre des années avant de te revoir dans une robe comme celle-ci, alors j’en profite, encore quelques une mon ange.
DRINGGGGGG.
Moi : ouf.
Maman : on ne peut jamais être tranquille, je reviens.
Elle sort, j’en profite pour me regarder dans les miroirs de maman.
Maman : mon ange Lucie est là.
Moi : ouais, j’arrive... Enfin d’essai.
Deux minutes après, je descends les escaliers.
Elles discutent ensemble, lorsque j’arrive dans les escaliers, Lucie lève la tête, elle me regarde bouche bée.
Maman : t'es encore plus belle, avec cette coupe de cheveux.
Moi : roo maman.
J'arrive en bas, je remarque que Lucie ne porte rien non plus sous sa robe, elle dessine bien son corps, ses petits seins et ses fesses sont bien mis en valeur...
Lucie : c’est vraiment toi ? Qu’est ce qui t'es arrivée ?
Moi : tu veux que je te frappe ?
Lucie (sourire) : ah oui, c’est bien toi, tu es magnifique.
Moi : oh non, a côté de toi, je ne suis rien.
Maman : ne bougez pas les filles.
Elle nous mitraille de photo.
Moi (J'avance vers la sortie.) : comment on fait pour se rendre là-bas, d’ailleurs, c’est où ?
Lucie : Agathe, nous a envoyer une voiture (je sens ses yeux, sur mes fesses, j’en frissonne, lorsqu’elle me rejoint elle est toute rouge.) on va nous conduire.
Moi : bien, maman, je rentre vers 18 h, je te tiens au courant par messages, je t’aime.
En partant vers la voiture, elle nous films.
En arrivant devant la maison, une voiture nous attend, nous voyons une femme chauffeur qui descend pour venir nous ouvrir la porte.
Chauffeur : mesdames,
Moi : bonjour,
Chauffeur : pouvons-nous y aller mesdames.
Moi : Lucie ?
Lucie : oui merci.
Chauffeur : allons-y.
La grosse berline allemande démarre, après quelques minutes dans le centre-ville, nous prenons la direction de Lille.
Vingt min environ, nous sortons, on s’enfonce dans ce qui ressemble à une petite foret, en regardant devant nous, on aperçoit un grand portail, un panneau à l’entrée où il est noté bienvenue Au Haras, nous arrivons devant un pont en pierre.
Chauffeur (elle nous passe un numéro.) : lorsque vous allez vouloir partir, un simple sms, et j’arriverais, mesdames.
Moi : à 18 h
Chauffeur : bien madame, comme il vous conviendra.
Deux employées de maison arrivent à notre niveau, ils ouvrent les portes.
Employées 1 : mesdames, bienvenue au Haras, passé une excellente réception.
Lucie : pardon, mais ou doit aller ou ?
Moi : c’est notre première fois.
Employées 1 : pas de soucis mesdames, vous prenez le pont, au bout, vous trouverez le château.
Moi : château...
Employées 1 : oui madame.
Moi : d’accord.
On avance du mieux que possible, nous n’avons pas l’habitude de marcher avec des talons.
Lucie : oh, putain, regarde le truc.
Moi (bouche bée) : ah ouais, c’est vraiment un château.
En regardant autour de nouveau, je vois des chevaux, c’est vraiment un haras, on dirait, lorsque nous arrivons au bout du pont, nous voyons Agathe qui parle avec ce que je présume être des invitées de la soirée, lorsqu’elle tourne la tête dans notre direction, sa conversation s’arrête, elle laisse ses invitées pour venir vers nous, avec son plus beau sourire.
Lucie : putain regarde la bombe.
Moi : elle est sacrement sexy.
Lucie et moi, avons un frisson chacun.
Agathe porte un ensemble rouge, échancrée qui remonte jusqu’à ses hanches.
Lucie : oh, mon dieu, tu as vu ?
Moi : elle ne porte rien en dessous... On voit ca...
Agathe : aaaaah voilà, les plus belles de la partie (Elle nous fait la bise.) je suis très heureuse de vous voir, merci d’être là.
Lucie : merci de nous avoir invités.
Moi : oui merci.
Agathe (elle nous regarde de la tête au pied.) : vous êtes toutes les deux magnifique, vous êtes bien les plus belles de la partie, je suis heureuse de ne pas mettre tromper sur vos tailles, vous êtes de toute beauté, vous allez en faire tourner des têtes mesdames.
Moi : merci pour le compliment.
Agathe : il est sincère, je ne me force pas avec vous deux, par contre avec les deux qui arrivent, là, je vais devoir me forcer... L’ensemble de la propriété vous est accessibles mesdames.
Lucie et moi : merci beaucoup.
Moi : j’espère que nous allons de voir plus tard dans l’après-midi.
Agathe : oui, vous pouvez compter sur moi.
Moi : excellent, j’ai des questions. (sourire)
À suivre.
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