Il faut toujours y croire 7/8 :
Moi : tu me conduis ou là ?
Lucie : c’est un truc de fou Maëlys.
Nous sommes juste devant l'entrée, on ne peut pas s'empecher de lever la tête, on dirait le chapiteau d'un cirque, en avancant nous arrions dans un tunnel, au début nous on ne voit rien, on entends des bruits qui viennent de plus long, on avance doucement quand d'un coups, nous voyons une femme à gauche qui est pratiquement nue et un homme a droite dans le même état.
Moi : euuh
Lucie : ça ce n’est rien.
Nous passons dans un petit tunnel au bout, nous devons descendre un escalier, on arrive la piste du chapiteau, elle est énorme à vue d’œil je dirais plusieurs dizaines de mètres, autour de la piste nous voyons des gradins, on peut voir des grands canapés.
Lorsque mes yeux reviennent sur la piste, je constate qu’il y a plein de monde, en voyant un chapiteau, on s’attendrait à voir un cirque.
Ah ben non, pas cette fois...
Nous voyons des femmes et des hommes de notre âge qui entre sur la piste.
Sauf qu’ils sont complètement nus.
Je suis bouche bée, lorsque je tourne la tête en direction de Lucie, je remarque qu’elle est dans le même état que le mien.
Je tourne la tête vers la piste lorsque j’entends gémir, en regardant de plus près, je vois une femme qui est en train de donner des coups de langue, de lécher le clito d'une très belle femme, je ne sais pas pourquoi ça me déclenche un frisson dans mon dos.
Je trouve cette scène tellement excitante, mes mamelons pointent de plus en plus, j’ai de plus en plus chaud, j’ai l’impression de rêver, je vois un homme en érection qui arrive derrière la seconde femme, il présente son pénis puis entre d’un coup, malgré le fait qu’elle lèche sa partenaire, elle arrive à gémir.
Moi : c’est complétement…
Mes mains descendent doucement sur mes tétons qui me fondent mal dans cette robe, j’ai de plus en plus de mal à garder le contrôle.
Je tourne un peu le regard sur le côté gauche de la piste, je vois une femme qui met à quatre pattes, en la regardant, on la prendrait pour la sœur jumelle de Lucie, la regarder, me donne encore plus chaud.
Il faut vraiment que je me caresse en rentrant chez moi... Un homme blond qui est entièrement nu qui fait son entrée, son sexe est en érection, elle est énorme, il plonge la main dans son jean.
Il en ressort avec une capote, en un rien de temps, elle se retrouve sur cette très belle bite, je me mort la lèvre, je n’en reviens pas, je suis à moins de 5 mètres d’une baise géante.
Mon regard revient sur le blond et la brune.
Quand d’un coup, la brune tourne sa tête vers moi.
Moi : Lucieeee (Au même moment le mec entre ca longue bite dans la chatte de mon amie, je n’en reviens pas).
Je ne sais plus contrôler mon corps, mes yeux sont attirés par les fesses de ma copine.
Lucie : OUII, encore, BAISSE MOI AVEC TA GROSSE BITE...
Elle se mord la lèvre en me regardant, je ne sais pas pourquoi, mais je m’approche, il n'y a pas de doute, ma meilleure amie est en train de se faire prendre devant moi.
Elle me regarde dans les yeux, nos regards ne se séparent plus.
Je vois deux mecs qui arrivent à côté de moi, ils étaient à l’extérieur, ils sont complétement à poil, ils se masturbent en regardant ma Lucie.
Je tourne la tête, il y a deux mecs, ils sont toutes les deux-deux longues bites, mon regard se replace sur Lucie lorsque je l’entends gémir.
Mon souffle se bloque, lorsque je la vois passée sa main sur son Clito.
À cet instant-là, mes mains, qui étaient sur mes seins, prennent la direction des deux longues bites, le contactent de ses monstres me font mouillée.
Mec 1 : oooh oui, putain.
Mec 2 : on a eu raison de revenir, elle branle bien.
Mec 1 : une pro la meuf (il me regarde.) tu peux me sucer ?
Je suis incapable de lui répondre, je suis concentré par les mouvements de la bite du blond, sa chatte de Lucie accueille avec plaisir cet engin.
Mec 2 : laisse tomber, elle doit imaginer de se faire baisssssse.
Mec 1 : je vais jouiiiirrr, ce n’est pas possibllleeeee AAAAAAAAAAHHHHHHH.
Des gets de sperme atterrisse sur la robe de Lucie.
Mec 2 : putain sait qui cette meuuufffff AAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHH.
Une grosse quantité de sperme atterrie sur le mec qui ne râle pas, il en prend pour le lèche.
Lucie : stooppp (Le blond s’arrête d’un coup).
Elle me regarde, puis se lève, elle vient vers moi.
Nos yeux ne se quittent pas, on s’approche l’un de l’autre.
Nos bouches se touchent, délicatement, mon cœur va exploser, j’ouvre la bouche sa langue entre, elle touche la mienne, nos corps sont collés, je lui caresse le dos, les fesses, je m’aventure même à lui toucher les fesses, mon doigt s'aventure entre ses fesses.
Nos bouches se décollent, je lui embrasse le cou, lui mordille l’oreille.
Lucie : Maëlys, tu me rends folle.
Je peux sentir ses mamelons qui sont dans le même état que les miens, elle me rend folle, j’ai envie ici et maintenant.
Une femme (arrive à côté de nous et avec le sourire.) : vous avez un salon sur le côté si vous voulez (On se sépare et on la regarde toute gêner.) il ne faut jamais avoir honte d’avoir envie de faire l’amour, surtout quand l’amour est là. (elle nous montre un couloir.)
On se regarde, puis en même temps, nous allons dans le couloir main dans la main.
Nous rentrons dans une chambre puis fermons la porte, et toujours dans le plus grand silence.
Nos bouches se retrouvent, nos langues entrent dans une danse folle, elle me caresse les fesses, elle remonte ma robe, je lui fais la même chose.
Quand d’un coup, je la pousse sur le lit, elle tombe, elle me regarde avec envie, elle se mord la lèvre, je la rejoins et nos lèvres reprennent de plus belle, elle place ses jambes autour de ma taille et ses mains sur mon dos.
Je lui caresse le sein droit tout en lui embrassant le cou.
Lucie : HMMMM MAËLYS.
Je suis allongé sur elle, nos yeux se croisent.
Lucie : je t’aime.
Moi : je t’aime ma Lucie.
Nos bouches se rejoignent rapidement, je me redresse, je retire ma robe que je balance à terre.
Lucie : tu es tellement belle... J’ai tellement envie toi.
Moi : j’ai aussi envie toi ma Lucie.
Je prends une seconde pour la regarder, elle est purement magnifique, je vais l’embrasser, ma main lui caresse son sein, elle gémit, j’aime entendre que je lui donne du plaisir.
Je lui pince son mamelon, elle gueule, ça me donne envie d’aller plus loin, je lui suce son mamelon.
Lucie : PUTAIIIIIIN OUIIIII (je lui mords.) AIIIIIIIIIIE, ENCOREEEEE.
Je m’occupe de ses beaux seins pendant un long moment, elle n’arrête pas de gémir, je descends doucement, mais sûrement vers sa vulve qui m’appelle depuis un moment.
Je lui donne un coup de langue.
À suivre.
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