De nuages il se couvre, on le nomme Éternel.

Son souffle régit tout et rien ne le dicte,

Beaucoup le disent cruel et craignent son verdict

Garde l’équilibre, forte sentinelle.

L’Homme s’impose à lui tel un vil criminel,

Au défi qu’Il lance, la réponse est stricte ;

Voilà la tempête, tombe sa vindicte

Absente tendresse, rage originelle.

Sa patience s’efface au vu de tant d’horreurs

Perte du droit de vie, ne reste que fureur

De l'obscure surgit l’appel de leur place.

Un espoir subsiste quand l’eau se retire

Le temps se défile mais fort les enlace

Frappants sont les signes qui veulent avertir.

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Petite inspiration venant du boulot. Je travaille principalement en extérieur et dois de plus en plus me battre contre les éléments.

Quand la tempête se lève. Quand des rafales de 100km/h vous frappent. Quand le vent hurle à vos oreilles et abat tous vos efforts. Quand la pluie devient assassine et vous blesse d'un millier d’aiguilles...

Le désespoir me guette. Son étreinte a l'air calme et confortable, son murmure m'encourage à laisser tomber. Par moment, j'ai envie de céder.