La fin
Tu fleures,
Tu empestes une fin heureuse de surcroît,
Mais les fléaux n'ont plus de sang,
Démystifie toi, flaires-en ma peur,
Le monde lui-même mène au désarrois
Tu perçois,
Et tu estimes les imbéciles d'ici,
Les épiant exister sans soucis,
Mais ce n'est qu'une façade,
Aveugler les yeux, les apaiser,
Pour préjuger que tout est réalisable
Alors cesse de feindre dans cet enfer,
Cesse de vivre les bras ouverts,
Les pleurs aspirent les visages påles,
Tous ces cæurs, défoncés des vengeances de métal,
Je t'en prie, vois ces futurs corps de trépassé,
Ce monde, douleur de vivre indéterminée,
Délie le masque de tes yeux, cesse de te tromper,
Un jour futur, c'est assuré,
On ne pourra plus l'empêcher !
Je te vois là, observant les célestes clartés,
Nous contant ton proche avenir,
Assassine ces maudites pensées, oublier les cieux,
Ne perçois-tu pas l'abandon de Dieu ?
Tu discours sur la marche humaine,
Tu l'esquisses comme un monde meilleur,
Mais nous sommes tous enveloppés de chaînes,
Ton univers aveuglé est bien ailleurs
Alors cesse de feindre dans cet enfer,
Cesse de vivre les bras ouverts,
Les pleurs aspirent les visages påles,
Tous ces cours, défoncés par des vengeances de métal,
Je t'en prie, vois ces futurs corps de trépassé,
Ce monde, douleur de vivre indéterminée,
Délie le masque de tes yeux, cesse de te tromper,
Un jour futur, c'est assuré,
On ne pourra plus l'empêcher !
La porte de l'Infect en bas se dessine,
Il n'y a que notre peur qui lui sourit,
Satan, des membres tailladés et sa salive,
Je t'en supplie, ils me rongent déjà l'esprit
Sa prison et ses incubes de condamnés
Pleure, tue, crie, réagis, Mais au nom du semblant divin, Emmène-moi loin d'ici
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