CHAPITRE 012 : « Retour au logement provisoire » « Pietro »

Samuel utilise la même application pour tracer depuis le point d’arriver jusqu’au point de départ estimer, quatre zones possibles apparaissent alors dont deux sont très vites écartées, l’une parce qu’elle tombe en plein centre d’une ville importante et l’autre un vaste champ de marécage utiliser à la culture du riz.

Pietro prend la main sur la souris pour agrandir chacune des deux zones restantes sur un écran à part.

- Hum !! Je me demande si nous ne devrions pas en rester là pour ce soir, j’ai un de mes amis géologue qui vit pas très loin d’ici, je compte le faire venir demain pour qu’il nous donne ses propres réflexions. Nous pouvons nous être tromper et ce serait dommage de dépenser en vain l’argent nécessaire aux prochaines recherches.
- Quelque chose te turlupine mon oncle ?
- On peut dire ça en effet, les deux zones se situes dans de vastes régions rocheuses quasi inaccessibles et…

Pietro pointe du doigt sur l’un des deux écrans.

- … Celle là surtout posera soucis, j’espère juste que mon ami nous détournera de cette idée d’aller y poursuivre nos recherches.

Samuel fixe longuement la vue satellite de la zone incriminée, sans trouver ce qui inquiète tant son oncle.

- Je ne vois rien là de plus difficile que pour l’autre zone ?
- C’est parce que tu es jeune et que tu ne t’es jamais trop intéressé à l’histoire, je parle de l’histoire récente pas celle liée à nos recherches.
- Et donc ? Qu’ai-je donc raté de si important ?

Pietro élargie la zone sur son écran alors qu’il fait une recherche documentaire qu’il rend visible sur le second.
- Cette large zone est actuellement classée comme réserve naturelle, depuis qu’un ancien édit royal remontant à plus de deux siècles en a interdit définitivement la présence humaine.
- Même pas pour faire des safaris photos ?
- Allons mon garçon !! Les appareils photos n’existaient pas encore à cette époque ! Hi ! Hi !
- Oui mais depuis ?

Pietro semble hésiter, il prend le temps de lire sur l’écran, jusqu’à ce qu’il se souvienne enfin de ce que lui a répondu à l’époque son grand-père quand il lui a posé la même question.

- Comment dire !! Apparemment il y a eu avant ça et aux fils des siècles, de nombreuses rumeurs sur cette zone de montagne en particulier, des rapports de police espacés dans le temps, faisaient tous état de choses plus ou moins surnaturelles qui leurs avaient été reporté.
- Comme quoi par exemple ?

Pietro pointe l’écran du doigt en faisant défiler les articles.

- Ce qui est étrange c’est depuis quand remonte les premiers rapports, au début ce ne sont que des récits passant de familles en familles, puis à partir d’il y a environ quatre à cinq cents ans, nous conservons des témoignages écrits, ce qui a sans doute motivé l’édit royale interdisant toute la zone.
- Alors c’est justement là où ne devrions faire nos recherches, le fait qui s’y soit passer autant d’incidents n’est sans doute pas qu’une coïncidence. Je vais lire tout cela à tête reposer et nous verrons ce qu’en pense ton ami demain, sur ce mon oncle je te souhaite une bonne nuit.

Pietro va pour lui dire qu’ils n’ont pas encore commencé de traduire le deuxième document, quand il se rend compte de l’heure tardive ou cette conversation les a menées.

Aussi se retient-il pour se contenter de l’embrasser, avant de se rassoir à son bureau pour revoir déjà tout ce qu’ils ont appris de nouveau.

Samuel rentre dans sa chambre, il ouvre son portable et va faire quelques ablutions le temps que ce dernier se charge, pour ensuite s’installer en tenue minimaliste et commencer à passer en revue tous les articles traitant de cette fameuse réserve naturelle.

Plusieurs noms lui ont été attribuées aux fils des siècles, la montagne des plaisirs est celui qui retient son attention et la lecture des différents articles lui amène bientôt la certitude que c’est bien le bon endroit pour rechercher la tombe de « l’unique ».

Le fait que tous les récits écrits en reviennent plus ou moins à la même constatation, que ce soit des couples ou des groupes de jeunes en excursion ou autre, mais ayant eu l’intention d’y passer la nuit, qui témoignent d’avoir ressentis un plaisir inexpliqué, sans commune mesure avec ce qu’ils n’avaient jamais ressentis auparavant, au point de ne plus trouver en eux le lendemain la force de se relever.

L’édit royale venant pour remettre de l’ordre et de la moralité là où cette dernière semblait faire mystérieusement défaut, la zone a été agrandie et conservé depuis comme parc naturel, les rumeurs se sont naturellement éteintes aux fils des décennies suivantes faute de quoi continuer à les alimentées.

De lire ces lignes de témoignages pour certaines des plus subjectives, commence à mettre Samuel dans tous ses états, le manque se faisant soudainement ressentir alors que son bas-ventre a déjà pris les devants et n’attend plus qu’à se qu’il s’en occupe.

Samuel sourit en écartant l’élastique de son boxer d’une main, tandis que l’autre positionne la chose en émoi de manière plus confortable.

Le prépuce déjà à demi décalotter laissant apparaitre un gland rose tout humide et odorant, qui ne laisse plus d’autre choix à Samuel que de devoir s’en occuper sans plus attendre, faute de quoi il n’aura plus la concentration nécessaire pour poursuivre ses recherches.

Un clic de souris fait disparaitre le travail en cours, pour laisser apparaitre la vidéo qui en ce moment a toute son attention.

Il se soulève le temps de baisser son boxer à ses pieds, relevant ensuite ses jambes bien écartées en les posant sur le plateau du bureau de chaque côté de l’ordinateur, pour commencer à se satisfaire dans cette position qu’il affectionne tout particulièrement car elle lui permet de l’autre main d’aller titiller son petit trou qui n’attendait semble-t-il que ça vu le frisson de plaisir qu’il ressent dès la première caresse.

A l’écran les deux garçons s’en donnent toujours autant à cœurs joie, le plus jeune recevant avec de petits cris d’extases la virilité du plus vieux qui s’enfonce en lui par petites touches, jusqu’à disparaitre complètement dans un râle encore plus jouissif de son jeune partenaire.

Samuel a toujours eu du mal à aller plus loin car c’est bien souvent à ce moment précis, en entendant ce son de gorge si particulier, que lui arrive toujours l’orgasme, cette fois encore il n’y résiste pas et tandis que sa main droite donne les derniers coups de poignets salvateurs, la gauche enfonce deux doigts au plus profond jusqu’à masser énergiquement le petit renflement qui lui amène un plaisir dédoubler tandis qu’il arrose à tout va autour de lui et qu’il parte en arrière alors qu’il ne se tenait en équilibre que sur les deux pieds arrière de son siège.

"Vlan!"

- Aie !!

***/***

« Bureau de Pietro. »

Les sons venant de la chambre de Samuel n’appellent à aucun doute sur ce à quoi il passe son temps, faisant soupirer le brave tonton qui se rappelle une fois de plus sa jeunesse avec un sourire amuser sur les lèvres, comprenant bien le besoin naturel pour un jeune homme aussi bien constitué que l’est son neveu à devoir se soulager régulièrement.

Pourtant une chose lui reste incompréhensible, pourquoi un garçon aussi beau et bien fait de sa personne reste-t-il seul, alors qu’il le voit bien au quotidien, les regards nombreux porter sur lui ne prêtent à aucune erreur sur les intentions et les envies de ceux ou de celles qui l’admirent en secrets.

Thomé pourtant plus jeune a déjà lui un petit copain avec qui il doit bien le reconnaitre il est parfaitement appareillé et qui de plus lui est proche depuis suffisamment longtemps pour qu’il ne voit rien d’immoral à leur couple.

Les pensées de Pietro se perdent loin de ses recherches, quand un bruit sourd le fait sursauter.

"Vlan!"

- Aie !!

Un fou rire prend le brave homme quand il comprend de quoi il s’agit.

- La prochaine fois ! Hi ! Hi ! Prends des positions moins acrobatiques ! Hi ! HI ! Tu veux que tonton vienne t’aider à te relever ou tu préfères que ce soit ta tatie qui se dévoue ? Hi ! HI !