Mes enfants grandissent bien, la diversification a commencé, je continue à donner mon lait en collaboration avec le lactarium régional comme j’allaiterais jusque vers leurs deux ans.

J’ai aussi deux jeunes filles au-pair américaines, l’une qui étudie la trufficulture, l’autre l’architecture ancienne, pour m’aider et laisser du temps à mes parents qui ont tant donné.

Je n’ai pas revendu ma maison aux États-Unis, j’en ai fait don au centre hospitalier pour en faire une maison maternelle.

Je fais maintenant l’objet d’une étude un peu particulière lié au vieillissement plutôt ralenti de ma peau et à sa régénération.

Même si j’ai toujours mon courtier, pour assurer nos arrières, je gère de mieux en mieux mes avoirs qui génèrent des revenus mensuels confortables en plus de mes locations saisonnières. La discussion tourne actuellement autour de mon compte en cryptomonnaie dont la valeur, désormais stable, a été multipliée par vingt à ce jour.

Mais la question que vous vous posez ne serait-elle pas de savoir si je vends toujours mon corps ?

Je vous laisse rechercher cette route aujourd’hui déviée, peut-être m’y trouverez-vous, ou pas… Je vous laisse rechercher une personne qui me ressemblerait dans les bars des hôtels que je pourrais fréquenter, peut-être m’y trouverez-vous, ou pas…