réflexion d'école
Le visage sous la pluie tendre et fraîche, les ruissellements qui procure la joie des caresses chaudes. Les yeux regardant le ciel cendré, je ne sais pas quoi penser de ce gris. Puis les referment, une pensée pour ceux en classe que nous ignorons, car ils sont nuls, il comprenne rien, ils ne portent aucun intérêt à par ce que la société a décidé pour eux. Une pensée pour ceux en cours qui sont surdoués et qui retienne et arrive tous rapidement, trop rapidement ! Qui se font humilier par les mots de professeur et les actes méchants de leur camarade.
" Ne fais pas ça, ce n'est pas dans le programme" ; " Tu n'as pas le droit de le faire, car tu n'es pas un écrivain célèbre, un mathématicien..."; " arrête de faire le pitre, fait ton exercice" mais il a déjà fini ou il ne comprend pas, alors " Tu est puni, vas dehors" ; " C'est simple pourtant tout le monde y arrive" ; " C'est comme çà dans cette académie, et pas autrement" ; "Laissons-le, il ne peut pas y arriver" ; " Non, cette phrase s'interprète comme ça" ; " Cela veut dire ça" " vous apprenez les phrases non-verbales, mais vous ne l'utiliser pas" et encore pleins d'autre malheureusement. Ces phrases que nous entendons, que nous croyons inoffensives sont pourtant celles qui font, le plus de mal.
Puis une pensée pour les conflits d'intérêts entre l'académie et les chercheurs. Les scientifiques savent comment fonctionne le cerveau, se procéder, ces analyses, ses méthodes, mais par contre l'académie qui ne sait rien, trouve que son apprentissage est bonne alors que les savants du cerveau eux disent le contraire. Ils se battent pour l'intérêt des enfants en difficultés, que l'académie rejette et essaye de manipuler ces enfants à être comme ils veulent, des robots qui exécute bien et des pensées comme tout le monde. Savoir plus pour êtres plus idiots, il nous donne le poisson au lieu de la canne à pêche pour nous apprendre a pêcher et se débrouiller seul, créer ces techniques qui nous correspond, mais non, bien trop dangereux pour le gouvernement ! Va-t-on finir comme dans 1984 de George ORWELL ? Nous avons réussi à être la dernière école de l'Europe et pourtant pas de changement, pas de réaction, rien, le néant.
Je reprends mes esprits est la pluie se mit à tomber un peu plus fort, le vent c'est calmer, mais j'entends encore les branches se frotter entre elles. Les gouttes froides, à parfois un goût acide de la vie, et l'impression que ça ne va jamais se terminer.
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