La Mort
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Tu es toujours là, tu nous attends avec ta faux. Tu patiente pour nous faucher.
Nous les hommes, on te sème lors de nos conflits.
Te rappelles-tu de la Première Guerre mondiale et de la Seconde ?
Bien sûr que tu t’en rappelles tous ces cadavres qui jonchaient sur le sol
C’était toi qui les ramassaient. Nous avons peur de toi, ô Mort qui nous fauche sans que l’on te voit.
Aussi nous te craignons et te réfutons
Car te croyant aussi répugnante à cause de ton odeur de viande pourrie.
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