L'art de prendre délicatement le disque, le retourner, le reposer, remettre la tête de lecture puis monter le volume de l'ampli. Camille était toujours de bout sur ses talons, tête haute, mais son regard faiblissait, se perdait dans le lointain, la musique plus forte finira dans la faire voyager dans son esprit tortueux de douleur.

Tout comme elle, mon esprit vagabondait dans cette musique accompagnée de l'alcool et de mon excitation non-dissimuler par mon pantalon. Je pris un autre martinet au cuir plus dur, plus marquant. Ses muscles se contractaient par anticipation quand je tournais autours d'elle, attendant les complaintes de sa chaire aux impacts de se cuire rugueux.

Cette fois-ci, pas de petite morsure, non, dix coups qu'elles devraient compter, dix pour sa poitrine, 10 pour ses cuisses, 10 pour son dos, dix pour ses fesses et trois pour sa chatte. Un tressaillement la parcourue quand j'annonçai les trois coups sur son intimité.

Des coups dur, franc et direct, un, deux, trois… dix, merci maitre.

Sa poitrine la brulait, elle contait d'une voix soufflante. Mais je ne lui laissai pas repos, le cuire déchira ses cuisses. Mais elle ne compta pas le premier coup, juste un cri. Je recommanca, Un, deux, trois... Dix, merci maitre. Ses jambes devenaient des tours tremblante. Sa chaire trempée de transpiration.

Je passai derrière elle toujours sans attendre, et son dos connu la dureté du cuir, un, deux, trois… dix, merci maitre.

Le temps d'une respiration, que ses fesses se mirent à la bruler un, deux, trois… dix, merci maitre. Des marques rouges la recouvraient entièrement.

Puis toujours dans cette hâte qui la prenait de cours, je baissai sa culotte par-derrière et lui écartai les jambes brutalement. Son sexe complètement à la merci des lanières de cuir. Cette situation m'exista énormément, Camille attacher, culotte baissés, lèvre intime dévoilé. Un léger filet de cyprine coula avant de finir sa course dans sa culotte mi-cuisse.

Je me mis face à elle, son regard de défis était loin, elle était arrivée doucement dans un état de trans entre musique et douleur. Je la vis soufflée un grand coup comme pour reprendre le dessus sur ses sensations. Je finis d'enlever sa culotte à genoux. J'essuyai son sexe, suintant avec la culotte, pris une grande inspiration du textile souillé de ses fluides et finit par mettre la culotte dans sa bouche.

Nue en talon haut, prête à recevoir trois coups secs sur la chatte, pas besoin de compter. Le premier la fit s'effondrer, un cri étouffé par la culotte. J'attendis qu'elle se replaçât. Ce qui lui prit quelques minutes. Mais elle se repositionna jambe écartée. J'avais toujours un œil sur ses pieds au cas où elle utilisait son "safe word".

Le deuxième eux le même effet que le premier, mais elle se remise plus rapidement en place, aussi étonnant que cela puisse paraitre, un regain de hargne dans son regard, fit arriver le troisième coup très vite et fort, dans un dernier cri étouffé, elle resta cette fois si de longue minute ballottent immergé dans l'atmosphère sombre de la pièce.

Elle n'était plus là, tout son travail, tous les stress était partie, elle était à présent entièrement dévouée aux sensations de son corps tout comme j'étais entièrement dévoué à l'accompagner dans ce voyage profond. Le temps n'existait plus pour elle, juste les notes de ce sombre album.

Encore pendante, je lui enlevais ses deux chaussures, plus aucun appuis réel, seulement la pointe des pieds quand elle trouvera cette force. Dans cette situation, je me déshabillais aussi, plus besoin de mise en situation à ce moment. Ainsi deux corps nus dans une expérimentions charnelle, mon sexe gorgé de sang. Mais mon plaisir était ailleurs, mon plaisir, c'était elle, son voyage, je n'avais plus cette excitation du début à vouloir la pénétrer, me toucher, là, c'était seulement Camille.

Le déraillement de fin de vinyle se fit entendre, elle était à la moitié du voyage,