Le lâcher prise, c'est vrai que ce n'est pas quelque chose de compliquer pour moi en général étant donné que j'ai une approche vraiment je m'enfoutiste des choses. Mais j'étais en colère, enfin, j'étais dans un état étrange que je n'arriverai pas faire redescendre. Et la seule chose qui descendait pour le moment c'étaient les cuisses de Camille et sa culotte noir pour écraser mon visage accompagné de sa voix douce et mielleuse.

-Tu vas être une bonne salope. Je crois qu'elle faisait un petit blocage sur le mot salope qui a mon sens à ce moment signifiait qu'une chose, j'avais poussé le bouchon un peu trop loin et elle utilisait cette intonation mielleuse et salope pour se contenir.

Le textile de sa culotte était moite de transpiration suite à sa séance de sport, une odeur âcre et acide. Ce n'était pas réellement agréable soyons honnêtes malgré ma passion pour ses effluves intime. Elle glissa ses mains derrière ma tête pour me plaquer le plus possible le visage sur son textile intime. Puis ce mis à faire des va-et-vient avec son bassin. Mais je n'arrivais pas à rentrer dans le jeu pour le moment, j'en avais gros comme dirait un philosophe bien connu et a aucun nommément, j'imaginais la soupape être cette lente asphyxie moite. En fait, il n'y avait pas de soupape possible dans mon esprit, j'étais bloqué, comme un vieux grincheux.

– Ta bouchère salope, je ne sens pas ta langue, je vais te passe l'envie de rêvasser, la transpiration et la pisse ne vont pas se laver tout seul sur ma culotte.

C'est sûrement elle qui a raison, il faut que j'arrête de penser, que j'ouvre ma bouche et que je la laisse guider, c'est vrai après tout, j'ai le droit d'être cette salope, pour une fois, être là, à ne rien penser, juste à suivre ses ordres et ses indications.

J'ouvris ma bouche, ma langue entra en cotacte avec le textile doux, c'est drôle, le textile n'a pas de goût malgré l'odeur qui laissait présager le contraire. En fait, je me mis à lécher en suivant ses mouvements de bassin, les rares inspirations que je pouvais faire embrumait mon esprit de cette moiteur désagréable, en fait non cette moiteur devenait existante, transpiration, urine, cyprine, le cocktail d'hormone pour me cramer le cerveau dans cette situation. Rien à foutre que tout puisse paraitre dégradant, sale, je prenais mon plaisir à être son sextoy.

Elle fit glisser le textile de sa culotte sur côté à l'aide d'un doigt, me laissant une seule respiration complète avant de plaquer sa chatte à son tour sur mon visage. Sa culotte suintait pour une raison tout à fait compréhensible, mon visage était noyé de ses fluides en contacte de son sexe, mais plus rien ne me gênait, l'odeur, le goût acide frémissait sur ma langue. En fait, c'était, extrêmement excitant et ce n'est pas la main de Camille qui avait accaparé mon sexe en érection qui dirait le contraire. Elle me branlait sans retenu, elle n'essayait pas de faire durer mon plaisir ou quoi ce soit, juste du brutal, comme sa chatte m'étouffant. Beaucoup d'information partout. Le plaisir de ma queue branlé, le peu d'oxygène, les odeurs brulant tous les récepteurs possible, ma langue enfoui au fond de son vagin.

J'ai joui dans un plaisir total de laisser aller, mais elle n'en avait pas fini, elle voulait vider jusqu'à la dernière once de colère en moi. Malgré mon éjaculation, elle continuait de m'étouffer, la lucidité post éjaculation ne put s'immiscer, même pas l'espace d'un instant. Elle avait avancé son bassin, à présent ma bouche était sur son anus mon nez dans son vagin, elle faisait un rodéo sur mon visage des plus énergétique. Elle pouvait faire ce qu'elles voulaient de moi, j'étais sa salope pour la soirée.