Vraiment fâcheux
C'est marrant quand tout va bien, on a l'impression que des choses sont là depuis toujours et ont toujours été comme ça. C'était un est ces moments Mathilde étaient rentrés dans la vie de Camille et la mienne comme ça et j'avais l'impression que ça toujours été le cas. C'est reposant.
On parlait peu tous les deux, car on était rarement juste nous deux mais quand ça arrivait il n'y avait que deux sujets de conversation, les jeux de plateaux et Camille, surtout la parie sexuelle honnêtement.
Mathilde avait une curiosité à toute épreuve avec notre pratique Sm et notre sexualité. Elle, qui ne pouvait imaginer un cunnilingus sans une douche avant et un lavage de dents était curieusement surprise que nous étions tout l'inverse. Et tous l'intriguaient, elle voulait comprendre comment on pouvait prendre du plaisir ainsi
— C'est vrai, ça fait deux semaines que tu fais que la sodomiser ?
— C'est vrai, qu'elle s'assoit sur ton visage après sa salle de sport ?
— C'est vrai, tu l'as fait sucer après avoir pissé sans te laver ?
— C'est vrai, tu peux la fouetter pendant une heure et la faire crier ?
— C'est vrai, tu lui as fait avaler ton foutre sorti de sa chatte ?
Un moulin à question infini sans aucun préjuger, comme si elle voulait une double validation de ce que Camille lui disait avec mon point de vue. On a passé des soiré à parler de ça entre deux présentations de jeux de plateaux ou nouveauté. Deux salles deux ambiances. Elle était rentré dans notre vis comme si de rien était. Elle a eu un double des clés et la chambre d'amie et devenue la sienne. Elle passait une ou deux fois par semaine, pas plus. Un peu comme une zone pour se remonter le moral. Camille me disait qu'en vrai, elle n'allait pas si bien, mais je n'osai pas trop aborder le sujet avec Mathilde. C'était plus ma confidente de sexe et de jeux de plateaux.
On a eu quelque soiré mémorable de discutions sans but et sans filtre. La soirée où elle a essayé de comprendre le plaisir des odeurs intime en sentant sa culotte, mais n'y voyant qu'une odeur dégoûtante d'urine et de transpiration.
– ba ça sent ma chatte sale, je comprends pas
– Tu sais, j'ai déjà vu Camille se branler avec une de tes culottes sous le nez.
- Nan, je n'y crois pas, la salope.
Le tout suivit d'un fou rire inarrêtable
Sous tous les angles, elle restait bloquée sur un tissu qui était juste sale sans aucun lien sexuel.
Un autre soir, elle voulut essayer les chaine tout habiller, je tiens à signaler.
– Et là, tu fouettes Camille et elle a mal, je ne comprends pas.
C'est drôle tant deux mondes qui ne pouvaient se comprendre se percutaient. Mais il y avait cette bienveillance et aucun jugement dans toutes lesdiscussions.
Après, il n'est pas impossible que quelques règles soient à mettre en place quand quelqu'un à les clés de la maison aussi.
Cela serait dommage, imaginons que par tout hasard, Mathilde arrive à l'improviste et que Camille soit installé dans la balançoire en cuire dans le salon. Un petit outil où elle a maintenu en l'air en positon plus ou moins allonger, jambe et brase écarté. Et que du coup Mathilde se retrouve directement face aux deux orifices de Camille avec des sextoys en place, des pinces sur les tétons et moi bien au fond sa gorge.
Cela serait vraiment fâcheux comme situation, vous en conviendrait. Donc, on a juste dit qu'il fallait prévenir avant d'arriver à la maison. Pas de bol pour moi, jamais surpris Mathilde et Camille nue sur la banquette faisant l'amour. Que voulez-vous le karma !
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