Astrid

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Le claquement du fouet sur le corps nu de ma soumise, ses cris, ses gémissements, sa peau rougie face aux brulures délétère du cuir noir. Son corps attaché ne pouvant empêche les inévitables coup résultant d'un plaisir des plus intime. Le regard Mathilde, ne perdant pas une miette, son corps ne pouvait résister à cette offrande excitante. Elle fit tomber sa robe, ses sous-vêtements, entièrement nu, nous fime l'amour à trois…

Personne ne va y croire à celle-là. Non, c'était une séance normale avec Mathilde qui a tout regardé en étant bien plus crispé que Camille. Mais sinon pas grand-chose d'autre à raconter en vrai. Elle a un profond respect de notre pratique.

Par contre, Camille ça réveillé une petite envie, une de plus, me direz-vous, pour le coup, j'y suis pour rien.

– Tu n'as jamais voulu une autre pour changer ?

– Une autre ?

Le contexte, c'est important, surtout qu'on venait tout juste de commencer notre bière, deux tout de suite ça fait beaucoup.

– Une autre fille ?

Dans beaucoup de couple, je pense que c'est la pire question piège du monde, mais nous, notre source numéro un d'engueulade, c'est comment faire le ménage. Ou le rangement dans le frigo, les vêtements mal pliés. De réels problèmes, voyez-vous !

– Mathilde est bi enfin ? Je vais prendre ce regard noir pour une vraie question. En tant que chérie hypocrite, je dirais non ma chérie, ton cul, eu, ton cœur me suffit. En tant que geek, je te dirais, t'as vue ma capacité de drague ? Donc oui, mais ça serait beaucoup trop compliqué.

– C'est surement le plus sérieux que je peux avoir, je suppose ?

– Malheureusement, j'ai arrêté de grandir vers les sept ou ans, je crois.

- C'est vrai quand n'y réfléchissant, vu ton niveau de drague, je n'ai pas trop de soucis à me faire. Pour résumer, on va dire que pédant la séance avec Mathilde qui regardait, mon cerveau, c'est possiblement mis à fantasmer sur toi qui la baise devant moi, impuissante.

- Toi aussi tes cerveaux fait des trucs comme ça ?

- Je suis sérieuse, je crois que depuis que tu m'utilises de façon dégradante, j'ai peut-être envie d'essayer l'humiliation ultime.

– Dégradante tout de suite les grands mots !

– La douche hier ? Les toilette la semaine dernière ?

– Ah oui, ça me revient.

– Voilà bref, j'en étais à cette réflexion, après, il faut que tu sois d'accord.

– On en revient à la problématique drague.

– Tu sais que si tu étais plus confiant en toit avec ton look hipster métaleu croisé ours mal léché, tu pourrais avoir autant de chatte que tu veux ?

– Ton langage de, je te pris

– Pardon maitre.

– Mais je prends le reste pour un compliment.

- Après, je peux m'occuper de tout, ce sera extrêmement humiliant pour moi de te trouver la fille que tu vas prendre devant moi.

– Tu as déjà commencé à regarder, avoue, je te connais.

– De loin seulement, au cas où.

– J'avoue que l'idée n'est pas déplaisante.

– Bien maitre, je te tiens au courant.

Après, comme vous le savez, Camille avec une idée en tête, en général ça va très vite. En fait non, après un ou deux mois ça m'était complètement sortie de l'esprit cette histoire et elle n'en parlait pas. Donc la vie avançait au gré des tasses de café et des coups de fouets. La vie ça avance toujours de toute façon. Oui, je meuble, pour le suspense, là maintenant tout de suite.

Le travail, ça se passe, oui, merci de demander. En parlant de travail, c'est possible que j'ai reçu un petit message de Camille, en fait une photo, pas d'elle. Une certaine Astrid en sous-vêtement avec un descriptif concocté par Camille.

Astrid

Soumise avec expérience, aime être dominé pendant le rapport, mais pas de douleur. Elle aime beaucoup l'aspect protocolaire du Sm, c'est presque aussi existant pour elle que le rapport. Ce soir 18 h, rendez-vous en tête-à-tête avec elle a votre bar habituel.

Votre soumise.

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