Chambre 2
Il y a bien une chose qui était des plus rafraîchissantes dans ce cunnilingus après tant d'attente, c'est la découverte d'un nouveau corps, la peau d'Adeline plus granuleuse sous mes doigts. Les odeurs, les gouts, les gémissements, les contractions, toute une nouvelle panoplie de nouveauté à découvrir.
Je prenais un plaisir certain à parcourir son corps de mes mains en la léchant, ma tête engoncée entre ses fesses. Sûrement pas la meilleure position pour découvrir Adeline. Mais une chose était certaine, moi, caché derrière Adeline à genou, la léchant, devait faire prendre feux Camille. Surtout qu'Adeline poussait un peu sur le gémissent de façon naturelle. J'imaginais tout à fait la scène Adeline fixant Camille en gémissant.
Malheureusement enfin pas vraiment malheureusement, j'étais afféré à assouvir mon kink principal dans une désinhibition total. Tout Comme pour les culottes de Mathilde, Adeline avait son odeur, notamment avec les consignes. C'était une découverte des plus agréablement sales. Oh oui, mon cerveau perverti se délectait de ce cocktail des plus intense à l'opposer d'Adeline qui prenait du plaisir à le faire étant soumise et subissant l'action. Moi, c'était tout l'inverse, je prenais mon plaisir dans l'assouvissement brut de me cramer le cerveau et langue à la cyprine, la transpiration et de pisse. Zéro glamour, mais ça m'excitait à un niveau stratosphérique. Des odeurs et des fluides auxquels il fallait avoir accès à sa chatte pour les avoir. Et elle était à quatre pattes, jambe bien écartée, m'offrant de son plain grée son intimité sans retenue.
Aux vus des contraction d'Adeline, ça ne lui déplaisait pas mon appétence pour son entre jambe, qui ma foi commençait à dangereusement glisser sur son anus. Mes doigts allaient explorer l'intérieur de son sexe avec la légendaire méthode du crochet. Pouce à l'intérieur et les autres doigts sur le clitoris. La magie de cette prise, c'est l'immédiate réaction d'Adeline qui n'avait plus besoin de jouer les gémissements. C'est Camille qui m'a appris cette Méthode
– Monsieur, je vais jouir.
Je relevai la tête en continuât de jouer avec ma main.
– Le premier, tu es autorisé, les prochaines, ce n'est pas sûr.
Je retournai directement sur son anus. Quelques instants plus tard, tous ses muscles se contractèrent dans un cri de plaisir qui semblait être d'une sincérité et d'un lâcher prise total. Ce que je pouvais confirmer en levant la tête. Elle tremblait de partout
– On reste bien cambré, je te pris
Elle essaye tant bien que mal d'obéir.
– Oh mince, j'ai oublié une question cruciale, tu es multi-orgasmique? Ce mot n'existe surement pas.
– Au vu de la situation, oui, monsieur.
– Parfait, Bien cambré et sur les appuis, j'ai dit
– J'essaie monsieur.
– Il faut que je t'encule pour te maintenir bien cambré ?
J'adore ce mot d'une vulgarité total dans le sm. Elle se cambra, mais ses cuisses tremblantes la trahissaient.
– Désoler monsieur.
J'attrapai un préservatif et le lubrifiant avant de descendre du lit et me mis face à Adeline. Mis mon sexe juste devant son visage.
– Assis toi et mets-moi le préservatif, je te pris.
Dans un mouvement quelque peu laborieux, elle prenait place sur le rebord du lit avant d'ouvrir le paquet et d'appliquer le préservatif sur ma queue.
– Le lubrifiant à présent.
Toujours aussi froid ce truc même avec le préservatif.
– Merci, à présent relève-toi et penche-toi contre le lit, que ma soumise voie bien comment je vais t'enculer.
Ses jambes commençaient à reprendre de l'assurance. Elle se pencha avec assurance et les fesse bien bombé, laissant largement entrevoir, la porte de mes désirs. Je me place sur le côté, caressant l'anus d'Adeline devant les yeux de Camille. Ce petit jeu d'humiliation me plaisait énormément.
– Plus sodomie brutale ou doucement Adeline.
– Ça fait quelque temps que personne ne m’a prise par dernier monsieur, lentement serait préférable au début. Après, vous pouvez faire comme vote bon vouloir.
– Bien, je vais un peu jouer pour continuer à préparer le terrain alors après le plug.
Je mis un peu de lubrifiant sur mon pouce et jouât avec son anus.
– Soumise, comment tu trouves Adeline dans cette position ?
– Parfaitement soumise monsieur.
- Je trouve aussi.
– Comment te sens-tu Adeline?
-Parf..ohhemnt soumise en effet.
– Pardon, mon pouce a glissé à l'intérieur. Qu'aimes-tu dans le fait de te faire enculer Adeline ?
- L'interdit, l'image de la soumission total. Que je sois entièrement donné en tant que soumise. Les premiers instant de la pénétration légèrement douloureux qui laisse place en suite à un plaisir très cérébrale comme vous dite si je peux le dire ?
- Oui, tu peux.
– Être juste enculé comme un objet.
– Alors, je vais faire de toi un objet
Je retirai mon pouce de son cul, me mis derrière elle et positionnait mon gland à l'entrée de son cul.
– Plis tes bras en arrière, je te pris.
Je bloquai ses bras avec un des miens et de ma main libre, pris son visage en crochet avec mon pouce sortie de son cul dans sa bouche. Puis en tirant sur mes deux bras, ma verge ne pouvait que la pénétrer, se rapprochant, bloqué par ma contrainte. Finalement, c'est elle qui venait s'empaler doucement jusqu'à la garde dans un gémissant assimilé à un petit cri. Son cul était bien plus serré que celui de Camille, sa petite stature en fait vraiment une petite chose que je baisais. C'était débilement régressif et jouissif.
Puis les coups de rein lent, mais profond, de grand coup jusqu'à la garde qui claquait contre ses fesses qui lui lâchait un cri à chaque coup, entièrement contrainte et prise. J'accélérais lentement, mais sûrement. Je n'étais pas acteur et la nouveauté de la situation malgré une première fellation faisait très vite monter l'envie.
Si i n'y avait pas eu de préservatif, je l'aurais mis à genoux et finit à nouveau dans sa bouche, mais là non. J'ai relâché ma contrainte. Sortie mon sexe d'elle minutieusement. L'embrassa dans le cou, relâcha mon emprise et lui caressa la poitrine. Un instant de douceur soudain est bienvenue.
Puis sans crier gare, je la poussai sur le lit et mettais tout mon poids sur elle. Je glissai une main sous son ventre jusqu'à son clitoris que je masturbais aussitôt.
De ma main libre, je plaquai son corps pour l'empêcher de bouger, ensuite mon sexe retrouva le chemin étroit de son cul. Elle ne pouvait pas bouger, rien faire et son visage plaqué dans les oreillers. Je jouis très vite dans un orgasme bestial de domination, décérèbre et de brutalité. En me relevant, je remarquais remarque une chose. Elle venait d'éjaculer, ma main qui la masturbait était trempé tout comme ses cuisses et les draps.
Elle se redressa péniblement en tremblant.
– Tu n'aurais pas joui sans autorisation ?
– Désoler maitre… monsieur, cette situation sans échappatoire avec tout votre corps ça m'a retourné le cerveau et je n'ai rien pu retenir.
– Enlève le préservatif, on va bien trouver une punition.
Elle tremblait encore plus qu'avec le cunnilingus, ses mains effectuant difficilement sa tâche.
– Je nettoie vote sexe, je suppose monsieur
– Tu supposes très bien. Mais document, c'est sensible.
Ses lèvres tremblaient tout autant que son corps. Mais elle effectua sa tâche du mieux qu'elle pouvait.
— Merci Adeline.
Je la voyais extrêmement tremblante, pas forcément que lié au plaisir. La redescente de l'orgasme semblait un peu violente pour elle.
– Je crois qu'on va mettre fin à la séance.
– Oui, monsieur, s'il vous plait.
Je courus d'un pas élancé vers l'armoire et attrapais l'outil indispensable de fin de séance, le plaid doudoune molletonné. Que je lançai à Adeline. Avant d'aller détacher prestement les attaches de Camille. On a peu l'air con à quatre pattes nu à galérer pour ouvrir des attaches en cuir pour les pieds. Puis opération les mains.
– Ça va Camille ?
– Oui, c'était intense pour tout le monde, je crois.
Les deux attaches enlevées, je re couru prestement à l'armoire chercher un deuxième plaide molletonné que je lançai à Camille et en pris une pour moi. Vous ne voulez pas savoir combien de plaide on possède, je vous assure.
On n'avait pas l'air fin avec nos capes plaide à poil et transpirant dans la chaleur étouffante de la chambre. À l'ouverture de la porte, une grande bouffée d'air fraie me parcouru, et la première chose qui me traversa à l'esprit 'ça devait sentir un peu la chatte et la bite là-dedans' pourquoi je ne sais pas.
Et voici la marche des pingouins en plaide vers la cuisine dans une classe à toute épreuve.
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