Soirée 7/?
Il y a bien une chose avec laquelle je vous aurais saoulés, c'est ma passion sans bornes pour le cunnilingus. Oh bordel, la chatte trempée d'Élodie était un véritable paradis. L'odeur envahissante, presque enivrante, emplissait l'air. Ça sentait la chatte à plein nez, une odeur brute et authentique qui me faisait tourner la tête. La mouille suintait littéralement de son sexe, rendant chaque mouvement de ma langue un délice incomparable. Je l'ai bouffée à quatre pattes, me délectant de chaque goutte, de chaque sensation. Le regard de Camille, sûrement très attentif, ne faisait qu'ajouter à l'intensité du moment. Dans son jeu de soumission, elle adorait se sentir humiliée, savourant chaque instant où je léchais une autre femme devant elle.
Élodie, avachie sur son fauteille, jambes écartées, offrait une vue imprenable sur son intimité. Raphaël, à ses côtés, lui touchait les mamelons, ajoutant une dimension supplémentaire à son plaisir. Elle gémissait avec une pudeur très drôle, une sorte de retenue qui contrastait fortement avec l'intensité de la scène. Camille, de son côté, était plutôt expressive en gémissements, ne cachant rien de son excitation.
Élodie était une dominatrice qui aimait qu'on s'occupe d'elle. Elle dominait Raphaël, l'humiliait, lui ordonnait de faire des choses, mais une fois qu'elle activait le mode "baise-moi", elle devenait totalement différente. Elle voulait qu'on la fasse jouir. Et mon ego n'était pas peu fier que quelques minutes suffisent à faire jouir Élodie. Et j'avoue être resté un laps de temps supplémentaire pour mon propre plaisir, à regarder ses lèvres intimes trempées et à profiter des odeurs.
— Je comprends que tu ne le lâches pas, Camille, il lèche comme un dieu.
Oui, ça fait toujours plaisir à entendre.
— Et c'est à volonté. Elle but une grande gorgée de chocolat chaud. Et c'est peut-être un peu ma faute. La première fois qu'on s'est vus...
— Et ma première fois tout court.
Là, je peux vous dire que les yeux d'Élodie étaient grands ouverts, prêts à tout écouter.
— C'est vrai, je lui ai chopé la tête direction ma chatte, je savais même pas qu'il était vierge. Le pire cuni du monde, après je l'ai fait progresser, beaucoup progresser. Tout timide qu'il était, il osait pas me dire au début qu'il préférait que je me lave pas la chatte.
— Et maintenant il te regarde te faire enculer par mon jouet et tu le regarder me bouffer la chatte, le cheminement d'un cuni désastreux à ce moment est juste excellent.
— Je trouve aussi, c'est même grisant la vie intime sans restriction, pouvoir être soi nue face à d'autres personnes avec le même état d'esprit. Sans être jugée à prendre mon pied de me faire exploser le cul.
— Mais moi je te juge ma belle! Je te juge que tu prennes ton pied comme ça, que tu sois une salope qui encaisse si bien mon jouet. Je te juge de toute ma jalousie.
L'ambiance était bon enfant dans ce salon qui sentait la pisse, la transpiration, la mouille, bref qui sentait le cul quoi.
— Tiens un petit jeu, chacun révèle un petit kink, je nous sens bavards, jouet va chercher une chaise, notre invité ne va pas rester debout.
— Je vais aller avec Camille sur le fauteuil.
Camille se leva, je m'assis sur le fauteuil trempé avant que Camille s'asseye sur moi, remettant bien en place le plaid.
— Vous êtes trop mignons vous deux, allez jouet tu commences un bien crade si possible.
Elle masturbait le sexe de son jouet, mais il avait une attitude plus détendu plus serein qu'a l'accoutumé
— J'aime l'humiliation de me faire lécher mon éjaculation qui coule du sexe ou de l'anus ou un autre.
— Développe jouet, je veux des détails croustillants comme t'as si bien fait tout à l'heure.
Ma main glissa sur le sexe de Camille sous le plaid.
— J'aime l'idée du sperme comme étant sale, peu ragoûtant coulant directement de la où il a été déversé, comme pour nettoyer ses bêtises un peu honteuses.
— C'est rigolo ce contraste entre comment tu m'as prise et cette soumission totale demanda Camille curieuse.
— En fait c'est surtout que j'ai besoin d'un consentement franc de la part de ma maîtresse. Pour te prendre j'ai eu l'ordre de le faire, dans les toilettes, c'est ma maîtresse qui m'a demandé. Je suis très attaché à l'aspect je fais ce qu'on me demande, j'aime qu'on m'oblige façon de parler.
— Je vais vous inviter plus souvent, Jouet n'a jamais été aussi bavard ajouta Élodie ravie de la situation.
— En gros ça te serait jamais venu à l'esprit d'aller lécher ta maîtresse comme l'a fait mon maître juste avant ?
— Non jamais, pas contre dans les toilettes quand ma obligé de l'essuyer c'était magique, j'obéissais simplement. J'aurais jamais osé te prendre par derrière sans qu'on me l'oblige pour te punir, j'ai tout un aspect de soumission sur le fait que tout dépend des autres de leurs décisions et de leurs envies.
— En fait je suis une soumise capricieuse comparée à toi ajouta Camille en riant.
— Chacun a sa vision de sa soumission la tienne est extrêmement charismatique je trouve ajouta Raphaël.
— Merci, je suis une soumise qui fait tourner la tête de mon maître.
Elle se retourna pour m'embrasser.
— Chérie si tu continues à me masturber tu vas devoir me faire l'amour devant eux.
Bien sûr je continuai à la branler.
— Camille pendant que ton maître te branle un petit kink bien crade ?
— En ce moment maître aime m'obliger à porter du foutre sur moi. Dans ma culotte, sur mes seins, cette sensation humide et humiliante est assez grisante ; surtout quand c'est dès le matin et que je dois passer une journée entière ma culotte noire souillée de foutre. Ça me rappelle toute la journée que je suis sa soumise. Je trouve ça humiliant et mignon.
— Deuxième kink sur le foutre j'adore ajouta Élodie.
— Petite anecdote sur Camille. Avant le SM jamais la moindre goutte de foutre n'aurait pu atteindre sa bouche, maintenant elle avale à chaque fois que je lui demande.
— En même temps, c'est dégueulasse le foutre, la texture, le goût, l'odeur, mais une soumise, ça avale et bien goulûment, ajouta Élodie en riant. Je vais un peu sortir du foutre pour parler d'un petit kink un peu spécial. L'anus, j'avoue que ces derniers temps, je suis à fond sur ça. Pour tout ce que ça représente : l'interdit, le sale, le côté brut et primitif du "je t'encule". Voir ce trou s'écarter, se faire détruire, c'est quelque chose qui m'excite énormément ces derniers temps. Il y a une sorte de fascination à observer comment ce petit orifice, si serré et si intime, peut s'ouvrir et s'adapter à des intrusions de plus en plus intenses. C'est un mélange de douleur et de plaisir, de domination et de soumission, qui fait vibrer chaque fibre de mon être. La sensation de pouvoir, de contrôle, est enivrante. Voir ce trou se dilater, sentir la résistance initiale puis la capitulation totale, c'est une expérience qui me fait frissonner de la tête aux pieds.
— Ton cul ou celui des autres ? Je demandais en insérant un doigt dans le sexe de Camille sous un léger gémissement.
— Les deux répondit-elle avec un grand sourire aux lèvres, et pour toi ton petit kink un peu crade ?
— Il est extrêmement intime, je sais pas si vous êtes prêts, dis-je avec ma voix hésitante, surjouant légèrement.
— Il va dire une connerie, je le connais par cœur, répliqua Camille.
Elle avait raison.
— Les gros mais alors les énormes jeux de société aux règles imbuvables aux punaises ça c'est excitant.
— Mais juste après il redevient sérieux c'est ça façon de se mettre en confiance.
Elle avait encore raison.
— Plus sérieusement je suis déjà pas mal avec mes culottes sales et les fluides intimes. Mais là tout de suite je rebondirais sur ce que tu disais Élodie sur le voyeurisme intime. Je crois que je prends un pied monstre à vous découvrir vous deux. À découvrir de plus en plus l'odeur de ton sexe, à apprécier l'érection de ton jouet. Un plaisir de se dévoiler et de regarder. C'est certes pas un kink crado ou bien sale, mais un kink profondément intime. J'ai envie de vous montrer notre façon de faire l'amour avec Camille, voir la vôtre. J'aurais aimé mater dans les toilettes quand tu obligeais ton jouet à t'essuyer après avoir pissé comment il t'a pris contre la porte.
— Chérie ce kink il va être assouvi très vite si tu continues avec ma chatte.
— Ne t'arrête surtout pas alors ajouta Élodie.
— Et pour le côté crade, j'adore obliger ma soumise à lécher, avaler des fluides intimes, de la pisse, du foutre de la transpiration, de la mouille. L'aspect puissant que représente le sens du goût, le fait de faire entrer par obligation des choses dans son corps de surcroît bien intime. J'adorais obliger Camille à te lécher, Élodie, après une journée de travail et une séance de sport, sans que tu te sois essuyée après avoir pissé.
— Quand tu veux on fait ça. C'est drôle si je comprends bien ce kinks c'est le genre de chose que toi tu prendrais sur ta soumise un soir en domination. Genre elle rentre du travail et tu lui dis penche-toi je te lèche.
— Complètement mais là c'est de mon propre chef de la lécher, dans l'autre cas c'est un ordre.
— C'est excellent cette dualité sur une même envie ajouta Elodie.
J'écartais les jambes de Camille sous le plaid qui glissa et je remis deux doigts bien visibles en elle.
— Jouet debarasse la tasse bonhomme de neige de ma soumise et enlève la table, je vais lui faire l'amour sur le tapis.
Il s'exécuta et reprit sa place à côté d'Élodie qui n'allait pas en perdre une miette.
Faire l'amour avec Camille était devenue une routine, mais une routine bien huilée excitante, puissante à nous. La partager avait un aspect extrêmement intime. Un soixante-neuf, moi dessus. Une position souvent surévaluée car donner du plaisir en en donnant c'est pas terrible. Mais nous ce qui comptait dans cette position c'était que je pouvais la prendre en gorge profonde tout en me noyant des odeurs de sa chatte. J'adorais pouvoir enfoncer ma queue dans sa bouche avec tout le poids de mon corps, sentir l'étroitesse de sa gorge, les contractions de son corps s'étouffant et sa chatte devenant une cascade mouillée. Ça ne durait que peu de temps c'était pas une scène SM d'étouffement mais plus une façon de dire je te domine à Camille.
C'était notre façon de commencer à faire l'amour le plus souvent. Avant de me retourner à califourchon sur son visage glissant ma queue encore dans sa bouche la faisant me sucer voir ma queue disparaître dans sa bouche était un délice, j'en profitais pour la branler une main en arrière. C'est drôle alors qu'Élodie et Raphaël mataient j'avais l'impression qu'on était que deux avec Camille le fixant droit dans les yeux alors que mon sexe entrait et sortait entre ses lèvres.
Je glissais le long de son corps saisissant avec poigne ses cuisses pour le relever, jambes bien écarté, sa chatte suintante grande ouverte. Après réflexion quand on faisait l'amour on ne faisait pas la levrette on aimait se voir, une missionnaires musclés, une missionnaire brutal jambes bien empoignées et mon sexe qui la foule. La sodomie c'était pour le SM faire l'amour c'était dans sa fente intime, trempée de plaisir. Aprés plusieurs allers-retours je lui faisais goûter son plaisir avec ma queue. Elle adorait qu'on lui fasse lécher sa propre mouille elle trouvait ça terriblement puissant. Alors je m'en privais pas. On alternait pénétrations en missionnaire, fellation; soixante-neuf.
Puis quand elle se mettait à se branler c'est qu'elle allait bientôt jouir alors je me mettais à la prendre avec puissance mêlant mes râles aux siens. En général ses gémissements plus forts ses contractions me faisaient jouir et elle suivait très vite. Et on s'embrassait à ce moment. Jamais pendant ni avant mais à la fin tendrement mon sexe encore en elle. On tourna nos têtes vers Raphaël et Élodie un sourire aux lèvres.
— Désolé pour ton tapis.
— C'est pas grave, jouet, faut absolument qu'on apprenne à faire l'amour ça semblait tellement puissant
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