-Matthieu, arrive !

J'étais dans ma chambre au moment ou ma très chère et adoré maman à décider de faire preuve de sa plus belle nonchalance.

-Du calme, j'ai répondue sur le ton le plus sarcastique possible (J'adore les sarcasmes !), il ne reste que 633km à faire pour aller chez des inconnus pour fêter les 13 ans de mon cousin qui à le même prénom qu'un race de papillon (Tristan) un vendredi 13 janvier, que pourrait il se passer.

Je m'attendais à une gifle pour réponse mais j'ai juste eu droit à un charment sermon. J'aurais préférer que cette année sois comme les autres, qu'on se contente de faire comme d'habitude, un appel et puis c'est régler. Au lieu de cela je vais chez ses grands parents (car, évidement c'était ceux qui n'était pas de mon côté).

Avant de partir, j'ai pris le journal et un bon livre, de quoi tenir une journée de route. La première page du journal avait pour titre « Plusieurs disparitions dans les pays »

Après des lignes et des lignes d’emmagasinés, nous descendions de la voiture pour saluer tous le monde dont : Une veille dames très sûrement atteinte d’Alzheimer, un vieux avec un magnifique ventre de bières, la mère des autres cousins de Tristan qui visiblement avait laisser tous son maquillage lui tomber sur la tête ainsi que que son mari visiblement ancien bodybuildeur à la retraite depuis la préhistoire et pour finir ma tante et mon oncle préféré.Mon cousin comme à son habitude sortis son plus beau jeu d'acteur pour faire croire qu'il aimer saluer les gens.

Je l’appréciais beaucoup, Tristan (malgré sa passion pour se faire beau en toutes circonstance). Il n'a reçu qu'un cadeau ce jour là (je lui aurait bien mon livre mais je ne l'avait pas fini) mais quel cadeau ! Le tous nouveau bijou de la gamme réalité virtuelle de Nyso (Dotennin avait préférait se rabattre sur le nucléaire après l'échec de la NX.U)

A peine l'a il déballé que tous les deux nous précipitons tous les deux vers la télévision ( nous étions tellement pressé que nous avions même oublier de mettre le jeu dans la boîte, ce qui fit rire les adultes) Une fois les combinaison enfilé, nous ressemblions à des minis Neil Armstrong sans les 100 kilos de la combinaison.

« Vous commencerez le jeu à 18 ans, vous choisirais votre métier et votre vie, dans un monde où les robots risquent à tous moments de se rebeller si vous ne les en empêchez pas »

-Waw ça à l'air génial. On commence ? avais-je dit

Je mis le disque, choisi un grand gaillard blond passionné de lecture et de cinéma qui s'engage dans l'armée humaine contre les robots dissidents et les rebelles humains ? J'ai regardé Tristan, nous sourions tous les deux avant de plonger dans le jeu.

C'était comme un réveille, j'étais dans un lit militaire et Tristan n'était pas là. Je me trouvais au mur en béton gris et et sale il y avait 18 lits de chaque côté, deux porte grise à chaque extrémité de cette pièce ( que l'on pourrait qualifier de couloir) l'une déboucher sur une salle de bain en piteuse état, et l'autre sur une sortie.

Je m’apprêtais à sortir quand mon cousin se mit à me parlait via son

talkie-walkie

-On rentre ?

-Mais on vient juste de commençait ! j’avais protesté

-Oui mais on va pas passer tout mon anniv dans un jeu vidéo

Si il avait su a quel point il avait tort... Je me tenais soudain à côté de lui. Nous en avons essayer des codes mais rien n'y fait nous étions coincés. Quand soudain je me suis retrouvé dans la fameuse pièce. J'ai tenté de le rejoindre mais en vain. Nous étions seuls, piégé dans un jeux vidéos...