Voilà que s’achève, dans le creux de l’oubli

Ersatz lancinant, de promesses inutiles

Voilà que s’achève, ta laideur et ta bile

Méandres, cendres rances, amour abouti

Désinvolte ivresse, volonté consumée

Désillusion vaine, quand ton regard jade

Agonise et peine devant mes barricades

T’engorges de sa haine et de ses maux damnés

Douce renaissance, le long d’un chemin mort

Un temps désorientée, troublée de remords

De n’avoir pu choisir, la fleur d’un autre champ

Ô fuite au gré des vents, de femmes et d’amantes

Parfums, étreintes, indécence haletante

Jadis, je fus blême, Alcyon brille à présent