Tohu-bohu.
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L'escalier me sépare de la rue. J'entends la circulation incessante par la fenêtre ouverte. Les bus et leur long sifflement en accordéon,...Les bruits d'un quotidien mécanique. Un léger brouillard comme une vapeur lointaine, masque la rade au-dessus des jardins. En face, le manoir étrange s'efface derrière la végétation. Juste à côté, la tour grossière carillonne et nous rappelle nos heures.
L'esprit s'échappe vers les brumes, cherche une issue vers le rêve... trouve l'éveil à ses pieds. Les yeux s'ouvrent grands sur la terre transformée.
Je sors.
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