Un fantasme écrit à quatre mains, il y a quelques temps, et que je viens de retrouver !

Merci encore aux deux autres mains qui m'ont aidé à le faire.

Assise sur un banc, je rêvasse, et regarde un peu au loin. Je suis habillée d'une jupe noire et d'un haut rose. Je remarque alors un homme qui avance sur le sentier. Sa démarche me plaît. Je relève les yeux sur son corps jusqu'à son visage. Et là, je le trouve très beau et sexy.  Je sens que je mouille et aussitôt je croise les jambes. Je ne sais pas s'il l'a vu, mais derrière ses lunettes de soleil je crois qu'il me fixe.  Je lui souris et décroise et recroise mes jambes. j'ai envie de lui plaire. Il s'approche de moi et se fixe devant mon banc. Sur le coup je suis un peu inquiète. Que va-t-il faire ?

Je baisse les yeux. Il glisse sa main sous mon menton

- Pourquoi te caches-tu, Mignonne ? Va donc au bout des choses.

Et tout en me regardant il met sa main sur sa queue, me montrant son désir...

Je sens mon bas-ventre qui palpite. Le regard de l'homme est pénétrant. À la fois dur et tendre. Je reste un instant la tête appuyée sur sa main. Il me domine de toute sa haute stature tandis que je me sens devenir une petite fille soumise et offerte à ce bel inconnu.

Autour de nous la vie habituelle du week-end ensoleillé continue son manège insouciant et joyeux. Le parc vibre des cris des enfants. L'air chaud est empli des bavardages des mamans, des oiseaux piaillent. Et moi, brusquement, j'ai envie de lui. J'ai envie qu'il me prenne et me possède, ici, devant tout le monde. Un sourire cruel allume son visage comme s'il lisait dans mes pensées. Son bassin se frotte à moi, je sens la bosse dure de son sexe. J'ai envie d'écarter tout de suite mes cuisses, j'ai envie de me renverser sur le bois rugueux, j'ai envie qu'il me pénètre. Je le supplie des yeux, en silence. Ma respiration s'intensifie, mon sang afflue, la chaleur m'étouffe...

Ma langue humidifie mes lèvres, dans la danse lente et lascive du baiser. Alors, l'homme mystérieux m'attrape la main, me tire pour me faire lever, avec une certaine vigueur. Je me retrouve debout, tout contre lui. Sa bouche dure est près de la mienne, entrouverte. Il me tient toujours la main, la dirige vers son sexe. À travers le tissu, il me paraît énorme. Ma cyprine s'écoule, ma vulve s'écarte, je devrais avoir honte.

Autour de nous la foule est insouciante. Une jeune fille passe près de nous en suçant une glace. Un peu de crème coule sur son menton. J'ai envie ! Mon Dieu ! J'ai envie de lui, là, vite ! J'ai envie de le sucer, de goûter sa crème à lui !...

- Viens Mignonne, me souffle-t-il en m'entraînant vivement.

Alors, le monde entier disparaît. Je le suis en courant presque. Je trébuche, me rattrape à son épaule puissante. Mes seins ballottent en liberté sous mon petit haut. Je sens mes tétons qui durcissent. De vieux messieurs posés sur un banc regardent mon cul, me suivent des yeux. Je me demande s'ils ont encore la force de bander.

Mon ravisseur me pousse dans une petite allée sombre. Elle contourne un petit monticule arboré et entouré d'une grille qu'ouvre un portillon. Au sommet, un petit belvédère . On y accède par un vieil escalier de pierre, envahi d'herbes folles. Des buissons épais nous cachent à la vue des promeneurs. Mon bel inconnu s'arrête, me tient fermement face à lui. Nous sommes entre plusieurs buissons, près de la grille. Personne ne peut nous voir mis à part ceux qui regarderaient à travers la grille.

- Retire ta culotte, me dit l'homme.

D'une main tremblante, j'obéis. Sous ma robe, je prends ma petite culotte et la descends le long de mes cuisses. L'homme a déjà ouvert sa braguette et sorti son sexe en érection. Une belle queue, très grosse, d'une forme parfaite, avec une légère courbure vers le haut, faisant saillir un gland rouge et gonflé. Je regarde ce sexe avec délice et une envie folle de le prendre en bouche. L'homme extrait également ses testicules. De belles pièces, lourdes, qui pendent sous sa queue. À ce moment, l'homme avance une main entre mes cuisses... J'écarte légèrement les jambes pour lui laisser l'accès à ma chatte. Je sens ses doigts qui s'insèrent entre mes lèvres mouillées, pénètrent mon vagin, s'y enfoncent... Il me regarde droit dans les yeux. Je soutiens son regard et je sens qu'un orgasme déjà se prépare. Ma main cherche sa queue, la prend, la serre de toutes mes forces, la malaxe, la masturbe, la branle. Lui, continue de s'enfoncer en moi. Je ne sais combien de doigts me pénètrent... Je me laisse faire...

Je m'active toujours sur sa queue, comme une forcenée. Alors, je sens que sa main tout entière est en moi ! Il me fiste ! Il me met la main entière dans le vagin ! J'ai un peu mal mais la douleur se transforme rapidement en plaisir intense. Je m'appuie plus fort sur lui pour qu'il s'enfonce encore plus en moi. Je le veux tout entier en moi. Je continue de le branler mais avec moins de vigueur. Ma force s'épuise. Je ne suis plus qu'un vagin chaud et humide serré autour de son poignet. Un craquement de brindilles me sort de la torpeur du premier orgasme qui monte.

Instinctivement, je tourne la tête. Alors, je les vois ! Deux jeunes hommes nous regardent de l'autre côté de la grille ! Deux adolescents, plus précisément, qui se masturbent en nous regardant. L'homme qui me fiste avec violence me retourne vers les deux garçons, pour bien leur montrer ma chatte pénétrée de toute sa main. Je cabre mon corps en arrière en écartant encore plus les jambes. Je deviens folle ! C'est alors que je sens un objet doux et dur forcer l'entrée de mon petit orifice. L'homme essaie de m'enculer. Il s'enfonce petit à petit dans mon rectum, sans retirer la main de mon vagin. Je n'en peux plus. Un orgasme électrique me parcourt de part en part. Mon corps tout entier tressaute et vibre sans contrôle. Un flot de jus coule de ma vulve écartelée, tandis que je vois l'un des deux jeunes garçons éjaculer un jet puissant de sperme dans ma direction.

Mon amant continue de s'activer dans mon cul. Je le sens ahaner derrière moi. Je suis secouée par ses coups de bélier, de plus en plus forts, de plus en plus rapides. À travers la grille, je vois qu'un des deux garçons, attiré par le sexe plein de sperme de son ami, se pencher sur lui et commencer à le lécher. Je les regarde en me faisant enculer et je comprends que cela les excite au plus haut point.

Mon homme pousse un grognement et m'envoie un jet de semence au fond du cul. Le garçon qui suce passe sa queue entre les barreaux de la grille et mon homme me pousse vers lui.

- Suce-le ! M'ordonne-t-il.

Et je prend sa bite dans ma bouche. Et je le suce avec gourmandise. Je passe ma langue autour de son gland, l'aspire, le masturbe avec mes lèvres. Et un flot de sperme se répand rapidement au fond de ma gorge. J'avale avec plaisir. J'en profite avec volupté. C'est alors qu'une claque monumentale retentit sur mes fesses.

- Salope ! crie mon amant inconnu.

Et il me tire violemment par les cheveux. Je suis surprise par ses paroles, et son gestes. Mais en même temps je suis excitée par la douleur sur ma fesse, et mes cheveux tirés en arrière.

-  A genoux salope, et suce moi !

Il retire sa main, de ma chatte, et me positionne à ses genoux pour que je puisse le sucer lui. Je pensais qu'elle serait flasque, mais non elle aussi grosse que tout à l'heure. Je prend son bâton tendu vers moi, et l'approche de ma bouche, quand :

- Tes mains dans le dos ! Tu me suces et n'oublies pas mes couilles.

Je place mes mains dans le dos, et commence à lécher son sexe de haut en bas, et essaie d'attraper ses couilles, une par une. C'est assez difficile, et je mis reprend à plusieurs reprises. Je me courbe du mieux que je peux pour lécher, sucer et avaler ses couilles. Il me relève la tête par les cheveux et me gifle :

- Mieux que ça ! Avales les deux, cochonne !

Je le regarde, tout en suçant et avalant une puis deux couilles. Mes lèvres me font mal, tellement elles sont écartés. Il se penche en avant, et me frappe deux fois les fesses. Je m'étouffe à moitié. Mais j'arrive à garder ce met en place dans ma bouche. Il m'écarte les fesses durement. La douleur est là, et l'excitation aussi.

- Faites vous plaisir les gars, son cul est à vous ! Défoncez-la !

Et là, je sens non pas une queue s'infiltrer en moi, mais deux grosses queues. La douleur est intense. A ce moment, il relève ma tête en me tirant les cheveux, et enfonce sa bite dans ma bouche avec force. Je tousse, et ai envie de vomir. Mais rien ne l'arrête. Les deux garçons s'acharnent sur mon cul, et l'homme me baise la bouche. Ils suivent le même rythme. Je ne pense plus à rien.. Uniquement ses trois queues en moi. Je ne suis plus que sensation intense. Je ne veux pas que cela s'arrête. Punaise, c'est la meilleur baise que j'ai jamais eu.