Petite récompense !
Jeu de rôle : Un soumis et sa Maîtresse
Comme je te l'ai demandé, toi mon soumis, tu m'attendais sagement nu à genoux. J’aime te voir ainsi. Malgré ta grande taille, positionné ainsi, je te trouve magnifique. Je m'avance et tourne autour de toi en passant ma main dans tes cheveux gris. Ils sont doux et mes doigts glissent et te décoiffent. J’aime quand tu as les cheveux en bataille. Je te regarde, tu n’as pas oublié ton collier. Tu es tellement plus craquant avec. Mais bon, reprenons. Je prends la laisse et te guide vers le divan.
Aujourd'hui c'est spécial. C'est un jour de récompense. Tu le sais, je vois ton petit sourire en coin. Et ses légers frissons. Mais cela, je veux jouer. Je te demande de te mettre à genoux le dos droit et les mains derrière la nuque. Je te trouve magnifique. Ton torse porte encore les dernières traces de nos jeux. Tu a été courageux et je suis fière de toi. Je te contourne. J’ai décidé de m'occuper de tes fesses avant de te donner ta récompense. Tu as de très belles fesses fermes. Mais elles sont encore plus belles avec des stries. Je me positionne devant toi, et remonte ton visage vers moi. Je veux voir ce doux visage poupon que tu as. Ses joues et ses lèvres fines. Tes yeux sont brillants d'excitations et aussi d’une petite note d'angoisse. Humm, j'adore quand tu me crains, que tu ne sais pas ce qui va t'arriver. Je suis capable de douceur mais je peux aussi être dure. Je pose mes mains autour de tes joues et je t'embrasse langoureusement. Je te mords la lèvre puis insère ma langue à l'intérieur et je suce ta langue comme si c'était ta queue. Je te sens tressaillir. Et avant la fin du baiser, je tire ta lèvre avec mes dents en faisant de petites incisions. Humm. Tu as le réflexe de lécher ta lèvre. Je te souris et te montre le bandeau que j'ai l'intention de te mettre. Tes yeux s'agrandissent. A tout à l'heure, mes jolis yeux. Je ne lui dit pas mais je le pense.
Le bandeau mis, je me dirige vers ma commode des plaisirs. Je sors mon nouveau martinet. Je l’ai trouvé en brocante. Tout en cuir. Je caresse les lanières, elles ne sont pas toutes de la même longueur. Parfait ! Je passe derrière toi et à l'oreille te murmure :
« Allons-y !»
Le martinet se pose sur ton épaule et je laisse les franges dévaler ton dos. Tu contractes chacun de tes muscles au passage du martinet. Et je fais la même chose de l’autre côté. Après plusieurs passages, et sentant que tu n'es plus inquiet, je claque ta fesse gauche. Le son et le souffle émis par ta bouche me montre que je t’ai surpris.
« Je te rappelle que je ne veux rien entendre. »
Et en punition je retourne le martinet et donne un coup sec sur ta plante de pied.
«Premier rappel mon soumis »
Je continue de jouer avec tes fesses pendant un certain temps. Tu es courageux. Puis je te demande de te mettre à quatre pattes. Mes mains glissent de tes épaules jusqu'à tes fesses. Elles sont excessivement chaudes. Ta queue est tendue. Je ne la toucherai pas aujourd'hui mais je veux la voir dégouliner de ton jus. Je te caresse des cuisses aux couilles que je ne fais qu'effleurer. Je prends de l'huile, et te demande d'écarter les jambes. Je masse ses fesses meurtries et descend par petit aller-retour jusqu’à tes testicules tout en touchant à peine ton périnée. Je connais ton point faible, et je ne veux pas te donner satisfaction maintenant. Je fais durer le plaisir. Tu essayes de pousser tes fesses à chaque passage. Je souris et décide de ne rien dire ou faire. C'est un jeu. Puis mes mains se font plus lourdes sur tes marques. Tes fesses et ton corps bougent sous la douleur aussi infime soit elle. Et évidemment mes doigts se positionnent sur cette partie si sensible et délicate. Et tout doucement, je masse en utilisant un doigt dans un va et vient à la fois ferme et doux. Je te sens gémir.
« Je te rappelle que ta jouissance m'appartient ! »
Mon autre main se glisse sous tes couilles et je les caresse en douces pressions et en faisant que mes doigts se croisent et te touchent de partout. Je perçois les contractions de ton corps et ta queue faire de petits sauts. J'adore, mais ce n'est pas fini. Ma main quitte ton périnée et part à l'aventure... Ton anus à compris que j’allais m'occuper de lui. Je passe ma phalange de haut en bas et redescend comme le ferait le pinceau d'un peintre. Et j'effleure cette petite rondelle. Je penche la tête et laisse tomber un peu de salive. Avec mon index je fais de petits cercles et appuie parfois pour accéder à ton antre. Je m’agenouille sur ton côté et tout doucement je te pénètre d'un doigt. C'est aussi agréable pour toi que pour moi. Même si c'est une première pour moi. Je continue de faire des petits cercles et finalement je rentre un deuxième doigt. Ils sont encerclés, je sens la pression. Mon autre main glisse sur ton dos, en petit massage comme pour te rassurer. Puis je pousse un peu plus loin mes doigts. Tu te contractes.
« Chuttt !!»
Et tout doucement je fais pression sur tes épaules pour que tu les poses sur le divan. Une main sur ta tête pour que tu ne bouges pas, le visage à mon opposé. Bon garçon ! Je suis fière de toi mon soumis et maintenant voici ta récompense. Mes doigts continuent ce va et vient lentement pour ton plaisir et le mien. Je mouille comme une folle. Je sens ma mouille couler le long de mes cuisses. Je retire mes doigts et les insère en moi. Je retire ma mouille et remet un doigt dans ton anus. Je le rentre entièrement. Puis je le replie de façon à toucher cette petite masse toute douce, ta prostate si je ne me trompe pas… Je me suis un peu renseignée et je sais que tu vas aimer. Je replie mon doigt et te touche en petit massage léger, et parfois en toutes petites pressions. Je te sens te contracter et haleter de plus en plus. Cette partie de ton corps que je suis en train de découvrir est un pur plaisir. Pas pour ce que je fais, mais pour ce que je vois. Je te sens concentré à résister à cette jouissance et je me souviens que c'est une récompense. Alors...
« Maintenant, mon soumis, jouis pour ta Maîtresse »
Je t’entends pour la première fois. Ce plaisir intense profondément venu de tout ton être. Ton râle est puissant, on croirait entendre braire un âne. Je te trouve magnifique. Je relâche la pression au fur et à mesure que ta respiration revient. Je continue encore quelques va-et-vient autour de ton anus puis je retire mes doigts. J'enlève ma main de tes cheveux et doucement je t'allonge sur le dos. Ta queue est encore tendue. Je la prend dans mes mains et mes lèvres viennent goûter cette semence si délicieuse. Je te sens te gonfler et je te suce pour une nouvelle salve de ton jus. Je relève les yeux vers toi, te retire le bandeau...
« Coucou mon amour !»
Tes yeux brillent à la fois de plaisir et de quelque chose d'autre. Et je vois une larme glissée de ta joue, que je ramasse avec mes lèvres. Mon sourire est clair. Je suis fière de moi. J'ai réussi à te faire jouir comme jamais. Je m'allonge dans tes bras. Tu me sers fort. Et nous nous endormons.
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