LA TEMPÊTE...
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Le vent souffle dehors, hurle, jusqu'alors
Je l'entends,
il siffle sans retenu, comme un brigand
forçant le passage, le courant
Toquer, claquer sur les volets,
Souffler dans les arbres et les allées...
De mon sofa, je peux l'imaginer
en colère, à virevolter et faire son cinéma dans les airs
Les branches des arbres luttent entre elles pour ne pas sombrer,
se briser,
à quand, l'accalmie se disent-elles
La pluie quant à elle,
Bien installée depuis l'aube, a fait son entrée, dans les cours d'eau,
déferlent sans s'arrêter
Sur le toit des maisons,
glissante dans les gouttières,
Jusque dans les caniveaux
Torrentielle et venteuse
à l'abri seulement, la tempête
nous la trouvons merveilleuse...
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