Cher Panda,

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 Si seulement nous étions encore, notre vie en aurait été différente.

 Cela fais presque dix ans que nous nous sommes perdu, pas parce tu n'es plus, mais parce que nous ne sommes plus. Les moments de nos vie ont été semé d'embûches et nous n'avons pas su les surmontés, pour ta pars en tout cas. Tu es rester dans cette obtique d'être un démon ou une sorte de sociopath. Tu disais tant de chose belle pourtant lors de notre relation. Tu avait bon fond, tu était quelqu'un de bien, mais je pense que le rejet de ta famille, de tout des exactions et de ne pas avoir connu ton pères en est sas doute la cause. Je ne le saurais jamais.

 Je me souviens clairement de nos moment ensemble, des tes envie d'avenir pour notre couple, enfant et mariage. Je n'étais pas pour, je ne voulais pas de cela, ni mariage ni enfant. Mais au fure et mesure que le temps massais, j'ai changer d'idée, pourtant cela ne c'est pas fait. Tu avais pourtant fais ta demande à la quel j'ai tout de même dis non. Pas parce que je ne t'aimais pas, pas parce que cette perceptive d'avenir ne me tentais pas, mais parce que tu es tombé dans la drogue. Je ne voulais d' un avenir avec la personne que tu devenais. Je ne voulais pas de cette avenir pour un enfant probable.

 Plus notre relation avançait, plus je remarquer que quelque chose avait changer en toi. Je ne comprenais pas au début, sans doute la distance même si nous faisions notre possible pour nous voir le plus souvent malgré nos emploie respectif et le fait que nous n'avions ni l'un ni l'autre le permis. Tu as réussis à mène double jeu en jouant de nos sentiment. Lorsque j'ai découvert que nous étions deux filles, je t'ai pardonné et te écarts mais je n'ai pas oublier.

 Le fait que je sois tombé enceinte à sans doute jouer egalement, bien que ta réaction lorsque je te l'ai appris m'ai profondément souffrir. Cette enfant n'a pas vécu et aujourd'hui, avec le recul, je me dis que cela était mieux ainsi pour lui. Que lui aurais je dis lorsqu'il m'aurais posé des questions sur toi ? Alors, lorsque j'ai su que j'étais e'ceinte, je ne t'ai rien dis. J'ai garder cela pour moi, étant donner que j'ai passer cela sous silence et que je voulais me donner les moyens de garder ce bébé, j'ai continuer de travailler. Mes horaires était compliquer. Très changeante, de jour comme de nuit, mais je voulais pouvoor lui acheter tout ce dont il aurait besoin. Pourtant, le temps a travailler ainsi n'a pu durer plus de deux mois.

 Rien ne c'est passé comme je le souhaitais, je suis aller sonner chez tes parents, ta mère m'a renseigner me disant que tu travaillais, je l'en aïs remercier et je suis venu sur ton lieu de travail pour pouvoir te parler durant ta pause, je ne savais pas quand tu aurais terminée, j'ai alors patientée. Cet à ce moment là que j'ai compris, lorsque je t'ai vus avec elle, mais je me suis dis qu'elle pouvais tout aussi bien n'être qu'une amie. Tu ne l'avais pas embrasser, pas tenu la main, pas dis quelques chose qui puisse faire que je me doute de quoi que se soit. Mais lorsque tu m'as vus, ton visage a changée. Cette expression sur ton visage, je ne pourrais pas l'oublier, je ne sais pas se qui t'es masser par la tête lorsque tu t'es dis que je ne le découvriras jamais, mais, je t'ai toujours dis, que tôt ou tard. La vérité fini toujours par éclater. Tôt ou tard, elle arrive et crie. que tu avais quelqu'un d'autre car je suis venu pour te donner les résultats.

 Je me souviens également du jour où j'ai appris la nouvelle. J'ai appeler le laboratoire, car je pensais être seulement malade, j'avais vus le médecin et eus une prise de sang à faire. Le médecin qui me suivais depuis l'enfance ne m'a mis cet examen que par précaution. J'étais certaine que ce serait négatif. Pourtant, la femme que j'avais au bout de la ligne m'avais dis que cela était positif, elle m'a félicité et souhaiter bonne chance. Je l'ai remercier et j'ai raccrocher, je suis restée tétanisé durant un moment, jusqu a ce que mon frère entre dans la chambre et me demande ce que j'avais. Je ne lui ais pouetant rien dis. Je n'ai pourtant rien dis pardonne, même pas à toi d'ailleurs. Puis lorsque je t'ai eus téléphone ce soir là, je voulais t'en parler mais tu m'as seulement dis que tu voulais faire un break. Ce que nous avons fais, et c'est également à ce moment que j'ai appris que tu avais quelqu'un d'autre car je suis venu pour te donner les résultats.

 Rien ne c'est passé comme je le souhaitais, je suis aller sonner chez tes parents, ta mère m'a renseigner me disant que tu travaillais, je l'en aïs remercier et je suis venu sur ton lieu de travail pour pouvoir te parler durant ta pause, je ne savais pas quand tu aurais terminée, j'ai alors patientée. Cet à ce moment là que j'ai compris, lorsque je t'ai vus avec elle, mais je me suis dis qu'elle pouvais tout aussi bien n'être qu'une amie. Tu ne l'avais pas embrasser, pas tenu la main, pas dis quelques chose qui puisse faire que je me doute de quoi que se soit. Mais lorsque tu m'as vus, ton visage a changée. Cette expression sur ton visage, je ne pourrais pas l'oublier, je ne sais pas se qui t'es masser par la tête lorsque tu t'es dis que je ne le découvriras jamais, mais, je t'ai toujours dis, que tôt ou tard. La vérité fini toujours par éclater. Tôt ou tard, elle arrive et crie.

 Cette vérité, j'ai eus beaucoup de mal à l'accepté, mais il fallait que je fasse avec. Je suis partie, tu ne m'a pas retenu et tu n'as pas su ce que je voulais te dire. Tu n'as pas su que j'étais enceinte et que cette enfant a naître était de toi. Je suis rentrer chez moi, avec le cœur en morceau. Je me suis pourtant accrocher pour notre enfant que tu n'aurais jamais connu par la suite, je ne voulais pas que tu le soit un exemple à suivre, alors je me suis dis qu'il valais mieux qu'il ne sache jamais. J'ai continuer à travailler, je voulais mettre de l'argent de côté, mais je savais que je devais attendre les trois premier mois de la grocesse, u'e fois ce cape passé, la grocesse a plus de chance de se passer mieux. Ce fus le cas pour mon bébé, mais durant le quatrième mois, j'ai dû arrêter de travailler, la grocesse étant risquer.

 Durant ce quatrième mois, les complications sont arrivé, je savais que je devais arrêté de travailler et rester alité, mais je ne pouvais pas me le permettre. Ce se mois ci ou j'ai trop forcer durant le travail, ou je n'aurais pas du rester debout, j'ai eus de plus en plus de douleur jusqu'à terminer au urgence ou j'ai appris que mon bébé ne vivait plus. Effondrée, je me suis dis durant longtemps que cela était de ma faute, ou je me suis rendue malade car je m'accisais de sa non naidsance, de cette fausse couche.

 Tout cela, j'aurais pus te le dire plus tôt, tout cela j'aurais da's doute due en parler avec toi, mais je n'en ai pas eus la force, et lorsque je t'ai avouer que j'avais été e'ceinte, tu as mal compris et tu m'as répondu que nous devions régler le problème. Je ne suis plus jamais revenu, j'avais bien trop mal et j'avais bien trop de renvoeur envers moi, mais aussi envers toi, car tu ne voyais en notre enfant qu'un problème.

 Si killian avait vécu, il aurait eus 10 ans cette année. Le personnelle des urgence m'a donner des co seul pour surmonté cette douleur, il mnin aussi appris que notre e'fant était un garçon, je lui aïs dis au revoir et j'aime à me dire que le paradis ou quelques chose après ma mort existe, qu'il n'est pas seul, qu'il est avec ma famille ou il grandir, même dans la non naissance

 À toi, que j'ai aimé.

 À toi, à qui j'ai cacher cela durant longtemps.

 À toi, qui n'en avait rien à faire.

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