Désespoir
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Mes pleurs sont des tombes qui coulent et s’échappent
La Faucheuse nargue, vole sous d’autres Cieux.
Qu’importe la douleur, ce malheur qui me happe,
La tristesse surgit en trombe de mes yeux.
La Faucheuse nargue, vole sous d’autres Cieux.
Un trop plein dira-t-on, mon âme dégouline.
La tristesse surgit en trombe de mes yeux,
Et je pleure en secret, de bon cœur je m’échine.
Un trop plein, dira-t-on, mon âme dégouline,
Les enfers trop discrets m'appellent dans un cri.
Et je pleure en secret, de bon cœur je m’échine,
Crachant le désarroi, la haine, le mépris.
Les enfers trop discrets m'appellent dans un cri
Assiègent, détruisent, ne laissant que vestiges.
Crachant le désarroi, la haine, le mépris,
J'implore le bon sens, cet amour que j'érige.
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