Tu as peur ?
Voyons, ce n'est rien.
Enfin, si peu !
Je vais t'aider.

Alors imagine un peu cette verge, qui va venir vers toi.
Se frotter contre tes lèvres,
Frotter sa douce peau rose et rebondie contre la tienne.
Doucement.
Puis plus fortement.
Pour forcer l'ouverture de ta bouche comme les lèvres d'une pucelle.

Cette queue se glissera là.
Entre tes dents,
Et alors qu'elle se frottera, tu ne penseras qu'au fait de ne pas mordre,
De ne pas serrer.
Car oui, tu auras envie qu'elle s'enfonce
Et elle le fera.
Caressant tes joues,
Délicatement contre ton palais.

Mais hésitante, elle reculera pour revenir,
D'avant en arrière, tu sentiras cette muqueuse sèche devenir humide sur ta langue.
Et que tu joues avec elle en bouche
Ou que tu la laisses prendre place,
Elle sera là,
À gonfler,
À se répandre dans ta cavité.

D'abord en volume,
Pour te montrer qu'elle est maitresse en tes lèvres,
À enfler en toi et envahir l'espace.
Puis de quelques secousses, elle se répandra
De sa chaude et collante saveur masculine.
Une gorgée de plaisir qui t'inondera sans prévenir.
De là, tu n'auras plus aucun moyen de t'enfuir.
Le liquide en ta gueule devra être pris comme un cadeau.
Qu'importe le fumet, il faudra l'avaler
Comme un bon toutou,
Comme une bonne soumise.
Il faudra obéir
Et boire à la source de la jouissance
Tout l'élixir.