Sonnet
Une minute de lecture
Je m'appelle Anavel, je suis belle, mais cruelle
Je dépeint mes besoins d'un seul regard en coin
J'entretiens ton béguin, je fais trembler tes mains.
Je suis celle qui te scelles même si tu te rebelles.
Mais tu vois, je conçois ces larmes ce désarroi.
Mais tu sais, je ne hais, ni l'amour, ni le lait.
Mais tu fais, sans arrêt, l'amoureux un peu niais.
Tu me vois, près de toi, mais tu ne m'auras pas.
Je n veux plus, qu'un intru, m'amène du superflu.
J'en peux plus, d'incongrus, qui me parlent dans la rue.
Avec toi, quand j te vois, y a un truc, je n sais quoi.
Ton odeur, ta douceur, tes blessures, plein le cœur.
Une aura, je sais pas, un truc que j'explique pas.
Prends mon cœur, sa lueur, plus besoin d'avoir peur.
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