10.
Chapitre Dix : Immorales
« C’est le chef société, il cherche le responsable de votre haine. »
« On veut ... »
« Ne nous faites pas la morale ! »
Maria reconnut le commandant Stella.
« Vous êtes au courant ? »
« Oui quelqu’un joue double jeux, il a manipulé les religieux ! »
« C’est pas moi ! » Dit l’un d’eux.
Puis là un silence, tout le monde entendirent des bruits de pas militaires.
« Cachez vous ! »
Il y eu panique dans tout le quartier !
« Ce sont les bonheurs avec les inconsciences ! »
Ils tirèrent partout.
« Ou ont-ils eu ces armes ? » Dit Maria perplexe.
« Ce quelqu’un donne des armes ! »
« Sortez, la guerre c’est le bonheur de l’Homme ! »
Lyvain courut au milieu de la cour.
« Vous faites erreurs, on se fait manipuler par nous même. On a trafiqué notre société pour former ces quartiers. »
« Comment tu sais ça minus ? »
« Car je viens du quartier bonheur … Et je voulais être vérité, j’ai découvert des choses que ce gouvernement nous dissimuler ! »
« Qui es tu pour jurer de telles ignominie pareilles ? »
« Laisse-le Déreks. »
« Quoi Marnie ? »
Déreks baissa son arme et Marnie s’approcha.
« Dites-moi qui vous a dit d’exterminer les moralisateurs ? » Dit Lyvain
« Non ce sont les devoirs que nous tuerons. »
« Mais … Celui qui vous manipule est un moralisateur. »
« Non c’est le chef des sociétés petit gars ! »
« Je croyais aussi mais ... »
« Tu nous crois naïf ? »
« Je n’ai pas dit ça. »
« Lève les mains ! »
Maria sentit le danger.
Les bonheurs et inconsciences détruisirent le quartier.
« Tiens cette épée » Lança Maria.
Lyvain désarma Marnie puis il prit la fuite.
« Pourchassez-les ! » Ordonna Marnie.
Arianne fit des recherches mais trouva rien.
Des caméras furent ajoutés par le chef sociétés dans plus de quartiers et plus nombreux !
Lyvain fut poursuivit par Déreks, assez costaud et sportif.
« Tu ne suis pas la société connard, lâche ! »
« Il faut avoir nos propres décisions ! »
« Je te tuerais, on doit tuer les devoirs ! »
« C’est ce que veux celui qui nous manipule ! » Ajouta Lyvain en courant.
Il tira en plein genoux de Lyvain qui tomba et chuta.
« Laisse moi vivre, les vivants ne ... »
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