13.
Chapitre Treize : Haute voltige
De nombreux gars travaillèrent dans cette tour pour la faction Société.
« C’est quoi sur cette vitre ? »
« Des jambes, intrusions, signalez ça à tout le monde ! »
Lyvain et Trinitius montèrent rapidement jusqu’à atteindre le dernier étage.
Marine regarda.
« Descendez c’est entre eux et moi. »
Le signal d’alarme s’arrêta au bout de plus de quinze minutes.
Lyvain brisa la vitre.
« C’est vous ! »
« C’est mon bureau ! »
« Ou est le chef masqué Société ? »
« Je l’ai tué. »
« une femme ? » fut étonné Trinitius.
« Pourquoi ? » Ajouta Lyvain
« Tout simplement car je suis une anti-système et la guerre c’est la satisfaction de l’humain même ! »
« Je peux comprendre, moi aussi j’ai un vécu difficile mais aller vers la Haine ... »
« Personne comprends ! »
« Calmez-vous, je vous prie. » Apaisa Trinitius.
Marine poussa violemment Lyvain qui est presque en train de tomber et de faire une chute de plus de quarante étages.
« Cette guerre, regardez ... »
Trinitius vit au loin du feu, des incendies.
« Marine, arrêtez ça vite ! C’est pas ça l’esprit humain ! » Cria Lyvain
Trinitius eu peine à réagir.
« Réagis Trinitius ! »
« Oui ! »
Malheureusement Marine le poussa, on entendit le bruit de la vitre éclaté, taillant les parties de Trinitius qui tomba.
Sa chute provoqua sa mort certaine.
Lyvain versa des larmes et prit son épée et affronta Marine Stern.
« Pourquoi en arriver là Marine ? »
« Pour mon honneur qu’on a tellement sali ! »
« La philosophie de ces factions n’est pas révolte haine renversement, c’est une paix par sang philosophique malgré les trucages … On est tous unit pour apporter la pierre à l’édifice. »
« Tu appelles cela de la philosophie, nous imposé des factions et plus revoir personne ?
Personne n’est jamais sorti de là ?! »
« On le fera ensemble, appelle ton armée en retraite. »
« Non ! Il est hors de question ! »
« Cette haine vient de là, on nous impose, on dispose. » versa des larmes Lyvain.
« Qui est derrière tout ça ? »
« Toi tu sais Marine ? »
« Non ; mon mari le chef masqué Société est mort. »
« Pourquoi tu l’as tué ? »
« Parce que ... »
« Tu n’as pas réfléchi avant d’agir ! Fini cette guerre, nous devons réconcilier les Factions ! »
Marine se mit à genoux et se scarifia la jambe.
Lyvain souffla et continua à essayer de résonner cette folie qui n’avait pas l’air d’en finir.
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