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Chapitre Vingt : La Faction « Différences »
Lyvain arriva dans un nouveau lieu clos avec la nature et des maisons.
« C’est là, c’est là la faction Différence. »
Il observa et ne vit plus de souterrain, un lieu fermé de tous, aucune sortie possibles.
« Je me présente Raven, chef de cette faction. »
« On nous vaccine, on décide pas de notre philosophie. »
« Si ils nous observent depuis nos naissances et toi ? »
« Oups c’est Lyvain … Ou sont les autres ? »
« Ils sont trente deux, vous vous êtes échappés ? »
« Pour découvrir des vérités. »
« écoute, il n’y a aucune sortie. »
« Sais-tu quelque chose de notre injection avant d’arriver à ces factions ? »
« Il y a pour soigner la maladie et nous injecte une puce pour nous espionner et changer notre comportement. »
« Ils mentaient encore une fois. »
« Ils nous mentent tous, ça c’est pour le pognon petit ! »
« Comment sais-tu tout ça ? »
« J’ai jadis travaillé longtemps avec Dilgorat. »
Lyvain vit Salazaras en train d’écrire sur son carnet.
« Merci Raven »
Salazaras regarda Lyvain.
« Tu veux ma photo ? »
« Oh du calme. »
« Dégage ! »
Raven invita Lyvain dans sa tente, sa base.
« Voilà la carte du créateur de ces lieux. »
« Mais à l’extérieur c’est désert ... »
« C’était son but à Dilgorat, brouiller les pistes, toi et tes amis, vous ... »
« Depuis quand ils travaillent sur ce vaccin ? »
« Des lustres, on est pas protégé si on sort dehors, il fait très chaud dehors. Il n’a jamais neigé ni plut. »
« C’est une maladie qui vit grâce à la chaleur. »
« Exact. »
« Et le général Opovor ? »
« Il ne viendra jamais ici, il nous craint ... »
« Pourquoi ? »
« Car j’étais proche de Dilgorat, et ... »
« Raven ! »
« Quoi Dimitria ? »
« Viens voir ! »
« Elle est malade ... »
« Merde ! »
« Les Différences ne tombent jamais malades, c’est étrange ! »
« Soignez là au plus vite. »
Le soleil se rapprocha de la zone faction Différences.
« Tous dans le souterrain ! » Ordonna Raven.
Certains vomissèrent.
« On va tomber sur Opovor ! » Cria Lyvain
« On a pas trop le choix ! » Ajouta Dimitria.
Ils continuèrent vers la pièce des laboratoires et recherches.
Le Général Opovor les entendit tous.
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