Chapitre Vingt Deux : De nouvelles règles

Lyvain observa du côté gauche et vit des gardes tenant enchaînée sa mère.

« Maman ! »

« Je te mets à l’épreuve Lyvain ! » Riait Dasgot.

Raven leva son arme à feux.

« Cette ville sera à nous ! »

« Je crois que les politiques ne voudront pas sale idiote ! »

« Votre politique est dû à une corruption ! »

« En effet, je les ai payés. »

Raven tira et la balle rafla la jour droite de l’empereur.

« En plus tu vises mal. »

« Tue-le » Dit Lyvain

Lyvain prit l’arme de force et tira une nouvelle fois, il rata.

Il n’y avait plus de balles.

« Maman … Je te promets de te libérer. »

« Mettez les en prisons ! » Ordonna l’empereur.

Lyvain prit la fuite, une couse poursuite s’engagea.

« Retrouvez-le ! »

Lyvain entra dans l’assemblée. Il fit un discours alertant.

« Votre Empereur est plutôt un dictateur, il a enfermé ma mère et mes amis. »

« Vous êtes un Faction ? »

« Oui mais plus ... »

« Les Factions ont toujours représentés une menace pour nous alors ... »

Un homme en cravate se leva.

« Je suis sûr qu’il a beaucoup à nous dire. Laissez-le parler. »

« Nous pouvons vivre en paix non ? »

« Les Factions sont des terroristes, ils ont amené cette putain de maladie ! »

« Nous ? »

Lyvain versa deux larmes.

« Je crois que vous vous trompez, c’est l’Humain qui a ... »

« Mettez le dans un asile, il a rien à faire ici ! » Crièrent des élus du peuple.

« Vous êtes menés par des dictateurs et de la violence, la haine ... »

Raven avait échappé à l’empereur et s’introduisit dans l’assemblée et écouta.

« écoutez, nos différences sont aussi une force qu’on soit faction ou pas ... »

« Bien dit ! » Dit l’élue Gabrielle.

Raven s’avança.

« L’Humain aime provoquer des conflits là ou il n ‘y pas lieu d’être n’est-ce pas ? »

« Faites tomber l’empereur » Souligna Lyvain ambitieux et tenace.

Lyvain mena de nouveau une fronde contre encore un humain ayant des valeurs immorales.

Les élues se levèrent et applaudirent malgré une légère division pour certains ayant des idées divergentes.

Ils rentrèrent dans le palais présidentiel.

L’Empereur se leva.

« C’est un coup d’état ! »

« Mené par les élus et Moi Lyvain ! »

« Que Justice soit rendue ! »

« Alors libérez ma mère et les Factions ! »

L’Empereur lança un poignard vers Lyvain, Raven se projeta devant et tomba.

Le poignard la planta dans ses organes vitaux, elle eut du mal à respirer.