Mireille l'abeille

Une minute de lecture

Je ne sais pas pourquoi,

Mais à chaque fois, je me dis que tu reviendras.

J’entends ta voix dans la cour,

Quand je regarde les fleurs du printemps,

Les bourgeons et le beau vert de Bourgogne,

Je sens ton sourire partout.

Tu existes dans ton fils, dans les yeux de Bénédicte,

Dans ta maison, où ton nom colore et façonne chaque pièce.

Je suis allée me recueillir sur ta tombe

Et j’aurais juré que tu étais là !

Elle était aussi gaie que toi,

Pleine de galets, de fleurs et de petites folies toutes mimi.

Tu fais partie de mon idylle d’enfant,

Allez à la campagne, c’était venir te voir toi.

La gaieté de tous mes étés passés là-bas, chez moi.

Tu me manques, tu as disparu si soudainement,

Sans prévenir personne !

Tout à été si rapide et ce n’est qu’un an après,

Que je réalise que tu es vraiment partie.

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