Chapitre 2, La chambre d’hôtel.
Aurélie passe sa carte magnétique devant la serrure de la porte qu’elle pousse sans attendre, découvrant une belle petite chambre entièrement blanche. Le papier peint uni des murs aux belles fleurs en reliefs, les draps soyeux et la moquette épaisse participent à cette sensation d’intimité et de bien-être, dans la continuité parfaite de notre relâchement et excitation du moment. La porte n’est pas tout juste refermée, que je lui ordonne...
— Mets-toi à quatre pattes sur le lit.
— Tout de suite ?
— Oui, inviter un inconnu et le mettre dans cet état mérite une petite punition n’est-ce pas !
— Oui, sans doute...
Sans rajouter le moindre mot, Aurélie monte sur le lit et se met à quatre pattes.
— Cambre-toi mieux, et baisse ton short que je puisse voir tes fesses.
Elle descend lentement son petit short en le faisant glisser de gauche à droite, découvrant un tanga à peine plus grand qu’un string, en dentelle noire transparente, largement ouvert sur des fesses absolument sublimes. Elle le fait glisser le long de ses jolies jambes, puis par-dessus ses chaussures à talons qu’elle semble préférer garder aux pieds. Un tout petit tatouage de licorne orne le haut de sa fesse droite, très bien dessinée et particulièrement colorée de rouge, bleue et jaune. Elle est maintenant sur les coudes, le dos cambré au maximum, ses fesses tendues et offertes à ma vue. Je suis totalement sous le charme, excité au plus haut point. Mon sexe dur comme de la pierre, laisse couler quelques gouttes de rosée que je ressens glisser le long de mon gland sous mon caleçon.
Je donne sans prévenir une fessée bien sèche à Aurélie, avec toute ma main bien déployée, et le claquement caractéristique me confirme que l’impact a dû faire de l’effet.
— Ahhhhhh, lâche-t ’elle avec style.
— Oui, tu aimes, n’est-ce pas ?
Sans attendre sa réponse, une deuxième part aussitôt, de la même intensité, et exactement au même endroit, puis une troisième. Elle ne peut alors réfréner quelques contorsions sous la douleur, mais à part quelques râles plutôt excitant, elle maintient sa position. Sa fesse droite commence maintenant à rougir...
— C’est bon, ouiii, c’est ce que je mérite, je suis ta chienne ce soir. Fais de moi ce que tu veux...
— Parfait ! Viens sur le bord du lit, en restant en levrette, et enlève ta culotte que je puisse bien te voir offerte.
Elle s’exécute Instantanément. Son petit trou ainsi que sa chatte se retrouvent face à moi, offerts sans retenue.
— Je veux t’entendre prendre du plaisir, extériorise, crie, lâche-toi !
Je pose mes mains sur ses fesses, les caresses, et ressens de sa part une extrême sensibilité lorsque je passe sur ses rougeurs que je n’évite pas pour autant, puis, pose de délicats baisers et profite de la douceur et de la fermeté de l’endroit. Je profite également de ce moment pour faufiler mes lèvres le long de son sillon. J’arrive rapidement sur son anus que je commence à titiller de ma langue humide, en petits cercles, avant de m’enfoncer peu à peu dans les ténèbres...
— Hummm... j’adore, continue !
Ma langue pénètre maintenant son cul en de francs va et vient trempés, et la salive coule doucement sur sa chatte et se mélange à sa cyprine abondante. Mes doigts caressent son clito et ses lèvres qui en redemandent. Je quitte tranquillement son petit orifice et descends lentement vers son vagin qui est maintenant légèrement ouvert. Je passe ma langue tout autour puis en faisant mine de rentrer, mais sans y aller, ce qui ne manque pas de rendre folle ma partenaire par des, vas-y, plus fort, enfile-là-moi ! Sans céder, Je décide aux abords de m’arrêter, pour continuer la course en aspirant ses lèvres puis en m’attardant sur son clito. Mes mains libres en profitent pour passer sous la chemise et se glisser sous le soutien-gorge, sans le défaire, puis j’entreprends de pincer, tirer et jouer avec ses tétons érectiles et sensibles.
— Ohhh, tu me fais mal, c’est bon, continue, j’adore ça...
Je choisis ce moment pour intensifier mes caresses buccales, tantôt sur son clito, tantôt sur ses lèvres, puis pénètre ma langue dans son intimité toujours plus humide. Je ressens alors tout à coup une coulée de plaisir m’envahir la bouche, accompagnée de râles qu’elle ne peut contenir et si agréables à mes oreilles. Elle est aussitôt assaillie de multiples contorsions qui semblent la remplir de bonheur.
— Ouiii, je jouis, c’est trop bon, ahhhhhh !
Je défais alors ma ceinture, la tourne autour de son cou et passe le bout par la boucle de façon à la tenir en laisse.
— Tu as joui, n’est-ce pas ? Tu vas maintenant me sucer comme une salope !
— Je suis à toi, oui, je suis ta salope, dis-moi ce que tu veux !
Je la tiens maintenant fermement par la ceinture, la guide pour descendre à quatre pattes du lit, et lui ordonne de me déshabiller. Il ne me reste plus maintenant que mon caleçon, totalement distendu par ma queue dressée, pressé d’être libéré puis englouti par sa bouche, qu’elle m’a décrit vorace et insatiable...
Bien à mes pieds, elle descend mon caleçon et libère ma queue qui se dresse instantanément devant-elle. Elle s’avance pour la prendre en main et guider mon gland bien gonflé de plaisir à ses lèvres, lorsqu’elle est arrêtée net.
— Humm, aïe !
Elle lâche mon sexe et met ses mains sur son cou pour essayer de détendre la ceinture, mais rien n’y fait. Je la tiens fermement, et elle peut tout juste frôler ma bite du bout de la langue, ce qui la frustre fortement. Je lâche un peu de lest.
— Sors bien mon gland et sens le bien, et plus bas aussi. Délecte-toi bien de cette odeur de sexe, de mâle...
— Oui, j’adore ton odeur, elle me rend dingue, je suis déjà complètement trempée d’excitation. Laisse-moi m’approcher encore un peu pour en profiter, s’il te plaît !
Je lâche à nouveau un peu de lest et Aurélie s’empresse de frotter ma belle queue sous son nez, sur ses lèvres et ses joues, pour s’imprégner de son odeur si particulière. La douche du matin est loin, et une journée de travail mouvementé est passée par là... Elle inspire profondément et profite du moment, les yeux fermés, comme si elle faisait tout entière corps avec mon sexe... Elle descend, caresse mes bourses lisses, les avale délicatement, puis renifle les endroits et replis cachés. Elle se frotte les cuisses, les croisent et les décroisent, pour essayer de calmer le feu de sa chatte brûlante. N’en pouvant plus, elle approche sa main gauche de sa petite...
— Il est hors de question que tu te touches ! Dis-je avec conviction. Mets ta main plutôt sur mon sexe ! Tu vas me sucer maintenant. Branle-moi doucement et prends-moi en bouche, petite chienne... Voilà, comme ça !
— Oui Maxence...
Elle m’avale avec empressement jusqu’à la moitié, remonte jouer avec sa langue sur mon gland, puis avec ses lèvres, l’entourant de salive pour de petites aspirations légères extrêmement agréables. Elle descend le long de mon sexe qu’elle lèche maintenant de l’intérieur, avant de l’engloutir à nouveau dans sa bouche tapissée de salive, mais beaucoup plus profondément. Elle entreprend des va et vient jouissifs, à la douceur divine et à la limite du supportable. Je suis en permanence sur le fil, prêt à éjaculer, et j’ai l’impression de relâcher des litres de liquide pré-séminal. Mais, en experte, elle maîtrise parfaitement la situation en évitant parfaitement le point de non-retour. Tous les deux ou trois va et vient, elle m’enfourne encore un peu plus profondément... Je viens de sentir sa glotte, puis le haut de sa gorge. Sa bouche toujours plus trempée, comme sa minette doit l’être aussi, tant son plaisir à me sucer la transporte dans une autre dimension. Et le plaisir intense qu’elle prend est la plus belle chose qu’elle peut m’offrir. Elle s’arrête soudainement de respirer, et très lentement, entreprend de m’avaler complètement. Elle s’immobilise à un ou deux centimètres de mon ventre, la bouche complètement distendue par ma belle bite, déjà bien comprimée par sa gorge serrée, puis termine son avancée d’un seul coup, le nez écrasé sur mon pubis taillé court. Elle entame alors quelques allers-retours divins puis se retire calmement en cherchant mon regard. Elle Reprend tranquillement son souffle et me sourit largement, avec un air satisfait, plus que justifié...
— T’as aimé, hein, mon salop ?
— C’est peu de le dire, j’ai l’impression que tu es en ligne directe avec moi, que tu ressens exactement ce que je ressens, que tu sais exactement comment multiplier mes sensations... T’es la meilleure suceuse que j’ai rencontrée. Une vraie salope, cochonne et vorace...
— J’adore ta grosse bite bien dure et vraiment douce, tes petites contractions, tes perles de plaisirs qui en jaillissent régulièrement, et son odeur... Et j’adore plus que tout la sentir dans le fond de ma gorge, pénétrée, enfilée, défoncée...
Mon vit est toujours aussi dur et tendu, et l’envie de reprendre m’envahit aussitôt. Je resserre un peu la ceinture, histoire lui rappeler sa soumission, et un petit miaulement sort de sa bouche.
— iiiiiiiiii... fit-elle, en un cri aigu et strident.
— Prends-moi entièrement dans ta gorge et fait moi gicler dans ta bouche, vas-y suce-moi, bouffe-moi bien ! Et ne perds pas une goutte de mon sperme, tu es ma chienne !
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