Le temps des horreures

J'avance dans la forêt sombre. À côté de moi, il y a mon ami, Robert. On continue à avancer. On est perdus ça fait des semaines. On est pas morts, mais on est au bout de craquer. Je me tourne, je regarde Robert qui est derrière moi, mais...il est un squelette! Je cligne des yeux, et quand je le reagrde à nouveau, il est redevenu normal.

-Assoyons nous ici! dis-je en pointant du doigts un endroit rempli de feuilles de chêne.

Robert dépose le sac sur le sol. Je m'allonge, et je m'endors d'un coup sec. Mon ami fait pareil. On ronfle vraiment fort. À minuit pile, Mon amis Robert se réveille. Il prends une hache, avance dans la forêt, et pars dans le coulisses de brume, qui le recouvre. Au petit matin, je me réveille. J'ai énormément faim. Soudainement, ma jambe touche quelque chose de mou. Un écureuil mort se tiens juste devant moi! Il est sur son ventre, et je le tourne de côté. À la place de son coeur, il a une énorme marque, comme si il avait été tranché en deux.

-Hé, Robert! Regarde ce qu'on a là! Tu crois qu'il est venu comment, à ton avis?

Robert arrive, fatigué. Évidemment, je ronfle fort.

-Oh, wow! C'est incroyable! On va pouvoir se régaler, là. Et nous deux, cette foix si.

J'ai tort pour ce que j'ai fait avant. On avait enfin trouvés de la nourriture, mais je ne l'ai pas partagée. C'était juste après qu'on se fasse renvoyer du camp de scouts. Enfin, on a fait la fugue, mais on a été pris par la police. Ensuite, j'ai mis feu à l'agence de police avec un lance flamme que j'ai trouvé, j'ai attrapé un fusil, et j'ai tué tout le monde. Robert et moi on s'est battus avec des fusils (évidemment, on avait pas le droit, mais on avait seulement 13 ans), et on a fugués à nouveau. Le feu s'est propagé dans toute la ville, et les pompiers ont risqués leurs vies pour arrêtter le feu. Après des mois de travail, ils ont réussis à enlever le feu de la ville, mais il ne restait qu'un seul habitant; un seul pompier. Il est mort il y a pas longtemps par une pneumonie des poumons. Donc, il ne reste que Robert et moi, deux enfants de 13 ans (en fait Robert en a 14, c'était sa fête il y a 3 jours).

Après une bonne journée, nous nous recouchons. Même scénario, avec Robert qui pars dans les bois. Je me réveille le matin, et au lieu d'un écureuil, il y a un cerf devant moi, allongé, à la même place de l'écureuil. J'appelle Robert, qui arrive tout aussi fatigué que la nuit dernière.

-C'est un coup de chance! Chaque matin, à compter d'hier soir, il y a un animal devant nous. Ce serais pas toi qui va chercher tout ces animaux? Je t'ai vu sortir cette nuit, et aussi la nuit dernière.

-Oh, non. Pourquoi tu penses ça? Je te jure, entre amis, que je ne suis même pas sorti de cet endroit pendant la nuit!

Je suis confus, comme je veux dire, vraiment confus. Alors c'était qui qui était sorti la nuit? Je commence à avoir énormément de doutes. C'est décidé; la nuit, je ne vais pas dormir, et je vais surveiller le camp.

Enfin vient la nuit. Je surveille le campement, exactement comme je m'étais promis. J'attends des heures, rien.

CRAK!

Un son provenant des bois retentit.

CRAK!

Et il recommence.

Soudainement, une tête de démon apparait devant moi. Ses dents sont tellements jaunes, et des insectes se promènent dans sa bouche, certains rentrent, certains sortent. Son haleine putride et faisandé me hanterons pendant des années. Il sort une langue dégoutante et gluante. Ses dents s'éguisent d'un coup. Il tends sa langue vers mon coup, attends un moment, puis m'étrangle. Je crois même que je vais mourir. Avant ma mort, il dit:

-Je suis le diable, et c'est moi qui ai contrôlé ton amis. Il a pris des défunts venant de l'enfer, et je les aies transformées en écureuil et en cerfs. Et ces défunts, c'étaient tes parents. malencontreusement, je suis obligé de te dire adieu.

Il sert sa langue très fort, et je meurs, allongé par terre. Une armée de démons avancent dans la sombre forêt, tenant des cadavres dans leurs mains.

basée sur une histoire vraie

Tous droits réservés
1 chapitre de 3 minutes
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Table des matières

En réponse au défi

Fais-moi peur !

Lancé par Nephilys

Quelle émotion est plus primaire que la peur ? Vous savez, celle qui vous tient en haleine, qui fait battre votre coeur à toute allure, qui vous fait vous dresser vos cheveux sur la tête ?

Parfois, avoir peur peut avoir du bon. Lire un bon roman d'horreur qui vous angoisse, regarder un film terrifiant au timing bien géré pour vous effrayer... Une émotion viscérale qui nous met d'attaque, quoi !

Voilà mon défi, il vous suffit d'écrire une nouvelle (ou un roman, au choix !) qui fasse frissonner le lecteur ! Je ne vous demande pas d'écrire comme un Stephen King, rassurez-vous, mais un récit qui angoisse, qui inquiète, qui fait bien flipper sa race !

Tous les moyens sont bons pour parvenir à vos fins : choix de style, personnages ou créatures effrayantes, des lieux enclins à la terreur... Et qui c'est, pourquoi pas faire revenir les morts à la vie ?

Vous sentez-vous prêts à frissonner de la tête aux pieds ? Dans ce cas, à vos claviers !

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Le contrôleurChapitre0 message

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