Soeur's

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Dans une petite ville connue pour son village desserrer, derrière une forêt bien profondément sombre. Le village portait la rumeur d’être hanté, donc bien évidements personne de la ville s’en approchais, sauf part défis. Mais un soir de décembre, alors que la neige fusait aux sols. Une petite équipe de cinq adolescent et un enfant de bas âge. Se plongeaient dans la profondeur des bois, arriver sur un chemin de terre, d’un instant à l’autre un brouillard se levis du sol, les noyant dans le blanc complet.

Une lumière se mis à refléter à travers le brouillard, une maison faite de bois. L’air devenais de plus en plus lourd, la jeune fille de cinq ans se mis à pleurer. Le plus grand de l’équipe a seize ans, décide de s’approcher de la porte d’entrée. De laisser les autres en arrière pour qu’ils puissent s’échapper tout dépendants de la scène.

Il entrouvrit la porte et lance un vif regard, la première chose qui vue et des ombres qui danse sur le mur et il rentre doucement ou il tombe nez a nez avec de vieux escaliers et plein d’animaux empailler comme décoration.

Alors il s’avancer encore plus a l’intérieure, mais toujours très prudemment. Mais d’un coup il entendit de faible pas a l’étage du dessus. De plus en plus intrigué, il monta les marches, mais chacune d’elle craquaient sous ses pieds.

Arriver aux sommets des escaliers, un long couloir noir et dresser devant lui, juste la lumière sortait d’une porte entrouverte au bout du couloir.

En rentrant dans la pièce, il découvrit des meubles recouverts de vieux draps, remplie de toile d’araignée. Sur ce qu’il pense être un canapé, au centre de la pièce une poupée est assise dessus. Mais plus il s’en approchait et plus il trouvait qu’elle le fixait, Même un sourire dérangeant se marquais sur son visage en porcelaine.

Soudain, la porte se ferma brutalement derrière lui, la lumière s’éteint. Il se tourna direction la porte et au même instant il entendit un rire de femme direction la porte, puis un second rire sur la poupée. C’est rire lui glaçais le sang et Il regarde autour de lui, mais terrifier il recula. Mais la poupée se levis et le sauta au visage, le poignardant.

Celui-ci, comme par miracle s’enfuit jusqu’au escaliers, les rires s’’arrêtes. Du coin de l’œil il vue une femme en chemise de blanche couteau de boucher en main, lui fonce dessus ce qui le fais tomber dans les marches ce qui causa un brisement de coup.

Les rires recommencent aussitôt que son âme quitta son corps.

- Emmy, il n’est pas venu seul. La femme en chemise blanche, regarda par la fenêtre voyons les cinq autres enfants.

Elle ouvrit la porte et le corps sans vie de l’adolescent se fis projeter jusqu’à leurs pieds. Tous le monde s’éparpillais en courant rentrant à nouveau dans la forêt.

La seule qui est rester sur place et la cadette du groupe, gardant son ours en peluche bleu ciel avec un petit ruban blanc. Celle-ci se mis à pleurer toutes les larmes de son petit corps.

Un couteau sorti de la porte d’entrer, comme flottant dans le vide, jusqu’à devant les yeux de l’enfant. Comme si quelques choses prenaient de l’aillent pour lui trancher la gorge. Mais en pleine vitesse quelques chose l’arrêtes net.

- Emmy ! tu ne va quand même pas la tuer, ce n’est qu’une gosse.

Les deux femmes apparaissent devant la gamine, une en robe de soirée blanche et l’autre en robe noir. Les deux femmes claque des doigts, leurs habits se change en tenue noir. Sur le retour de rentrer dans cette maison, presque en ruine. L’enfant se retourne direction la forêt, mais lance un dernier coup d’œil, au corps sans vie de son ami.

- Emma, en ne peux pas la laisser partir elle en sait bien trop.

- Tu as raison Emmy, fais-la rentrer dans la maison, on n’a pas le choix.

L’une d’entre elles, rentre dans la maison, puis ressort avec un biscuit comme encore chaud puis le tend à la gamine jusqu’au palier de la maison. L’autre qui suit doucement l’enfant la pousse à l’intérieure ce qui la fais tomber à terre. Emmy la saute dessus et lui arrache le cœur.

- Tu seras bientôt avec nous ! Rigolent les deux sœurs qui honte le village depuis quelques décennies.

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