21. J'ai adoré
- J’ai adoré, F, j’aime ton écriture, même si je n’ai pas envie de vivre cela moi-même. Je ne sais pas si seule une femme sait faire cela à la perfection… mais bon, je t’aiderais à corriger ton texte plus tard. Envoie-moi la suite, cela m’a excité je dois dire, car je te visualisais toi et j’avais envie de ta queue en moi... Je t’envoie une photo de pour te montrer combien je pensais à toi querido. Je me suis caressé en pensant à toi.
- Merci Querida. Belle image by the way, j’adorerai être ta main, je me suis caressé devant en t’imaginant te donner toi-même du plaisir en pensant à moi… belle mise en abyme… Pour le plaisir de ta lecture, voici la suite de Mademoiselle S :
Mademoiselle S. repose allongée de tout son long sur le lit. C’est si bon de faire l’amour. Totalement alanguie, elle savoure le plaisir intense qu’elle vient de vivre, et sa respiration redevient normale. Son rythme cardiaque a repris une fréquence normale, mais elle sent en elle une chaleur comme elle n’en avait jamais ressentie avant. Une envie que cela dure, quelque chose qui la rend sensible à la moindre sensation. Elle entend que la réceptionniste est montée sur le lit. Et sent à côté de son flanc son poids qui creuse le matelas. Surtout elle entend le bruit de leurs baisers. Elle se relève sur un coude et tâtonne de sa main.
Les yeux fermés, elle a l’impression que ses autres sens sont encore plus vifs. Elle trouve le corps de la femme, agenouillée, face à l’homme agenouillé aussi. Ils s’embrassent tout en se caressant l’un l’autre.
Elle a très envie de les rejoindre, mais elle veut aussi être reconnaissante avec eux.
Elle se colle derrière la fille, plaque sa poitrine contre son dos, mais elle est encore habillée. Elle attrape son haut et lui fait lever les bras en l’air pour la déshabiller. Elle retire prestement l’agrafe de son soutif et peut enfin se serrer contre elle, peau contre peau. Sa chaleur douce est intense. Elle se sent irradier à l’intérieur et sa chatte encore humide lui semble se mettre à couler comme une rivière.
Elle passe ses bras et se met à caresser la poitrine de la blonde, sa peau est très douce à cet endroit, mais aussi très ferme, la chanceuse, elle a de bien plus gros seins qu’elle, mais au lieu de la jalouser, elle prend du plaisir à dessiner leur forme, et à les prendre en main et les caresser. A toucher ses tétons durs et dressés. Elle n’a jamais touché que ses propres tétons, et cela lui donne une sensation très étrange : comme si elle se caressait elle-même sauf que ce n’est pas elle.
Pendant ce temps-là, l’amant caresse la blonde réceptionniste et Mademoiselle en même temps, un peu les deux à la fois, comme si elles étaient une seule femme avec 2 corps. C’est très troublant, et très excitant à la fois. La fille respire plus fort.
Elle a envie de plus. Mademoiselle la fait se lever, pour lui retirer sa jupe longue et stricte. Elle porte des bas et un string. Elle la laisse ainsi et va se coller derrière l’homme qui s’est levé aussi. Pose sa main dans l’entrebâillement de sa chemise. Il a la peau douce aussi. Elle enlève les boutons un par un, tandis qu’ils continuent de se bécoter et de se frotter avec la fille.
Elle retire les bras de chemise, le gauche puis le droit. Pose sa main à plein sur son ventre et sent la vie en lui. Il a de jolis abdos, pas bodybuildé mais juste musclé comme elle aime. En plus elle sent de la réceptionniste se coller aussi, et de toucher leurs 2 ventres simultanément fait vibrer pleins de petits papillons dans le sien, de ventre, comme s’ils venaient de sortir de leur chrysalide. Elle atteint un état qu’elle n’avait jamais ressenti. Elle veut plus encore.
Mademoiselle S. enlève la ceinture, puis le bouton et la fermeture du pantalon, le fait tomber rapidement, et attrape le sexe de l’amant à l’intérieur de son caleçon. Oh qu’elle aime qu’on bande ainsi devant elle : susciter un tel désir, c’est déjà si excitant ! Deux autres mains viennent la rejoindre à l’intérieur, se posent sur les siennes et les font bouger de haut en bas. L’homme lâche un petit soupir. Mmm.
Elle mordille son oreille et lui dit : « j’ai envie de toi. »
Il répond : « pas tout suite, sois patiente, tu auras le droit à la fin seulement, ce sera ton dessert. »
Elle acquiesce en frottant ses seins et tout son corps contre lui. Soudain il enlève toutes les mains qui l’enserrent et enjoint Mademoiselle S. de se mettre en face de la fille. Elle sent sa grosse poitrine contre elle et c’est … douloureusement agréable. Elle comprend mieux les hommes qui aiment les grosses poitrines, c’est comme de déguster une pêche bien juteuse en été. Mademoiselle S. attrape la bouche de la grande fille blonde et la dévore. Elles tombent toutes 2 à genoux sur le lit. Elle entend l’homme qui s’est déplacé mais ne sent pas se mains sur elle. Il est passé derrière la blonde et caresse les seins de Mademoiselle S par devant la blonde. Mademoiselle, pas en reste, caresse à son tour la poitrine de la fille. Oh oui, elle aime ce jeu à trois ! Pourquoi n’a-t-elle jamais osé avant ?...
Soudain elle sent la fille se cambrer et tressauter un peu. Elle gémit et enroule fortement sa langue autour de celle de Mademoiselle S. L’amant s’est mis derrière la réceptionniste, il a dû faire coulisser son sexe entre la raie du joli cul, et a commencé à la pénétrer.
Elle le sait, car elle sent les mouvements qui arrivent en cadence désormais. Elle se met à leur diapason et bouge à leur vitesse, calquant son corps à celui de la blonde pour ne faire qu’une. Elle a l’impression de jouir autant qu’elle alors que rien ne le pénètre, mais elle est caressée par 4 paires de mains sur ses épaules son cou ses seins son ventre, et parfois elle sent un doigt en elle, mais ne sait même pas à qui il appartient.
L’amant fait l’amour a cette femme à deux corps, et arrivé au terme de cette chevauchée fantastique, il accélère, les cris de Mademoiselle S. et de la fille sont synchrones et leur respiration en parfaite concordance. Quand l’homme atteint son orgasme et remplit de sa semence de joie l’intérieur de la jolie blonde, Mademoiselle S a l’impression que c’est elle que l’on remplit et elle crie autant que la fille, en ressentant une jouissance semblable.
Elle est dans la seule sensation et ne veut pas chercher à comprendre comment cela est possible. Elle n’avait jamais atteint une telle sensation de jouissance.
Elle se sent libre, si libre, elle s’allonge et remercie ses deux amants en les caressant affectueusement. Ils s’allongent à côté d’elle et lui rendent son affection en reprenant leur souffle.
Elle sent Luna, la réceptionniste, se redresser, et l’embrasser avant de se relever. Elle voudrait la retenir, mais ne caresse que le vide de sa main. Avant qu’elle ne puisse parler, l’homme lui dit :
- « Laissez-la partir, j’ai un autre invité pour vous. C’est un tout jeune homme, assez timide et il aimerait que vous l’initiiez à l’amour… Soyez directive avec lui. »
Mademoiselle S. entend la porte se refermer sur les pas de Luna… et s’ouvrir à nouveau…
- Oh F, c’est une histoire qui décrit bien les états d’âme de ton héroïne au début et ensuite aussi… je veux la suite ! J’ai rougi en lisant qu’un jeune homme allait arriver dans le jeu… tu vas dire que ce doit être un de mes fantasmes et je ne sais pas te répondre, car je n’y ai jamais réfléchi… je ne suis plus une jeune fille, je sais, et je me sens encore jeune à 38 ans… Pourtant, je t’avoue, imaginer qu’un jeune homme vienne me visiter… wow… je ne sais quoi te dire, je n’ose pas. J’ai reçu une bouffée de chaleur violente directe au ventre. Envoie-moi vite la suite de l’histoire, je veux savoir !
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